Titre : Dans le port de Suna
Auteur : Dem
Rating : Pg
Disclaimer : les personnages de Naruto appartiennent à Kishimoto-sama et la chanson est de Jacques Brel, mais la transformation est de moi
Note : Je suis désoléeeeeeeeee, mais fallais que je la sorte un jour
La chanson : Amsterdam (remanié by me) par Jacques Brel
Il était assis au bord des berges d'amarrages, aucun bateau n'était à quai pour le moment, laissant le port vide, la lune et les étoiles éclairant ce si beau lieu. Quelques bars étaient encore ouverts, les odeurs d'alcools et de nourriture parfumant l'air. Ce jeune garçon de 18 ans regardait la mer à perte de vue, il aimait cette vision et il ne se rendit pas compte des deux personnes présentes derrière lui.
Gaara ?
Oui ?
Il se retourna et vit que sa sœur et son frère se tenaient derrière lui. Ils s'assirent chacun à côté de lui et regardèrent eux aussi la mer.
vous faites quoi là ?
On se demandait où t'étais passé. Répondit Temari
Ho… Désolé de vous avoir inquiétés
T'en fais pas p'tit frère. Répondit Kankuro
Ils regardèrent tous les trois l'étendue marine devant eux. Aucun ne voulait briser ce moment de paix, rarement atteint quand ils étaient ensembles. Gaara se décida et murmura :
vous vous souvenez de la chanson que Baki avait chanté quand on l'avait bourré au saké pour connaître le nom de sa petite amie ?
Oui, mais pour le coup du nom de sa petite amie, ça a pas été une franche réussite. Murmura aussi Temari.
Mais pour la chanson, c'était éducatif. Sourit Kankuro
Ils se regardèrent et entonnèrent tout les trois d'une voix claire la fameuse chanson :
Dans
le port de Suna
Y a des ninjas qui chantent
Les rêves qui
les hantent
Au large de Suna
Dans le port de Suna
Y a des
ninjas qui dorment
Comme des oriflammes
Le long des berges
mornes
Dans le port de Suna
Y
a des ninjas qui meurent
Pleins de saké et de drames
Aux
premières lueurs
Mais dans le port de Suna
Y a des
ninjas qui naissent
Dans la chaleur épaisse
Des
langueurs océanes
Dans le port de Suna
Y a des
ninjas qui mangent
Sur des nappes trop blanches
Des maki sushis
ruisselants
Ils vous montrent des dents
A croquer la fortune
A
décroisser la lune
A bouffer des haubans
Et ça
sent le sushi
Jusque dans le cœur des rouleau de printemps
Que
leurs grosses mains invitent
A revenir en plus
Puis se lèvent
en riant
Dans un bruit de tempête
Referment leur
braguette
Et sortent en rotant
Dans le port de Suna
Y a
des ninjas qui dansent
En se frottant la panse
Sur la panse des
kunoichis
Et ils tournent et ils dansent
Comme des soleils
crachés
Dans le son déchiré
D'un
shakuhachi
rance
Ils se tordent le cou
Pour mieux s'entendre rire
Jusqu'à
ce que tout à coup
Le shakuhachi expire
Alors le geste
grave
Alors le regard fier
Ils ramènent leur
village
Jusqu'en pleine lumière
Dans le port de
Suna
Y a des ninjas qui boivent
Et qui boivent et reboivent
Et
qui reboivent encore
Ils boivent à la santé
Des
putains de Suna
De Konoha ou d'ailleurs
Enfin ils boivent aux
dames
Qui leur donnent leur joli corps
Qui leur donnent leur
vertu
Pour une pièce en or
Et quand ils ont bien bu
Se
plantent le nez au ciel
Se mouchent dans les étoiles
Et
ils pissent comme je pleure
Sur les femmes infidèles
Dans
le port de Suna
Dans le port de Suna
Les trois frères du sable se tenaient par les épaules et chantaient en se balançant. Les gens étaient sortis des bars et écoutaient le chant des trois enfants du désert, Baki, qui passait par là, souriait ; il avait rarement vu Gaara, Kankuro et Temari s'entendrent aussi bien. Les trois jeunes gens se regardèrent à la fin de la chanson et éclatèrent de rire. Baki s'approcha d'eux et tapota doucement sur l'épaule de Gaara, qui bascula sa tête en arrière, et sourit quand il vit Baki.
Tiens Baki-sensei
Tout le monde vous a écoutés…
C'est encore mieux. S'exclamèrent les trois chanteurs d'une même voix
Hé hé, mais vous savez quand même toujours pas le nom de ma petite amie
Si, on sait. Sourit Gaara
On t'a vu avec elle à Konoha
Z'aviez pas l'air de vous emmerder. Remit une couche Kankuro
vous avez gagner . Soupira Baki en souriant.
Les enfants, ont rentres ? demanda une voix féminine
Oui Kurenai-mama. S'exclamèrent Gaara, Temari et Kankuro en se relevant.
Baki
pris la main de Kurenai dans la sienne et ils partirent à la
suite des trois enfants, leurs enfants, vers leur maison à
tous les
cinq.
Et voilà, fini, pas frapper, pas tuer moi
Gaara : y a pas de port à Suna
Dem : J'ai dit que y en avait un
Gaara : mais c'est pas cool, j'suis gentil
Dem : si tu continues, tu vas être premier rôle dans «la mort d'un blaireau» et je te case avec Kankuro
Gaara :… Y a un port à Suna, j'adore être gentil
Dem :
Reviews pleaseeeeeee, Bon, j'avoue, j'ai pris un très,très,très gros retard dans mes autres Fics, jsuis désolée, j'ai eu une panne d'inspiration et ça revient tout doucement, allez, à la prochaine
