C'est un peu UA étant donné que Puck et Quinn ne se connaissent pas et que ça se passe dans le futur mais je peux vous assurer que le fond de leur histoire sera le même. J'ai essayé de garder au maximum leurs personnalités, alors laissez-moi une chance :)
CHAPITRE 1: Stay The Night
La Californie était un état complètement différent de celui de New York. Le climat était bien plus agréable et ensoleillé et les gens n'avaient pas la même attitude. A l'Est, tout le monde est stressé et dans le rush. Ici, c'est calme et les personnes prennent même le temps de chanter dans leur voiture lorsqu'il y a de la circulation.
A son arrivée, Quinn ne se sentait pas à sa place. Elle avait toujours vécu à Manhattan. C'était là où ses parents l'avaient élevée et où elle avait fait ses études. Etre danseuse était son rêve. Pourtant, elle n'avait commencé à en faire qu'à l'âge de dix ans. Avant ça, elle était une petite fille ronde, timide et complexée. La préadolescence l'avait changée et depuis cette époque, elle était une femme beaucoup plus forte.
Elle étudia quatre ans à Julliard avant d'être sélectionnée par cette célèbre école de danse de Los Angeles pour un stage d'une durée d'un an. Cette école était l'une des plus prestigieuses du pays. La majorité de ses élèves finissaient par rejoindre de grandes productions.
Mais être danseuse classique n'était pas toujours de tout repos. Et ça, Quinn le savait très bien.
« Tu dois perdre trois kilos, Quinn », critiqua la vieille femme en face d'elle. Chaque semaine, les danseurs et danseuses étaient pesés. Quinn détestait ce moment.
Elle sourit nerveusement et pencha la tête, regardant le chiffre devant ses pieds. « D'accord », elle murmura mais la femme en face d'elle se mit à la regarder dans les yeux. « Tu as une semaine ! », lui dit-elle d'un ton sévère qui ne laissa pas la jeune blonde indifférente. « Suivant ! »
A vingt-quatre ans, elle se sentait parfois prisonnière d'elle-même. Elle aimait danser mais c'était incroyablement difficile. Il fallait surveiller son poids et les blessures qu'elle avait aux pieds étaient parfois très douloureuses.
L'heure de la pesée terminée, les répétitions commencèrent. Elle n'allait surement pas quitter cette grande salle avant plusieurs heures. Une fois ses cheveux blonds attachés dans un chignon serré, Quinn rejoignit ses collègues.
Finalement, les entrainements se terminèrent rapidement et elle put quitter le studio en fin d'après-midi. Une bonne douche et un changement de tenue plus tard, elle était prête à rentrer chez elle.
Etant donné qu'elle devait toujours faire attention à son poids, Quinn rentrait toujours chez elle à pieds. Elle habitait un mini appartement près de Manhattan Beach qui appartenait à l'école. En lisant ce nom, elle repensait à New York. Elle avait quitté l'état depuis deux mois et il ne lui manquait pas du tout.
Ce jour-là, sans s'en rendre compte, elle s'arrêta devant ce bar qui se situait à quelques mètres de la plage. Jamais elle ne s'y était rendue. Pourtant, il semblait agréable et des petits musiciens s'y produisaient tous les soirs.
La tête pleine, elle entra dans le bâtiment et regarda autour d'elle. Le bar était plein sans vraiment l'être. Il restait des tables vides et seules trois personnes se trouvaient au bar.
Elle alla les rejoindre et posa son sac à main sur le comptoir en bois clair. Elle avait besoin de voir d'autres personnes.
« Je peux vous servir ? », la réveilla un homme. Elle leva les yeux vers lui et vit qu'il avait un sourire en coin et un essuie sur son épaule. C'était si… cliché. « Pardon ? », demanda-t-elle d'une voix rauque. Contrairement à ses traits doux et ses yeux vert clair, Quinn paraissait sèche dans ses paroles.
Il haussa les sourcils en la fixant. « Tu veux boire quelque chose ? », il répéta et elle hocha la tête avant de répondre, « Un verre d'eau ».
« De l'eau ? », il s'étouffa presque avec sa salive. Les gens devaient rarement commander un verre d'eau ici. « Oui, un verre d'eau ! »
Il la regarda dans les yeux une fraction de seconde avant de se retourner et de lui servir un verre d'eau. Pendant ce temps, elle vérifia si elle n'avait reçu aucun appel et l'heure qu'il était. « Voilà ! »
Quinn leva les yeux vers lui et lui lança un petit sourire. « Merci », elle ajouta et il resta en face d'elle. Il était grand, musclé - il portait un t-shirt blanc alors c'était facile de le constater- et avait les cheveux rasés de très près. Elle avait même l'impression qu'une crête se dessinait sur son crâne. « Vous n'avez rien d'autre à faire ? », cracha-t-elle et il rigola en haussant les épaules.
« Il me semble que tous les clients sont servis, non ? », il marmonna et elle hocha la tête en l'ignorant. Elle savait qu'il la regardait. En fait, elle n'avait pas l'allure d'aller dans un bar. Avec ses longs cheveux blonds naturels légèrement ondulés dans le bas, ses petits seins et sa robe blanche assez chic comme certains diraient et son teint pâle, elle se différenciait des bimbos aux énormes seins et aux lèvres pleines de botox. « Tu viens d'où ? », finit-il par lui demander, ses deux coudes appuyés contre le comptoir.
Quinn le regarda avant de se dire que ça n'allait pas la tuer de lui répondre. « New York, Manhattan »
« Vraiment ? »
Elle acquiesça. « Comment t'as su ? », demanda-t-elle ensuite.
« T'as pas l'attitude des Californiens ! »
« Oh. J'ai quelle attitude alors ? », elle demanda en plissant les yeux. Il lui sourit - il était définitivement en train de la draguer- et il lui répondit, « Celle des Hampton ou quelque chose comme ça ».
Après ça, elle ne lui parla pas, préférant boire son verre d'eau. Elle n'avait rien bu d'autre depuis des années. « Pourquoi de l'eau ? »
Elle gloussa. « Comment ? »
« Pourquoi tu m'as demandé un verre d'eau ? T'es dans un bar après tout », dit-il et elle ne put s'empêcher de regarder ses yeux. Il était grand et très beau. Tout comme sa mâchoire imposante. Mais elle n'avait aucune idée s'il était son genre d'homme. Elle n'avait jamais fréquenté qu'un seul garçon quand elle avait quinze ans.
« Je suis danseuse classique. A vrai dire je fais un stage dans l'école qui est à un kilomètre d'ici et ma prof m'a dit que je devais absolument perdre trois kilos cette semaine »
Il la regarda comme si elle était folle. « Elle veut que t'aies la peau sur les os ou quoi cette tarée ?! ». Quinn rigola légèrement à sa réflexion. « Personnellement, je trouve que t'as rien à perdre »
« Merci mais malheureusement pour moi, ce n'est pas toi qui décides alors je vais devoir perdre ces trois kilos »
Il secoua la tête en ricana. Elle avait l'impression qu'il trouvait ça complètement stupide. « Franchement, je comprends pas pourquoi. Tu dois à peine faire 45 kg et ma sœur faisait ce poids à 14 ans et elle était loin d'être grosse ».
C'était la vérité, elle faisait bien ce poids. Poids qu'elle faisait aussi à l'âge de neuf ans. C'était dur de conserver ce poids. A part des céréales et des légumes, elle ne mangeait rien.
« Tu fais combien toi ? Cent kilos ? », elle demanda avec narcissisme.
« Non ! Quatre-vingt-cinq ! Ouah… Pratiquement le double de toi »
« Je n'ai jamais dit que je faisais 45 kilos ! », le contredit-elle tandis qu'il buvait une gorgée de soda. « Non mais tu les fais et j'en suis sûr ! Et aucune fille ne va dire qu'elle pèse plus que ce qu'on lui donne ! C'est comme pour l'âge ! Si tu dis à ma mère qu'elle fait 45 ans, elle ne va pas te contredire »
« Je n'ai pas mangé de glace depuis presque sept ans », elle murmura quelques minutes plus tard et il cracha presque tout ce qu'il avait en bouche. « Quoi ? Et tu vis à Los Angeles !? »
Quinn haussa les épaules et il lui lança ce regard séducteur. Elle rougit, loin d'être habituée de se faire draguer. « Je suis sûre que ce que tu manges en une journée, je le mange en un mois »
« Je n'en doute pas… ». Il pinça ses lèvres et elle continua de le fixer avant de baisser la tête. Il l'intimidait. Pour elle qui n'avait jamais rien fait avec un garçon, c'était gênant. Surtout devant ce barman qui devait avoir une nouvelle femme dans son lit tous les soirs. « Tu danses bien aussi non ? »
« Je l'espère. J'ai été quatre ans à Julliard avant d'être sélectionnée pour l'école de Los Angeles »… « Pourquoi tu me parles ? »
Il haussa les épaules. « Pourquoi pas ? T'es canon et seule et j'ai rien d'autre à faire »
« Il y a une femme à l'autre coin du bar qui te fixe depuis que je suis arrivée ». Il regarda et tourna vite son regard sur Quinn. « Je préfère les filles plus jeunes »
« Tu as quoi ? Vingt-six ans ? »
Il secoua la tête. « Trente mais merci du compliment. Contrairement à ma mère, je ne vais pas te mentir ». Elle sourit doucement en regardant son verre d'eau encore plein. « Et toi ? »
« J'ai eu vingt-quatre ans la semaine dernière », lui répondit Quinn.
« Bon anniversaire en retard alors »
« Merci… »
Soudain, un homme l'appela et le barman s'excusa et laissa Quinn seule au bar. Elle se sentait beaucoup mieux qu'à sa sortie du studio. Cet homme était marrant et simple. Il ne semblait pas s'intéresser à combien elle pouvait gagner où ce genre de choses.
Un quart d'heure plus tard, il revint avec un autre verre d'eau dans sa main. Il le posa devant elle avec un sourire. « Merci »
« T'es pas habituée, hein ? »
« Comment ? », elle marmonna en plissant les yeux. « De te faire draguer ! », dit-il et elle était un peu choquée de son comportement. « Ne sois pas si surprises ! Je suis peut-être barman mais pas stupide ! »
« Je n'ai jamais dit ça », elle lui rétorqua d'une voix confiante.
« Je t'aime bien. T'as l'air d'être une peste en détresse »
« Et toi un connard », elle marmonna mais il ne fit que rigoler en retour. Elle lui aurait bien raconté tous ses problèmes mais ça allait faire un peu désespéré, non ? Pour une fois qu'un homme osait la draguer. Parfois, elle avait même l'impression de leur faire peur. « Tu es d'ici ? »
« Nan ! Je viens de Lima dans l'Ohio mais j'ai déménagé ici quand j'avais dix-huit ans ». Il avait ce petit sourire au coin de la bouche. Pourtant, il n'avait rien de quoi être fier. Quinn n'avait jamais entendu parler de Lima. « Aucune copine avec qui venir ? »
Il était définitivement sans gêne. Elle plissa les yeux et tourna doucement la tête. « J'ai des amies mais la plupart ont un petit-ami et les autres sont danseuses comme moi et passent leur temps à faire du sport et s'entrainer »
« Pas de petit-copain, alors ? »
« Non ! »
« Un ex ? ». Elle leva les yeux vers lui, se demandant si elle devait lui répondre avec honnêteté, lui mentir ou se taire. « Non ! A moins qu'une amourette d'une semaine compte »
« Tu préfères les histoires d'un soir alors ? Intéressant… », il marmonna en se retournant pour ranger quelques verres. De temps en temps, il jetait aussi un coup d'œil à la télé pour voir les résultats du match de tennis. D'après ses mimiques, il devait tenir avec Federer.
Quinn s'étouffa et le tua du regard. « Quoi ? Je ne suis pas du tout ce genre de fille ! ». Elle l'avait à moitié agressé mais de quoi il se permettait de la juger comme ça ?!
« Excuses-moi, Marie, je ne voulais pas te vexer », lui dit-il et elle secoua sa tête à la réflexion. Il était ….
« Marie ?! »
Il se pencha contre le bar et avança son visage prêt du sien. Quinn ne savait pas du tout ce qu'il allait faire. A un moment, elle se demanda même s'il n'était pas sur le point de l'embrasser. Il avait ses yeux plongés dans les siens et un petit sourire au coin de sa bouche. Il avait de belles lèvres aussi…
Avant même qu'elle ne puisse ouvrir la bouche, il lui tapa sur le nez avec son index et retourna à ses occupations en rigolant. Il venait carrément de lui faire croire qu'il allait l'embrasser. « Je peux peut-être savoir ton nom, alors ? Si ce n'est pas Marie ! »
« Pourquoi je te répondrais ? Après tout, tu n'es qu'un inconnu avec un coiffure bizarre »
« Bizarre ? Tu trouves ma crête bizarre ? Je suis même étonné que tu l'aies remarquée ! », il plaisanta en passant sa main sur son crâne. « Ma princesse est encore toute petite »
« Ta princesse ? », il grimaça avant de se moquer. Il fit sembler d'être vexé mais il finit tout de même par rigoler. « Quoi ? J'aime donner des surnoms aux parties de mon corps », dit-il.
Elle le regarda avec de grands yeux sans bouger. Venait-il de dire que… « J'espère que tu ne le surnommes pas aussi princesse ». Quinn s'étonna elle-même en marmonnant ces mots.
« Méchante », grogna-t-il. « Comment tu t'appelles alors ? Eh non, je ne suis pas un dealer, violeur ou autres. Bon, j'ai peur être volé quelques voitures pendant mon adolescence mais aujourd'hui, je ne suis qu'un barman qui paye ses impôts »
« Quinn Fabray »
Il se retourna et la scruta du regard. Elle haussa un sourcil et il soupira. « Ca te va mieux que Marie »
« Ne prononce plus jamais ça »
« Tu es chrétienne alors ? J'ai vu la chaine que tu portes », il lui demanda en pointant son cou. Depuis sa naissance, elle portait une chaine en or blanc avec une croix. « Hein ? »
« Oui ! Et avant que tu ne le demandes, oui, je ne ferai rien avant de me marier et je prie tous les soirs avant de diner »
« Ouah… », il soupira, appuyé sur le comptoir. Quinn ne pût s'empêcher de laisser échapper un petit rire en le regardant faire toute cette comédie.
« Tu pourrais me dire ton nom, non ? »
« Puck ! », il lui répondit. Elle le regarda bizarrement et lui demanda, « Tu penses vraiment que je vais te croire ? Aucune mère n'oserait appeler son fils d'après le nom d'une fée »
« Noah Puckerman mais on m'appelle Puck depuis le lycée ». Elle le scruta en pencha la tête. Son prénom n'allait pas avec lui et son attitude. Son surnom allait beaucoup mieux avec son attitude. « In love avec mon nom ? »
« Pas vraiment. Il est un peu trop beau pour toi alors je vais t'appeler Puck… Comme la fée ». Elle le taquinait, le regrettant vite, mais les mots sortaient tout seuls de sa bouche. Par contre, ça ne semblait pas le déranger lui.
« Si tu le dis ! »… « T'es sûre que tu veux pas autre chose que de l'eau ? T'es déjà toute pâle et tout maigre »
« Et il y a dix minutes, tu disais que j'étais canon ? Tu aimes les femmes maigres ? »
« Quoi ? », il marmonna, choqué, les yeux plissés. « Non ! T'es mince, un peu trop mais t'es quand même bien. T'as un visage parfait, un corps de danseuse et des cheveux naturels »
« Merci »
« Et je suis sûr que t'es hyper intelligente en plus de tout ça », lui dit-il en la regardant. En fait, ses yeux étaient plus attirés par son décolleté. « T'as pas l'air d'être hyper fournie au niveau du balcon mais une fois que t'auras eu un polichinelle dans le tiroir, je suis sûr que ça ira beaucoup mieux »
« Obsédé ! », lui cria-t-elle outrée. « Ma poitrine est parfaite. Figures-toi que les seins pèsent beaucoup. Ce qui est loin d'être un avantage pour les danseuses classiques ». Il était en train de se servir un autre verre de soda. De temps en temps, il picorait aussi des cacahouètes.
« Les hommes ne pensent qu'à ça ! Le sexe est… le paradis pour eux ! », il expliqua. « La première chose qu'ils regardent chez une femme, c'est les fesses et les seins. Après, chacun a ses critères »
« Et les tiens sont… ? »
« Moi ? J'aime tout ! »
« Tout ? », elle répéta, un peu surprise. Elle s'attendait à ce qu'il réponde un cliché mais non. « Même les femmes rondes ? »
« Pourquoi pas ? », dit-il et à ce moment-là, il la surprenait dans un bon sens. C'était rare qu'un homme dise ça. Surtout un homme comme lui. Beau et très attirant. « Tu dois partir quand ? »
Elle leva les yeux vers lui et regarda l'horloge au plafond. « J'ai des répétitions à huit heures demain donc avant vingt deux heures »
« Cool, tu vas pouvoir m'admirer chanter »
« Tu chantes ? Vraiment ? »
« Mmm », Puck lui sourit avec un air fier et elle lui sourit aussi. « Je chante, je fais de la guitare, du piano, de la batterie et figures-toi que je sais même danser »
« Vraiment ? J'ai du mal à te croire »
« Quand on est un cancre à l'école, on a beaucoup de temps pour faire d'autres choses », il plaisanta et elle rougit. Il ne lui avait fait aucun compliment mais le fait de repenser qu'il la draguait et lui parlait la faisait rougir. « Un jour, je vais vraiment te payer un verre d'alcool et t'acheter une bonne pizza avec une glace »
« Ton attention me touche mais ça n'arrivera pas avant plusieurs années »
« Avant que t'arrêtes la danse pour te marier avec un curé ? »
« Oui ! »
Les minutes passèrent, et ils continuèrent de discuter. Quinn en était à son quatrième verre d'eau et Puck avait bien englouti deux bols de cacahouètes. Il était très charmant, un peu vulgaire sur les bords mais sympa.
Vers vingt heures, la foule arriva et plusieurs personnes montèrent sur scène pour chanter. Puck servait les clients et Quinn écoutait les amateurs. Par moments, en la regardant, il souriait. Elle semblait apprécier la musique.
« Ca va être à mon tour ! J'espère bien que tu m'écouteras », dit-il à son oreille. Elle ne l'avait pas vu venir mais il était penché derrière elle, une main sur une de ses épaules et son souffle contre son cou. « Profite », marmonna-t-il ensuite d'un ton séducteur et elle rougit avant de le regarder monter sur scène. Il avait une guitare en main et il ne la quittait pas des yeux.
« Je crois que l'intéressée se reconnaitra », il marmonna dans le micro avant de se pencher vers sa guitare pour positionner ses doigts. Quinn remarqua qu'il avait de fins doigts. Ce n'était pas étonnant qu'il jouait du piano. Il leva la tête vers elle et elle l'entendit chanter pour la première fois.
Ooooooh, Oooooooh, Ooooooh, hey!
X
It's 72 degrees
Zero chance of rain
It's been a perfect day
We're all spinning on our heels
So far away from real
In California
X
We watched the sunset from our car
We all took it in
And by the time that it was dark
You and me had something, yeah!
X
And if this is what we've got
Then what we've got is gold
We're shining bright and I want you
I want you to know
X
The morning's on it's way
Our friends all say goodbye
There's nowhere else to go
I hope that you'll stay the night
Ooooooh, you'll stay the night
Ooooooh, yeah!
X
We've been singing Billie Jean
Mixin' vodka with caffeine
We've got strangers stopping by
And though you're out of tune
Girl you blow my mind, you do
And I'll say as I don't wanna say good night
X
There's no quiet corner
To get to know each other
And there's no hurry
I'm a patient man is your discover
X
Cause if this is what we've got
Then what we've got is gold
We're shining bright and I want you
I want you to know
X
The morning's on it's way
Our friends all say goodbye
There's nowhere else to go
I hope that you'll stay the night
Ooooooh, you'll stay the night
Ooooooh, yeah!
X
Just like the song on our radio set
We'll share the shelter of my single bed
But it's a different tune that's stuck in my head
And it goes...
X
If this is what we've got
Then what we've got is gold
We're shining bright and I want you
I want you to know
X
The morning's on it's way
Our friends all say goodbye
There's nowhere else to go
I hope that you'll stay the night
X
If this is what we've got
Then what we've got is gold
We're shining bright and I want you
I want you to know
X
The morning's on it's way
Our friends all say goodbye
There's nowhere else to go
I hope that you'll stay the night
La chanson est "Stay The Night" de James Blunt. C'est la chanson qui m'a inspirée pour cette histoire.
Alors voilà, j'aimerais avoir votre avis sur ce premier chapitre. Dois-je continuer ou arrêter de publier ? Pour l'instant, j'ai écrit 6 chapitres et la seule chose que je peux vous dire c'est qu'il y aura une grossesse. Beth est comme le "destin" de Quick pour moi :D
Si vous aimez, je publierai un deuxième chapitre dès que j'aurai terminé d'écrire l'histoire comme ça les mises à jour seront régulières et ne dépendront pas de mon inspiration :p (Et les autres chapitres seront plus courts)
Une petite review pour me dire quoi ?
Merci :)