Ohayo mina'

Bon et bien je me lance. Voici ma première fiction... (bien, plusieurs personne ont pris la fuite) Bon, je sais que déjà d'avance que vous allez trouvez beacoup de fautes. Mais pour mon excuse, je suis obligé de tout taper sur mon portable. Et oui... pauvre petite qui n'a plus d'ordinateur car celui ci a décidé de faire la gueule.

Bon, assez de blabla. Passons au choses serieuse (*fait craquer ses doigts*). Oui je sais mon perso principale est un oc et non ce ne sera pas une Mary sue, en tout cas j'essaierai d'éviter de la rendre comme ça. Je peux déjà dire que c'est un UA (Univers alternatif) donc les persos de One piece seront forcement ooc.

Le prologue est court c'est normal mais la suite arrivera le jour suivant.

En attente de vos reaction (on croirait la fin d'une lettre)


Prologue

Je cours à perdre haleine, au fond de mon coeur, je sais que ma dernière heure risque d'arrivée. Ma conscience me dit que j'aurais dû rester dans les rangs et pas m'éloigner des chemins. Mais même si j'ai peur pour ma vie, je me sens bien, car je me dis que si j'arrive à ma destination j'ai une chance de m'en sortir.

Je pense que ce sont nos choix qui guide nos vies. Mes choix, on été totalement dingue ces derniers temps... Peut-être la raison qui me pousse a courir pour sauver ma peau mais comme Édith piaf le chante, je ne regrette rien.

Ma vie était simple et respirait la normalité. Des parents que j'aime, même si les voisins pouvaient nous entendre nous gueuler dessus parfois. J'étais lycéenne comme un peu près la majorité des gens de mon âge.

Ma vie a changé quand mes parents ont décidé de s'offrir une lune de miel, celle qu'ils n'ont jamais eu. Je n'ai rien dit car même si ce voyage durait plusieurs mois, j'étais contente pour eux et je ne voyais pas la peine dans faire un drame.

Le seul problème que j'ai du affronter c'est celle d'emménager chez mon oncle, non pas que je l'aime pas, mais ce dernier habite dans une ville située à perpette. Donc j'étais un peu triste et désorientée de m'éloigner de mes amis. Mais bon tant pis, je pouvais faire ça pour mes parents.

Je savais que ma vie allait changer mais je ne m'imaginais pas à quel point...


277 mots À suivre...