Titre de la fic: Apprendre à aimer
Chapitre: La fuite perpétuelle du bonheur
Résumé: Un jeune comte qui voit tout se qu'il sait être remit en question lorsqu'il prendra la décision d'avoir des amis, des amis du peuple mais peut il vraiment oublier son éducation de noble? Pourra t-il vivre comme les gens du peuple? Deux mondes diamétralement opposées qui mènerons la vie dure à ce jeune homme. Et il s'avère en plus que c'est un jeune homme pas comme les autres...
Couples: Naruto x Sasuke, les autres couples apparaitront au fur et à mesure que j'écrirai et donc de mes envie.
Disclamer: Les personnages de Naruto et tout se qui se rapporte au manga ou à l'animé Naruto n'est pas à moi
Commentaires: Ma toutes première fic pas forcement de très bonne qualité donc. Pleine de fautes d'orthographe. Les personnages sont OOC. Soyez indulgent j'ai fait du mieux que j'ai put.
« Mes parents ont émigrés il y a 16 ans. Je suis né peut après. Nous avions peut d'argent et nous vivions mal. Ils voulaient que j'aille à l'école pour avoir un bon métier plus tard. Ils sont morts le jour de mes 15 ans. À partir de ce moment là j'ai dut me débrouiller tout seul pour vivre. Je faisais de petits travaux après l'école c'était fatiguant mais je n'avais pas le choix. Puis, il y a eut les différentes factures. Même si je vivais seul, les montants à régler était trop élevaient. J'ai dut chercher un autre travail. J'en ai trouvé un mais il était dur, très dur. J'ai ensuite gagné suffisamment d'argent pour partir dans une autre ville, plus tranquille, loin de ce travail horrible. Mais il m'a rattrapé. Et me voila, aujourd'hui, devant vous votre majesté, à vous demander, non vous supplier de m'aider pour que je ne sois plus jamais rattrapé par ce travail maudit »
Aucune émotion ne filtrait de la voie de Neji La reine observa pendant quelques minutes qui parurent des siècles ce blanc-bec qui avait la témérité de venir implorer sa bonté devant tout Versailles. Artémis qui avait deviné les pensés du monarque voyait en ce Neji l'occasion de se libérer du joug de la reine et de retourner dans son manoir. Alors que sa majesté allait rendre son verdict, le favori royal avança d'un pas, symbolisant sa demande au droit de parler Des murmures parcoururent alors la salle. Le favori osait intervenir dans une demande faite à sa majesté ! Les chuchotements se turent immédiatement lorsque la reine pris la parole.
« Tu as quelque chose à me demander Artémis ?
- Votre Majesté, j'ai l'intuition que je pourrais aider ce jeune homme.
- Veux-tu dire par là, me faire comprendre que tu lui serais plus profitable que moi ?
- Non votre éminence, personne ne peut vous égaler, je me suis mal exprimé.
- Exprime-toi correctement alors !
- Oui votre Majesté. Je voulais donc exprimer le fait qu'ayant eut une enfance similaire à la sienne, et devinant que nous ayons fait le même travail, je pensais que mon expérience lui serait profitable et que je pourrais lui consacré tout mon temps. Cela permettrait à sa majesté de ne pas être distraite dans sa noble tâche qu'est guidé le royaume.
- Bien, dans ce cas aide le, si tu échoues tu sais ce qu'il adviendra.
- Oui votre majesté. Je me permets aussi de demander à sa majesté de pouvoir me retirer dans mon domaine en campagne bordelaise.
- Et pourquoi donc ?
- Je pense que mon manoir serait plus propice au rétablissement de cet enfant. Il si sentirait sans doute plus rassuré dans un manoir calme et sans personne plutôt que dans un palais plein de monde et bruyant.
- Très bien. Vas et guéri. »
Artémis fit la révérence et entreprit de rejoindre Neji.
« Artémis, Artémis.
- Oui monsieur ? »
Artémis se releva et constata qu'il s'était une fois de plus endormi en cours. Endormi pendant ces cours si ennuyeux. Comment diable sa mère avait elle eut l'idée d'inscrire Neji et lui même dans cette école ? Elle pensait sans doute que cela aiderait le jeune homme. Que cela distrairait son fils de l'ennuyeuse vie au manoir. Plus troublant encore, pourquoi rêvait t'in une fois de plus sa rencontre avec Neji ? Avait-il loupé quelque chose d'important ce jour là ? Mais le jeune professeur de mathématique, Mr Dart, n'avait visiblement pas l'intention de laisser Artémis à ses réflexions.
« Sais tu combien de fois t'es tu endormie pendant mon cours ?
- Sans doute la énième fois.
- Et encore. Tu n'as pas forcément besoin de suivre mon cours mais tu pourrais au moins écouter le nouvel élève se présenter !
- Oh. Je suis sincèrement désolé monsieur.
- Le ton de ta voix me dit le contraire. C'est bon allez y. »
Le professeur fit signe de la main et un jeune homme s'avança. Il allait prendre la parole lorsque la porte de la classe s'ouvrit et qu'une jeune fille blonde aux yeux bleus entra dans la classe. Sa peau blanche était couverte d'une légère robe bleue ciel.
« Excusez moi, je suis en retard. »
Sans un mot de plus, sans aucun justificatif de retard Marie-Louise allât directement s'assoir à la table libre à côté d'Artémis.
« Pas mal, l'un s'endort en cours et l'autre qui est à la bourre de…20 minutes. Vous croyez que l'on y arriver, que le nouveau va pouvoir se présenter ?
- Vous savez monsieur, ce n'est pas nécessaire. Après tout en début d'année nous sommes tous nouveau dans la classe et vous ne nous obligez pas à nous présenter. Il ferait d'aller voir les personnes qu'il veut après les cours.
- Je ne répondrais pas à cette ineptie. De toute façon nous n'avons plus le temps pour ça. Le cours est fini.
Les élèves sortirent, Artémis et Marie-Louise se dirigèrent vers l'intendance. Julien, un jeune homme blond s'approcha du nouvel élève. Ce dernier, observait Artémis s'éloigné et remarqua qu'il glissa discrètement sa main dans la poche de son sac, la ramena vivement à sa bouche et continua de marcher comme si de rien n'était.
« -Bonjour, je m'appelle Alexandre, que vient de faire Artémis, pou qu'il le fasse si discrètement ?
- Bonjour, moi c'est Julien et il vient juste de manger un biscuit. Comme leur prix augmente il le fait discrètement. Sinon pourquoi tu arrives un mois après la rentrée ?
- Tu peux me montrer le chemin de l'intendance ? On m'a demandé de m'y rendre pour remplir une fiche.
- Bien sure. Je t'y emmène Tu t'intéresses à Artémis ?
- Non, pas spécialement, il a juste l'air sympa.
- Oh je vois. »
Julien conduisit Alexandre jusqu'à l'intendance sans un seul mot. Le nouveau n'avait pas l'air bavard. Il regardait tout autour de lui, il ne laissait aucun détail lui échapper. Julien en profitât pour détailler Alexandre de plus prés. Il était habillé de façon normale, il passerait pour monsieur tout le monde s'il n'avait pas le visage qu'il avait. Il était châtain, les cheveux mi-longs, ses yeux vert turquoise faisaient immanquablement penser à la mer. Ses lèvres étaient rosées et peut charnues. Sa peau, d'un halo bronzé, suggérait qu'il avait passé un certains temps et un temps certains au soleil. Les deux jeunes garçons arrivèrent devant l'intendance où se trouvait Artémis et un jeune homme. Ce dernier était vêtu d'un pantalon noir avec un sweet gris à capuche, l'intérieur était tapissé d'une fourrure brune, était rabattue sur sa tête. On pouvait distinguer la couleur des cheveux de ce jeune homme, ils étaient châtains clair, ses lèvres peut charnues, étaient légèrement rouge clair Sa peau pale était barrée, aux niveaux des joues, par deux crocs rouge dont les sommets étaient pointés vers le bas.
« -Bonjour, tu est le nouvel élève de la classe. Comment tu t'appelles ? Moi c'est Kiba.
- Bonjour, je m'appelle Alexandre. Je vous laisse, je dois aller remplir des fiches de renseignement à l'intendance.
- D'accord on t'attend là parce qu'on a une heure de perm puis on mange.
- D'accord, je reviens, merci beaucoup.
- Kiba, pourquoi tu lui as dit ça, il avait déjà Julien !
- Tu préférerais que l'on reste en tête à tête ?
- Non, pas spécialement, et puis de toutes façons ce ne serait pas un tête à tête puisque ton chien serait là, maître chien, il est ou celui là encore ?
- Il est partit chercher quelque chose, il ne me l'a pas dit.
- Tu parles au chien Kiba ?
- Oui Alexandre, je me débrouille plutôt bien.
- Ridicule ! Ce n'est certainement pas ce que l'on peut appeler un langage, ce ne sont que des bruits plus grossiers les uns que les autres !
- Tu crois que le kitsune est mieux ?
- Tss, c'est bien moins grossier que le langage des chiens !
- Je suis désolé mais je ne pourrais pas manger avec vous. On m'a demandé trop de truc à la fois.
- D'accord, ce n'est pas grave nous mangerons une autre fois ensemble. Kiba, veut tu bien l'accompagner pour éviter qu'il ne se perde ?
- Bien sur, c'est demander si gentiment, allé viens.
Kiba s'éloigna à grand pas et Alexandre dut trottiner pour pouvoir le rattraper. Artémis émit ce que l'on pouvait qualifier d'un léger rire. Julien et lui se dirigèrent vers les bâtiments de langue.
« - Nous voila débarrassés de ce bruyant élève. Tu crois qu'il va le supporter ? Non personne ne le peut. A part toi et moi bien sûr.
- Bien sûr. Et si nous allions voir Mme Daillmard pour préparer la sortie de demain ?
- Oui bonne idée, il va falloir que l'on décide enfin où l'on vas aller.
- Ce serait effectivement utile. C'est que depuis un mois de débat, il serait temps que l'on choisisse notre destination. Où veulent aller nos prolétaires d'ami ?
- A la plage. Au mois d'avril. C'est ridicule ! Qu'ils n'espèrent pas se baigner.
- Tu m'hôtes les mots de la bouche. En avril n'hotte pas un fil, en mai fait ce qu'il te plait.
- On est bien en salle 210 ?
- Oui, nous sommes, par ailleurs, arrivé.
Les deux amis frappèrent à la porte et entrèrent dans la salle de classe. Les murs et les chaises étaient orange, la couleur de l'étage, les affiches sur les murs indiquaient clairement que la salle était utilisée uniquement pour le français et le latin. Les tables avaient été organisées en rond, pour avoir une meilleure communication lors de la réunion. La professeur de français était déjà là. Elle était assise et lisait un livre s'appelant »Les créatures du fantastiques ». Livre qui d'après Artémis avait l'air totalement passionnant et racontait toute une série de sornettes.
« - Bonjour madame, votre livre à l'air passionnant.
- Il ne l'est pas tant que ça. Bonjour les garçons. Asseyez-vous. Je ne sais pas si les autres élèves vont venir. Nous choisirons à trois dans ce cas là.
- Ce serait dommage…pour eux bien sûr.
- Tu sais Artémis, il fait bon aujourd'hui et cela devrait aller encore mieux demain. Après tout, la plage n'est peut être pas une si mauvaise idée.
- fait ce qu'il te plait. Nous avons suffisamment attendu. Votons !
- La plage.
- La plage.
- Je ne vote pas, ce n'est pas la peine. Nous irons donc demain à la plage. Vous seriez notre professeur accompagnante madame ?
- Oui, il y a un nouvel élève dans la classe non ? Sait il que le cours de français a lieu dans cette salle ?
- Oui, je suppose puisque Kiba est avec lui.
- C'est petit ce que vous avez fait là. Vous avez exploité la naïveté d'un nouveau et la gentillesse de Kiba pour votre aise. Oui, Oui madame, c'est très laid. Laissons-nous les tables en cercle ?
- Oui, aujourd'hui le cours sera sous forme de débat pour étudier l'argumentation.
- Artémis, ne dit pas nous si tu pense vous. »
Artémis se retourna vers la porte. Dans son embrasure se tenaient deux jeunes garçons. L'un avait la peau finement bronzée, ses cheveux blonds en bataille évoquaient un champ d'épi de blé au soleil. Ses yeux, deux orbes azurs magnifiques, ses lèvres charnues et rouges, tout cela donnait chaud à la personne qui regardait ce jeune homme, il respirait la chaleur. Tandis que l'autre donnait froid, terriblement froid, ces cheveux noir corbeau, sa peau pâle, ses lèvres blanchâtres et ses yeux noir d'onyx perçant, gelait le sang de toute personne le regardant. De ce jeune homme émanait le zéro absolu. Une question venait alors invariablement à l'esprit des personnes qui les apercevait ensemble, comment deux être si dissemblable pouvaient être amant ?
« - Ne dit pas cela avec ce ton Naruto, tu me donne envie de rire, et Dieu sait si cela est mauvais pour ma santé.
- On doit toujours dire ce que l'on pense !
- Que le monde serait obscur et noir si c'était le cas !
- Tu veux savoir ce que je pense peut être ?
- Non, de toute façon tu ne dirais pas exactement ce que tu pense, au mieux tu le déformerais.
- Dans ce cas la tait toi. Demain nous irons à la plage. »
La dernière phrase sonna comme étant la fin indiscutable de la conversation. Sasuke et Naruto s'assirent le plus loin possible d'Artémis. Ils se retrouvèrent du coup isolé des personnes pour l'instant présentes dans la salle. Cette dernière se remplie au compte gouttes au fur et à mesure que l'heure du cours approcha. Lorsque Neji arriva, il sentit la tension qui régnait entre Artémis et Naruto. Neji avait la peau de marbre, ses longs cheveux, d'un noir de jets mettait en valeur ces yeux aux iris d'un violet si pale qu'ils se confondaient avec le blanc des yeux si l'on ni prêtait pas suffisamment d'attention. Ses lèvres étaient presque totalement blanches. Lorsque les personnes parlaient avec Neji, elles avaient la désagréable impression de parler à un mort, ou au mieux à une statue. Neji alla prendre place à coté de Mme Daillmard. Lorsque Kiba arriva, lui ne fit pas attention à l'atmosphère pesante et silencieuse qui régnait et alla s'asseoir tout sourire avec Alexandre à côté de Naruto. Ce qui lui attira un regard qui aurait fait fuir ventre à terre le plus courageux des elfes.
« - Bien, je pense que tout le monde est là. Nous allons pouvoir commencer. Les thèmes du débat d'aujourd'hui seront, en premier lieu la franchise et en deuxième lieu le mensonge.
- Madame, vous aviez prévus ces thèmes bien avant le cours non ?
- Bien sûr Julien, Naruto tu veux commencer ?
- Personnellement, je pense que l'on doit être franc en toutes occasion, parce qu'un mensonge, quoi qu'il arrive, fini toujours par vous retomber dessus. Et se créé un ami sur un mensonge c'est ce créé un futur ennemi. Vous vous croyez aimé, vous croyez avoir beaucoup d'amis, et que le jour où ils décident de vous dire vos quatre vérité, vous vous rendez compte que vous êtes ben seul dans votre coin.
- C'est très bien Naruto, As-tu maintenant un exemple ?
- Oui madame en chair et en os assis à, votre droite. N'est ce pas Artémis ? Toujours en train de cacher la vérité, de plus ou moins mentir.
- Dois-je en rire ou en pleurer ? Parce que là franchement je n'en sais rien. Tu n'es pas un exemple de franchise Naruto, quoique plus que Sasuke ma foi. »
Artémis se leva alors, et se dirigea vers la porte. Il était clair que les reproches du blond avaient fait mouche et que maintenant Artémis allait lui faire payer. Cependant, tous les amis proches D'Artémis et Naruto lui-même savaient qu'il avait exagérait. Si il était vrai qu'Artémis avait tendance à déformer la réalité ou a simplement la cacher, l'androgyne mentait rarement, non pas par principe mais parce qu'à la cour on ne ment pas on transforme. Naruto s'avait qu'il s'était attaqué à plus fort que lui. Sa survie ne tenait n maintenant qu'au fait qu'Artémis laisserait peut être passé, qu'il ne ferait que ne pas parler aux autres pendant un certains temps. Seulement cela faisait un certains temps que le blond titillé le renard. Et il avait toutes les chances de recevoir un déluge de mot plus blessant les uns que les autres. Mais, Artémis n'en fit rien et seul Neji réagi lorsque la main de son frère adoptif actionna la poigné de la porte.
« - Tu crois que c'est une bonne idée de partir de cour parce que tu est vexé ?
- Qui est tu pour me dire ce qui est bien ou ce qui ne l'est pas ? De tout façon je rentre à Versailles, louper un cours ou non ne me fera pas grand mal ?
- Mais pourquoi pars-tu ?
- Mais, habituellement, lorsque l'on est quelque part, c'est que l'on y a des amis. Je n'en ai pas ici puisque je vous mens en permanence ! Et sache, petit blond mono neuronal, qu'être franc ce n'est pas dire tout ce que l'on pense mais penser tout ce que l'on dit. Et lorsque je dis quelque chose, je le pense toujours, je ne mens que pour protéger quelque chose ! Et si je ne vous dis jamais rien sur mon passé ou autre chose c'est parce qu'il n'y a rien à savoir ! »
Artémis se retourna, il avait presque les larmes aux yeux. Neji savait que si personne ne retenait Artémis, il s'en irait, qu'il mettrait son projet en branle. Que personne ne pourrait le faire changer d'avis, que personne ne pourrait le ramener de Versailles Qu'ils ne le reverraient plus jamais. Cette idée était des plus insupportables pour Neji. Artémis l'avait toujours aidé et lui n'avait fait qu'être un poids pour lui. Le renard l'avait toujours considéré comme un frère. Mais lui, Neji, ne le considérait plus comme un frère, au bout d'une année passée à ses côtés, Neji avait vite compris ses véritables sentiments. Et voilà que maintenant il le perdrait à jamais ? Il ne laisserait pas cela ce faire. Quitte à devoir utiliser la force, il le retiendrait ici quoi qu'il arrive.
« Artémis, tu sait pertinemment que tu ne peut pas retourner à Versailles ! La reine ne te laissera pas réintégrer la cour impunément après l'avoir quitté comme tu l'as fait !
- Très bien dans ce cas là j'irais voir mon frère en Angleterre.
- Il ne te logera pas, la reine ne t'aime pas du tout, elle te hait même. Tu te cherches juste des excuses pour satisfaire ton égoïsme.
- Je suis égoïste, je le sais, je l'assume, je fais ce qui me chante. Ce n'est pas un sot du peuple comme toi qui va m'en empêcher. Plus rien à dire ? Bien je m'en vais.
Neji n'avait alors plus de mot pour exprimer ce qu'il pensait, cependant il lui restait les gestes. Gestes qui était bien souvent plus fort que les mots. Du moins, cela dépendait toujours de la personne. Artémis avait ouverte la porte lorsque Neji lui attrapa le bras et l'obligea à se retourner. Le renard allait répliquer lorsque le jeune brun lui prit la tête entre ses mains et appliqua sur ses lèvres un fougueux et violant baiser. Une décharge d'énergie argentée s'échappa alors de la main d'Artémis et frappa Neji à la poitrine. Le brun décrivit un arc de cercle et atterrit sur le bureau de Mme Daillmard de l'autre côté de la pièce. Il ne se releva pas. Les yeux d'Artémis étaient maintenant deux globes d'ambre et ses mains baignées d'un halo argenté paraissaient meurtrières. Le jeune mage parla, sa voie était devenue aigues comme celle d'un enfant de 10 ans. Autres changement visible, ses oreilles blanches de renard étaient visibles sur le sommet de son crâne ainsi que, dans son dos, ses sept queux au bout scindées, blanches comme neige.
« - Comment ose tu vermine, poser tes sales pattes de paysans sur mon noble corps ? Qui est tu sale vermisseau pour me salir de ton amour ? Tu n'es rien. Tu ne mérites pas de voir ce qui t'aime. Oh, quel belle et plaisante idée. Je te jure que tu ne verras plus ce qui t'aime, ni ce qui te déteste d'ailleurs. Soit maudit, ad vitam aeternam. »
Tout le monde dans la salle de classe était figé de peur, de stupeur. Ce n'était pas Artémis, cet excès de colère ne lui ressemblé pas. Il était même plutôt ouvert d'esprit, voir à tendance homosexuelle à en juger par le fait qu'il n'appréciait guère les jeunes filles. Cette crise de colère ne cadrait pas avec sa raison. C'est alors qu'un jet de magie noir sortie de la main droite du kitsune et frappa Neji à l'abdomen. Elles partie du cœur et se répandit dans tout son corps avant de ce concentrée dans ces yeux puis disparue. Les personnes présente réalisèrent ce que venait de faire Artémis. Il avait rendu la personne qui compté le plus pour lui aveugle. A vie. Le halo et ses attributs de renard disparurent. Artémis, une fois sorti de sa transe, porta une main devant sa bouche devant l'horreur de ce qu'il avait fait. Et s'enfuyais en courant dans le couloir. Personne ne bougea, tous pétrifiés par les récents événements.
Vos réaction vis à vis de se premier chapitre? Vos commentaires critique et autres sont les bienvenue et utile pour l'amélioration de mon histoire.
