Reviens, encore une fois…
Chapitre premier : Une nouvelle année commence
Disclamer : Pas à moi malheureusement…L'apparence et l'histoire de certains persos sont par contre à moi sauf les noms. La hiérarchie des vampires, des calices et leurs particularités sont à MOI.
Résumé : Cinquième année, pendant la répartition, Poudlard reçoit la visite de deux des quatre fondateurs qui vont mener la vie dure à Ombrage. Chouette ! Mais que vient faire cette histoire de Daemonis et d'Ame-Calice ?
Paring : vous verrez bien. L'un des couples principaux apparaît vers la fin du deuxième ou du troisième chapitre…voire même plus tard.
Rating : 13 ans et plus…C'est T, non ?
Note : pendant la chanson du Choixpeau, l'italique représente les paroles originales. L'écriture normale est pour les modifications que j'ai apportées.
Note 2 : Cette histoire a une sorte de prologue qui n'est pas essentiel et qui est en cours d'écriture. Il s'appelle « Reviens » d'où le « encore une fois » du titre de cette histoire.
Bonne lecture !
On dit qu'un véritable amour est éternel. C'est vrai. Surtout en ce qui concerne les âmes-sœurs. Ils ne peuvent vivre l'un sans l'autre et continuerons de se chercher encore et encore jusqu'à se retrouver. C'est un système sans fin de réincarnation.
C'est à la fois une bénédiction et une malédiction. Car seuls ceux qui ont la vie éternelle peuvent véritablement se mettre à la recherche de leurs âmes-sœurs…
OoOoOoOoOoOoOo
Harry jeta un regard noir à Dolores Ombrage. Celle-ci était assise la tête haute dans une attitude ridicule à la table des professeurs et dardait ses petits yeux avides sur le groupe de première année qui se rassemblait devant le Choixpeau.
Harry reporta son attention sur le tabouret que venait d'amener le professeur McGonagall. Pour une raison qu'il ignorait, il sentait que cette année allait être riche en rebondissement…Mais il espérait que cela n'est aucun rapport avec la venue de la femme-crapaud.
Le Choixpeau s'agita un peu puis la fente qui lui servait de bouche s'ouvrit et il se mit à chanter :
Aux temps anciens lorsque j'étais tout neuf
Et que Poudlard sortait à pein' de l'œuf
Les fondateurs de notre noble école
De l'unité avaient fait leur symbole
Rassemblés par la même passion
Ils avaient tous les quatre l'ambition
De répandre leur savoir à la ronde
Dans la plus belle école du monde
« Ensembles bâtissons et construisons ! »
Décidèrent les quatre compagnons
Sans jamais se douter qu'un jour viendrait
Où la destinée les séparerait.
Toujours amis à la vie à la mort
Tels étaient Serpentard et Gryffondor
Toujours amies jusqu'à leur dernier souffle
Tell's étaient aussi Serdaigle et Poufsouffle,
Comment alors peut-on s'imaginer
Que pareille amitié vienne à sombrer ?
J'en fus témoin et je peux de mémoire
Vous raconter la terrible histoire.
Serpentard disait : « Il faut enseigner
Aux descendants des plus nobles lignées »,
Serdaigle disait : « Donnons la culture
A ceux qui ont l'intelligence sûre »,
Gryffondor disait : « Tout apprentissage
Ira d'abord aux enfants du courage »,
Poufsouffle disait : « Je veux l'équité
Tous mes élèv's sont à égalité. »
Lorsqu'apparur'nt ces quelques divergences
Elles n'eur'nt d'abord aucune conséquence
Car chacun ayant sa propre maison
Pouvait enseigner selon sa façon
Et choisir ses disciples à sa mesure,
Ainsi Serpentard voulait un sang pur
Chez les sorciers de son académie
Et qu'ils aient comme lui ruse et roueries.
Seuls les esprits parmi les plus sagaces
Pouvaient de Serdaigle entrer dans la classe
Tandis que les plus brav's des tromp'-la-mort
Allaient tous chez le hardi Gryffondor.
La bonn' Poufsouffl' prenait ceux qui restaient
Pour leur enseigner tout ce qu'elle savait.
Ainsi les maisons et leurs fondateurs
Connurent de l'amitié la valeur.
Poudlard vécut alors en harmonie
De longues années libres de soucis.
Mais parmi nous la discorde grandit
Nourrie de nos peurs et de nos folies.
Les maisons qui comme quatre piliers
Soutenaient notre école et ses alliés
S'opposèrent bientôt à grand fracas
Chacune voulant imposer sa loi.
Il fut un temps ou l'école parut
Tout près de sa fin, à jamais perdue.
Ce n'étaient partout que duels et conflits
Les amis dressés contre les amis
Si bien qu'un matin le vieux Serpentard
Estima venue l'heur' de son départ.
Et bien que l'on vît cesser les combats
Il laissait nos cœurs en grand désarroi.
Et depuis que les quatre fondateurs
Furent réduits à trois pour leur malheur
Jamais plus les maisons ne fur'nt unies
Comme ell's l'étaient au début de leur vie.
Puis, la vérité fut rétablie
Mais le mal était fait.
Plus jamais les grilles ne pouvaient traverser
Salazar était exilé à jamais.
Mais dans l'adversité
Il put compter sur ses amis
Et l'un parti avec lui.
Prenez garde, un Daemonis
Et son Ame-Calice
Sont de retour ici
Pour vous sauver la vie.
Dans cette vieille école
De nouveau, l'unité est leur symbole
Afin de tromper la mort,
Serpentard et Gryffondor
Se sont alliés afin de protéger
Ce qu'ils ont créés.
Cependant, il me faut accomplir ma destinée
Qui est de vous répartir chaque année
Mais je crains qu'aujourd'hui
N'entraîne cette fin qui m'horrifie
Voyez les dangers, lisez les présages
Que nous montrent l'histoire et ses ravages
Car notre Poudlard est en grand péril
Devant des forces puissantes et hostiles
Et nous devons nous unir en elle
Pour échapper à la chute mortelle
Soyez avertis et prenez conscience
La répartition maintenant commence.
Le Choixpeau se tut et un silence religieux se fit. Des applaudissements se firent entendre tandis qu'une voix riante s'exclamait :
- Bravo ! On aurait du t'appeler 'Voyant' et non 'Choixpeau'. Tu n'as pas changé d'un iota pendant tout ce temps !
Les professeurs se levèrent d'un bond et tous les regards de toutes les personnes présentes se tournaient vers les portes de la Grande Salle. Là, appuyé sur le battant droit, se tenait un homme vêtu de bottes argentées, d'un pantalon noir et ce qui devait être un chemise ample blanche. Le tout était complété par un long manteau noir à capuche et aux attaches d'argent. Une ceinture de cuir brun, tissé de fils d'or, ceignait sa taille. La capuche baignait son visage dans l'ombre, ne laissant apparaître que sa bouche aux lèvres pâles et son menton bien dessiné.
Il avait arrêté d'applaudir et avait croisé les bras sur sa poitrine, un sourire goguenard aux lèvres.
Une fausse voix de petite fille s'éleva soudain, faisant grimacer Harry et l'inconnu :
- Qui êtes-vous et que venez-vous faire dans cette école ?
- Pourquoi devrais-je vous répondre ?
Dolores Ombrage serra les dents, les yeux étincelants de colère.
- En tant que représente humaine du Ministère de la Magie et professeur de Défense Contre les Forces du Mal de cette école, je vous somme de me répondre !
- Vous ? Professeur ? Laissez-moi rire ! s'esclaffa l'homme avant de reprendre son sérieux et dire d'une voix froide et dure : Sachez aussi, que je ne reçois d'ordre que d'une seule personne. Celle-ci est en se moment même en train de faire la chasse aux Mangemorts que Voldemort a eu la gentillesse de placer en-dehors du périmètre de cette école…Alors, laissez-moi rire, le Ministère ? Me donner un ordre ? Dans ce cas, il faudra qu'il se lève tôt ! De plus, Vous ? Humaine ? Je n'en suis pas si sûre…Vous devez avoir un ancêtre crapaud quelque part…
Après quelques instants de stupeur mêlée d'effroi, plusieurs rires étouffés éclatèrent par-ci par-là. Même Rogue semblait amusé, remarqua Harry. Ombrage, elle, semblait sur le point d'exploser, les poings et les dents serrés, le visage rouge, elle se retenait à grande peine de sauter sur l'inconnu pour l'étriper. Mais elle se reprit bien vite et elle prit une grande inspiration, toussotant un peu.
- Holà ! Respirez calmement, hein ! Il ne faudrait surtout pas que vous vous étouffiez ! railla l'autre d'une voix faussement inquiète.
La salle explosa de rire, les yeux bleus de Dumbledore pétillèrent avec plus de malice qu'avant et les autres professeurs se mordaient les joues pour éviter d'imiter leurs élèves.
Tout à leurs occupations, personne ne vit Ombrage sortir un sifflet de l'une des poches de sa robe en dentelle. Mais l'inconnu, lui, l'aperçut et il arrêta de sourire et se redressa, tendu et inquiet.
Un sifflement strident retentit, interrompant les rires des étudiants de tout âge et ceux des professeurs. Une chape de froid bloqua les mots dans les gorges et la peur et la tristesse s'insinuèrent dans les pensées. Certains d'entre eux, reconnaissant la sensation désagréable (dont Harry, Hermione et Ron) se levèrent d'un bond, baguette au poing tandis que trois grandes forme noires d'une vilenie repoussante, apparaissaient dans la Grande Salle, juste devant la table des professeurs et entre celles des Serpentard et des Gryffondor. (NDA : pour moi, les tables sont ainsi, de gauche à droite : Serdaigle, Poufsouffle, Gryffondor et Serpentard)
Mais avant même que quelqu'un pense au sort du Patronus pour les repousser, une voix douce et grave tonna :
- Spero Patronum !
Le détraqueur le plus proche de la porte disparut d'un cri déchirant après avoir été foudroyé par un éclair aveuglant.
L'éclair ne toucha pas le sol mais s'éleva dans les airs pour se poster devant les Gardiens d'Azkaban. Là, il sembla se contusionner, s'allonger, se compresser et peu à peu, il prit forme.
Ce qui ressemblait à un tube concentré de lumière se complique, se déforme, faisant apparaître une jambe…accompagnée par sa jumelle…deux bras…deux mains…une épée scintillante…
…Et une paire d'ailes d'une éblouissante beauté.
Là, devant toute une assemblée abasourdie et deux détraqueurs qui commençaient à ressentir de la peur, se tenait un ange guerrier, flottant à plus de quarante centimètre du sol.
L'Etre de Lumière portait d'étranges protections aux jambes. Celles-ci recouvraient la cheville et le talon sans gêner les mouvements, enserraient souplement le mollet et se terminaient en fines pointe au-dessus du genou de sorte à que si l'ange donnait un coup de genou à son ennemi, celui-ci se verrait proprement embroché. Des protections aux avant-bras, aux épaules ainsi que des gants un et casque, qui cachaient les traits de son visage, venaient complétaient le tout. Une longue tunique de style médiévale révélait son corps et ses muscles bien dessinés tandis que ses longs cheveux détachés flottaient dans son dos.
Plusieurs filles et garçons se surprirent à baver devant l'être irréel. Ils se secouèrent, subjugués par le charisme qui se dégageait du Patronus puis ils reportèrent leur attention sur la mini bataille.
Les ailes se déployèrent d'un coup et l'ange se mit en mouvement, épée levée, prête à frapper et ses mouvements rendus indistinct à cause de sa vitesse.
Shlack !
Un détraqueur disparut de la même manière que le précédent après un long et horrible cri qui dit grimacer les personnes présente. Seul l'inconnu était imperturbable, un doux sourire étirait ses lèvres et il semblait fier. Fier ?...Mais fier de quoi ?...
Le troisième et dernier détraqueur tenta de s'échapper. Trop tard, le Patronus était déjà sur lui.
Shlack !
Le dernier détraqueur cria et l'ange s'écarta de lui en faisant un prodigieux salto arrière alors que le gardien disparaissait. Le Patronus-Ange atterrit avec souplesse juste devant l'inconnu, toujours appuyé sur le battant, et faisant face à la table des professeurs comme pour défier Ombrage d'appeler d'autres détraqueur.
- Alors ? demanda l'encapuchonné.
- Devine ! répondit la même voix forte qui avait lancé le sort tandis qu'un homme vêtu exactement de la même manière que l'inconnu entrait d'un pas sûr dans la Grande Salle. Il y en avait deux cachés près du portail et trois autres à l'extrémité de la Forêt Interdite.
- Whooooh ! Voldy-chou nous sous-estime !
- On dirait. Remarque, il ne sait pas encore que nous sommes de retour…
- En effet…Et qu'en as-tu fait ?
- De qui ?
- Tu te moques de moi ? gronda l'autre, hérissé.
- Je les ai envoyés au Ministère de la Magie accompagnée d'une Beuglante pour cette incapable de Ministre…
- Comment osez-vous ? hurla Ombrage en se dirigeant à grands pas vers les deux encapuchonnés. Après tout ce que nous avons fait pour les sorciers d'Angleterre, les institutions, les Aurors que nous avons formés, l'aide à la construction de cette école…
- Excusez-moi, mais le Ministère n'a jamais déboursé une seule noise pour la construction de Poudlard, rétorqua sûr de lui le nouvel arrivé.
Cette affirmation jeta un froid dans l'assemblée qui regardait à pèsent avec des yeux encore plus ronds les deux inconnus.
- Sery ? demanda le premier inconnu.
- Hum ?
- Tu crois que c'est elle ?
- Vu comment elle a appelé les détraqueurs, je pense, oui…
Ombrage pâlit brusquement
- …En parlant d'actions bénéfiques, continua le deuxième, j'ose espérer que vous ne parlez pas de ce que vous avez fait cette été...Parce qu'envoyer des détraqueuers dans une rue remplit de moldus…Ce n'est pas vraiment ce que j'appelle une bonne action…
Harry écarquilla les yeux et se leva d'un bond en hurlant :
- Alors c'était vous !
La salle se fit silencieuse, certains se demandant ce qui se passait. Les yeux de Dolores se rétrécirent, emplis de folie et un sourire mauvais se dessina sur ses traits. Quand elle parla, sa voix n'avait plus rien d'une enfant, elle était froide et dure :
- Bien sûr que oui, tu ne pensais tout de même pas que deux détraqueurs seraient sortis sans ordre d'Azkaban ? Pauvre ministre…Il a suffit d'un simple sort de confusion pour qu'il croit dur comme fer que tu avais voulu faire ton intéressant. Quel dommage, un sort d'oubliette et vous oublierez tout…
Ses yeux fous fixaient le vide devant elle, elle semblait perdue, continuant son monologue, construisant des plans plus farfelus les uns que les autres. L'épéiste sourit et déclara avec calme :
- Je crois que vous avez assez de preuves maintenant, messieurs les Aurors, Monsieur le Ministre…
Ombrage se tut aussitôt, les yeux écarquillaient et le silence tomba dans la salle quand les Aurors et le Ministre apparurent en personne de sous leurs capes d'invisibilité, pâle comme des linges.
Normalement, le chapitre s'arrête ici mais, le deuxième étant trop court avec le peu qu'il y a, je le mets à la suite. Bonne lecture !
Dolores Ombrage fut maîtrisée en peu de temps et envoyé de suite sous bonne garde dans les prisons du Ministère en attendant son procès.
Les professeurs poussèrent un soupir de soulagement de même qu'Harry, Hermione et les Weasley. Ils n'auraient pas à la supporter toute l'année.
Harry reçut de l'argent en dédommagement et son casier judiciaire fut blanchit. Les membres du Ministère partirent bien vite et le silence retomba sur la Grande Salle. Les deux inconnus étaient toujours là.
Dumbledore fit disparaître les plats afin que les elfes de maison les réchauffent et il mit ses mains sous son menton, vrillant ses yeux pétillent sur les visiteurs.
- Ceci étant réglé, pouvez-vous nous dire qui vous êtes et ce que vous venez faire ici ? demanda-t-il.
- Vous n'avez pas encore deviné ? s'étonna le premier.
- Laisse-le, le rabroua l'autre. Ce n'est pas de sa faute.
- Mais la chanson était pourtant claire…
- Veuillez m'excuser, Seigneurs. J'aurais du ajouter plus d'indices, répondit le Choixpeau.
Certains sursautèrent, ayant complètement oublié la présence de l'entité. Dumbledore haussa un sourcil étonné. Il avait bien entendu le mot « Seigneurs » ?
- Eh bien, chante-la encore une fois ! s'amusa le guerrier en agitant la main. Mais seulement le passage qui nous intéresse.
Le Choixpeau s'exécuta de bonne grâce :
Les maisons qui comme quatre piliers
Soutenaient notre école et ses alliés
S'opposèrent bientôt à grand fracas
Chacune voulant imposer sa loi.
Il fut un temps ou l'école parut
Tout près de sa fin, à jamais perdue.
Ce n'étaient partout que duels et conflits
Les amis dressés contre les amis
Si bien qu'un matin le vieux Serpentard
Estima venue l'heur' de son départ.
Et bien que l'on vît cesser les combats
Il laissait nos cœurs en grand désarroi.
Et depuis que les quatre fondateurs
Furent réduits à trois pour leur malheur
Jamais plus les maisons ne fur'nt unies
Comme ell's l'étaient au début de leur vie.
Puis, la vérité fut rétablie
Mais le mal était fait.
Plus jamais les grilles ne pouvaient traverser
Salazar était exilé à jamais.
Mais dans l'adversité
Il put compter sur ses amis
Et l'un parti avec lui.
Prenez garde, un Daemonis
Et son Ame-Calice
Sont de retour ici
Pour vous sauver la vie.
Dans cette vieille école
De nouveau, l'unité est leur symbole
Afin de tromper la mort,
Serpentard et Gryffondor
Se sont alliés afin de protéger
Ce qu'ils ont créés.
- Je suppose que cela répond à vos questions, rigola le premier arrivé, son éternel sourire narquois collé aux lèvres.
Hermione agrippa les bras d'Harry et de Ron, les yeux écarquillés. Les élèves et les professeurs sursautèrent, comprenant la chanson. McGonagall et Rogue faillirent tomber de leurs chaises sous la surprise. Les yeux bleus de Dumbledore pétillèrent avec plus d'amusement encore. Il avait bien deviné. Il se leva et s'inclina :
- Bien, je n'ai plus à ajouter dans ce cas. Sauf ceci : Bienvenue dans cette école que vous avez bâtie, Salazar Serpentard, Godric Gryffondor…
FIN du premier chapitre !!
Voilà ! Finie. Je m'excuse mais la fin ne viendra pas avant longtemps. Je pose ce début pour tâter un peu le terrain et pour éviter que quelqu'un ait la même idée avant moi !
En attendant, essayez de deviner pourquoi Salazar à appeler Godric « Sery » (qui vient du mot « Seryuna », prononcé Sery ouna, mot de ma composition) Là encore, la réponse est dans la chanson !!
Un petit commentaire ?
Biz
Karuka-san.
