Hello les filles (garçons, si vous êtes là, manifestez-vous !) !

Comme promis, je poste cette nouvelle fiction. Vous êtes du genre à vouloir des énigmes ? Des problèmes de couples ? Vous détestez le lemon ? Ou bien le couple Edward/Bella dans des situations assez explicites ?

Alors je vous serais gré de cliquer sur la petite croix ou de retourner en arrière car cette page n'est décemment pas faite pour vous. Mais bon, si vous avez cliqué sur un titre pareil "Situations Erotiques" avec en couple Edward et Bella, je pense que vous êtes au bon endroit.

Vous voulez vous détendre devant un bon lemon à la fin de votre journée de travail ? De cours ? Après vous être occupé de vos enfants toute la journée ? Vous êtes épuisé et vous ne voulez pas vous prendre la tête avec une histoire abracadabrantesque ? Alors je vous invite à rester et lire ce chapitre, je l'admet assez court, mais totalement divertissant !

Bonne lecture les filles et n'oubliez pas les culottes de rechange (simple conseil de l'auteur)

...

Hot Desk

J'ai une question à vous poser :

Vous savez ce qu'on ressent quand on est au sommet ? Quand on a le plein pouvoir, qu'on est le plus fort de tous ?

Connaissez-vous ce sentiment lorsque vous passez devant une personne et que vous savez pertinemment que vous êtes au dessus de lui ? Que vous êtes meilleur que lui ou elle ?

Avez-vous, même, déjà osé penser à cela ? Avez-vous réussi à imaginer cette sensation ? Ou seulement un dixième de ce sentiment ?

Non ?

Moi, je sais. Je suis le meilleur. (N/Popo : Ah ça, j'en doute pas )

Je vous entends déjà, « écoutez-moi cet homme ! Quel orgueil ! Quelle arrogance ! ». Je ne vais pas vous contredire… Je suis une personne extrêmement pédante. Un homme fier, qui n'a besoin de rien, ni de personne. Je suis le patron de la plus grande agence de mode au monde. Tous les pays s'arrachent mes créations. Tous les stylistes envient mon travail. Tous les hommes importants du pays et d'ailleurs sont jaloux de moi. Des centaines et des centaines de personnes sont dépressives à cause de moi mais ce n'est pas pour ça que, ce soir, j'aurais du mal à dormir.

Mon assistante m'a dit un jour, « Edward, si vous voulez un conseil, jouez-la vous moins ». Elle avait raison mais je ne pouvais m'en empêcher et pour son affront, je l'avais renvoyée. De toute façon, elle n'était pas si compétente. Par contre, ma nouvelle secrétaire est plus qu'expérimentée. Grâce à son travail, son assiduité et sa persévérance, elle a réussi à me rendre encore plus important. Encore plus riche et envié. Elle a tout de suite compris quel genre d'homme j'étais et n'a jamais émis la moindre répugnance ou autre sentiment que de l'indifférence à mon égard. Elle était un peu bizarre sur les bords. Lors de notre entretien, pour savoir si oui ou non j'allais l'engager, elle était arrivée avec une jupe noir courte, des collants noirs troués, des converses noires, un débardeur fuchsia collé à son corps, très décolleté, des colliers colorés et les cheveux en pétard. Elle n'avait pas du tout l'allure d'une assistante mais son curriculum vitae était le plus impressionnant qui m'était été donné de voir.

Alors je l'avais engagée.

Nous travaillions ensemble depuis maintenant six mois et notre entente était excellente. Mais je me posais pleins de questions à son propos. Elle restait jusqu'à pas d'heure au bureau, elle n'avait jamais un coup de téléphone personnel pendant ses heures de travail, pas de visite non plus. Jamais elle n'avait été en retard ou absente. Jamais une faute dans ses rapports ou autres comptes-rendus. Elle était parfaite.

Mais ne dit-on pas que la personne parfaite n'existe pas ? (N/Popo : Bien sûr que si elle existe ! Elle s'appelle Edward Cullen *_*)

Il était vingt et une heures lorsque je sortis de mon bureau. Je ne l'avais pas vue de la journée. Beaucoup trop de travail et à chaque fois que je sortais pour me rendre à la cafétéria ou autre, elle n'était pas derrière son ordinateur. Pourtant, cette fois, elle était là, en train de pianoter à vive allure sur son clavier. Elle ne sembla pas m'avoir entendu ni vu sortir alors je m'éclaircis la gorge. Elle tapota encore quelques fois avant de lever ses yeux verts, vers moi. Un sourire professionnel s'installa sur son visage alors qu'elle se levait.

- « Qui êtes-vous et qu'avez-vous fait de ma secrétaire ? » Dis-je avec étonnement, un sourcil relevé dans sa direction.

Son rire résonna dans la pièce vide et silencieuse. Contrairement à d'habitude, elle ne portait pas son traditionnel jean avec une tunique bleue ou noire ou encore rose. Là, elle portait un élégant tailleur. Une jupe droite de couleur noire, arrivant au niveau des genoux et montant sur sa taille fine. Une chemise blanche assez transparente qui me laissait deviner qu'un charmant soutien-gorge en dentelle noire habitait en dessous. Les boutons étaient déboutonnés largement et me donnait une vue alléchante sur le début de sa poitrine généreuse.

Ah oui ! J'avais oublié de vous dire qu'elle était dingue mais aussi splendide.

Digne d'un film porno, elle portait sa petite paire de lunettes pour travailler. Si j'avais bien compris son histoire, ses yeux se fatiguaient vite et elle avait besoin d'aide à un certain moment. Ses cheveux étaient remontés dans un chignon pas du tout travaillé. Je souris en voyant sa tonne de colliers qu'elle avait enroulés de sorte à faire un gros et pétant bracelet.

- « Bonsoir, Monsieur Cullen. Je vous croyais déjà parti. »

- « Eh bien, non ! Je suis toujours là, comme vous. Que faites-vous habillée comme ça ? » La relançai-je.

- « Vous voulez que je vienne nue au bureau ? » Répliqua-t-elle, un sourire joueur sur le visage.

Je souriais grandement à sa répartie. Elle était toujours directe. J'aimais ça. Et à la réflexion, je me dis que ce n'était certainement pas une si mauvaise idée qu'elle vienne nue au travail. D'après ce que je pouvais voir, elle était très bien faite et ce ne serait que bénéfique d'avoir son corps découvert.

- « En fait, j'ai un rendez-vous dans quelques minutes et je n'avais pas le temps de rentrer me changer alors… »

- « Vous vous habillez comme ça pour un rencard mais vous portez n'importe quoi pour venir au boulot d'habitude ? » Demandai-je avec le sourire.

- « Non, en fait, avec le travail brillant que je fais, quelqu'un veut me proposer de bosser pour lui. J'ai pensé qu'une bonne impression de départ était bien. » Répondit-elle, le sourire joueur toujours aux lèvres.

- « Hors de question que vous partiez de mon entreprise, Isabella. » Affirmai-je, sûr de moi.

Son sourire commercial laissa place à un vrai sourire alors qu'elle se dirigeait vers la machine à café. Je la suivis, ne me privant pas de regarder son adorable petit cul, merveilleusement bien moulé dans cette jupe serrée.

Oh que oui ! Elle pouvait venir nue quand elle voulait mais peut-être que ça serait plus agréable, vêtue d'un petit shorty, accompagné d'un charmant porte-jarretelles et du fabuleux soutien-gorge qu'elle portait en ce moment.

- « Sérieusement ? Vous pensiez vraiment que j'allais vous quitter ? Vous n'êtes plus rien sans moi, Monsieur Cullen. »

- « Arrêtez, je sens que vos chevilles ne vont pas tarder à enfler. » Dis-je en sachant qu'elle avait pertinemment raison.

- « Ça serait vraiment fâcheux ! Ce sont des nouvelles chaussures… » Répliqua-t-elle, en me montrant sa longue jambe.

Elle portait effectivement des talons d'au moins dix centimètres. Pas du tout son genre habituel.

- « Vous allez me dire ce qu'il se passe avec votre look ? » La lançai-je encore une fois, désireux de connaître le changement de mon assistante.

- « Je vais chercher ma mère dans une heure à la gare et elle déteste mon véritable look. Alors, pour une fois, je fais un effort. » Dit-elle, en haussant les épaules.

- « Elle préfère le style secrétaire sexy à celui cool ? » Insinuai-je, souriant.

- « Secrétaire sexy ? Hum… Peut-être bien ! Je vous offre un café ? » Poursuivit-elle, comme indifférente.

J'hochai la tête doucement alors que mes yeux vagabondèrent encore une fois sur sa courbure de rêve. Sa chute de reins était divine, la courbe de ses seins était parfaite et j'eus soudain une envie pressante d'avoir ses longues jambes autour de moi. Je secouai la tête face à ces nouveaux désirs. Je ne devais pas penser à Isabella ainsi, sinon, c'était la fin de mon contrôle. Comme pour me faire enrager ou pour me faire revivre mon premier film pour adulte, ma secrétaire se pencha exagérément pour attraper le gobelet en plastique qui contenait le café chaud. Mon instinct primitif me hurla de me placer derrière elle mais je gardai mon sang-froid.

Du moins, j'essayais, déglutissant à grande peine.

- « Tenez. »

- « Merci… »

Elle prit le sien également avant de partir en direction de nos bureaux respectifs.

- « Alors comme ça, j'ai l'allure d'une secrétaire sexy ? » Me demanda-t-elle.

- « Digne d'un film porno… » Répondis-je, sans vraiment m'en rendre compte. (N/Popo : Euh… compliment original… )

- « Pardon ? » S'exclama-t-elle, sous le choc de ma déclaration non-voulue.

- « J'ai vraiment dit ça à voix haute ? » Demandai-je, presque honteux. Elle hocha la tête en souriant. « Désolé. »

- « C'est plutôt un bon compliment, je suppose. Même si ça me fait passer pour une chaudasse, légèrement dévergondée… » Rit-elle.

- « C'est très bien pour moi… Désolé ! » M'excusai-je à nouveau.

- « C'est rien. Est-ce que je peux vous parler franchement ? »

- « Bien sûr ! » Acceptai-je, de suite, essayant de ne plus sortir de connerie.

- « Eh bien, vous n'êtes pas mal non plus dans le rôle du patron sexy… » Me lança-t-elle, son sourire joueur de retour, avec un clin d'œil en prime.

Ok, si elle s'y mettait aussi avec ses regards et ses insinuations, je ne garantissais pas la survie de nos vêtements et de nos raisons.

- « Heureusement que je vous connais un peu, Isabella. Sinon, je soupçonnerais que vous êtes en train de me draguer… » Blaguai-je, essayant de faire taire cette petite voix dans ma tête qui me disait ou hurlait de lui sauter dessus.

- « Je vous retourne vos dires. »

Je me mis à fixer ses lèvres véritablement tentantes, léchant les miennes par la même occasion. Un sourire ravageur s'installa sur son visage alors qu'elle déposait son gobelet en plastique sur son bureau, lentement.

- « Vous savez que je pourrais très bien ruiner votre carrière en vous accusant de harcèlement sexuel ? » Dit-elle, à moitié sérieuse.

- « Vous ne le ferez pas… » Assénai-je, encore une fois sûr de moi.

- « Ah bon ? Et pourquoi ça ? » Sourit-elle.

- « Parce que vous êtes extrêmement bien payée et que vous ne pourrez vous passer de moi… » Répliquai-je, plus arrogant que jamais.

- « En quelles circonstance ? »

- « Le travail, bien sûr ! »

- « Bien sûr… » Répéta-t-elle, faussement.

Je me rapprochai d'elle, mettant ma main gauche sur le bureau qui se trouvait dans son dos. Je déposai à mon tour mon café sur le support et l'entourai, collant mon corps au sien. Je savais qu'elle pouvait sentir le début de mon érection. Ses yeux verts étaient incandescents, fixant mes lèvres, dans l'attente d'un baiser. Je ne la fis pas languir longtemps, voulant exactement la même chose. Je déposai avec une certaine fougue ma bouche contre la sienne.

Nos langues se mélangèrent avec passion, ses bras s'enroulèrent autour de mon cou alors qu'elle posait ses fesses sur son bureau. Mes doigts remontèrent le long de ses côtes pour atterrir sur sa sublimissime poitrine. Je mordillais sa lèvre inférieure alors qu'elle poussait quelques gémissements sensuels. Ses mains passèrent entre nos deux corps collés pour retirer ma chemise de mon pantalon et déboutonner ses boutons. Ses petits doigts venaient caresser chaque parcelle de ma peau qui se découvrait, à mesure que les boutons se détachaient.

Ses ongles, griffant mes abdominaux et pectoraux, remontèrent vers ma gorge et elle me délesta de ma veste de costume. Je ne restais pas en reste de mon côté. J'arrachai violemment les boutons de sa chemise et plongeai mes lèvres sur sa poitrine. Je remontai également sa jupe et touchai du bout des doigts le fin tissu de sa culotte. Il était trempé. Je grognai contre son sein gauche alors qu'une de ses petites mains atterrissait sur la bosse plus que présente dans mon pantalon. Ce dernier tomba le long de mes jambes sans que je ne comprenne comment alors qu'Isabella fourrait sa main dans mon boxer, caressant ma verge tendue pour elle.

Mes lèvres remontèrent à son cou où je déposai une marque. Un suçon. Sa main libre vint se placer sous mon menton afin de ramener mes lèvres aux siennes. Un baiser enflammé débuta alors que j'arrachais le fin tissu de son dessous. Je passai un doigt sur sa fente humide et séparai ma bouche de la sienne afin de pouvoir la goûter.

- « Hum… Délicieuse… » Susurrai-je à son oreille.

Mon boxer ne fut qu'un vague souvenir au bout de quelques minutes et la nouvelle texture qui s'offrait à moi était beaucoup plus agréable que le tissu de mon sous-vêtement. Je ne pus me retenir et en un coup de reins habile, je m'enfonçai dans sa moiteur. Un cri excitant sortit de sa jolie bouche, que je recouvrai rapidement de la mienne. Elle était étroite, chaude, humide et tellement enivrante. Mon gland frappait presque à chaque reprise au fond de son vagin. Ses ongles griffaient mes omoplates alors qu'elle se séparait de mes lèvres pour me demander d'y aller plus fort. Elle partit ensuite mordre gentiment mon cou alors que je débarrassais son bureau dans un mouvement de bras. Je la renversai sur la table et, passant une main sous son genou, je fis remonter sa jambe afin d'avoir un meilleur angle d'entrée.

- « Oh mon Dieu ! Oui ! » Hurla-t-elle au bout de plusieurs minutes de va-et-vient acharné.

Ses parois se serraient de plus en plus autour de mon sexe engorgé. Je butais à nouveau quelques fois au fond de son ventre et elle vint bruyamment et fortement. M'emprisonnant dans son antre délicieux, je forçai pour donner encore quelques va-et-vient. Sa chaleur étouffante me fit venir en plusieurs jets. Je m'écroulai sur elle alors que ses mains caressaient mes cheveux.

- « Je crois que je ne vais pas être à l'heure pour aller chercher ma mère… », Informa-t-elle, en riant délicatement, faisant vibrer sa poitrine sur laquelle ma tête reposait.

COUPEZ !

Je me relevai, en même temps que ma partenaire.

- Ça va ?

- Très bien !

Une des habilleuses vint nous donner des peignoirs alors que la belle partait vers sa loge. Le metteur en scène m'annonçait que la scène avait été parfaite, comme d'habitude. Je regardai ce que ça donnait alors que les nouveaux acteurs prenaient place sur le plateau. Le décor avait changé : il s'agissait maintenant d'une fausse salle de bain. Je vis sortir la petite brunette qui était sous moi, il y a encore quelques minutes. Elle s'approchait, un sourire ravissant sur le visage. S'asseyant sur mes genoux, elle vint mordiller le lobe de mon oreille.

- On se voit à la maison, mon chéri…

- Pas de problème, bébé. À tout à l'heure.

J'avais encore une scène à faire avant de pouvoir rentrer et me relaxer convenablement. Mes scènes de sexe, je ne les faisais qu'avec ma femme et elle ne les faisait qu'avec moi. Nous nous étions rencontrés sur un tournage de film porno. Ça faisait maintenant trois ans que nous étions mari et femme. Trois ans que j'étais heureux et comblé avec la femme la plus sexy, la plus souple et la plus imaginative…

Ma Bella…

...

Merci à Popolove, ma siamoise chérie, de m'avoir corriger ce chapitre et d'avoir commenter !

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J'ai perdu personne ? J'espère car le lemon n'ira qu'en grandissant !

Préparez les culottes (ou autres), les bavoirs. N'oubliez pas de payer vos factures d'eau car les douches froides devront être fréquente si je me débrouille bien !

Enfin bon, qu'est-ce que vous en pensez ? Voulez-vous une suite, encore plus chaude que celle-ci ? Voulez-vous me soutenir dans cette nouvelle fiction ?

Une seule façon de me le dire et de me le montrer : la bulle à review !

A très bientôt.

Lemonesquement, Edwardienne100