Les Nouveaux Feux de l'amour

Copyright : Avant toute chose, les personnages principaux et déjà inclus dans les « Feux de l'amour » appartiennent à la chaîne de télévision américaine CBS et des producteurs des « Feux ». Toutefois, des personnages originaux de ma création apparaîtront dans cette fiction. Merci.

Note de l'auteur : Cela fait assez longtemps que je n'ai pas suivit assidument les Feux de l'amour et en retombant dessus m'est venu en tête ce scénario qui ne tient pas en compte des épisodes actuels et développera au fur et à mesure sa propre intrigue et personnages.

Partie I : Le souffle du changement

Résumé de cette partie I : Des cartes vont être rebattues à Genoa city pou vos personnages préférés avec l'arrivée de nouveaux habitants dont vous ferez ici la connaissance. Bien que son mariage avec le grand Victor Newman batte de l'aile du à la menace de périclitassions des célèbres entreprises Newman, Nikki Newman doit également recueillir au ranch sa sœur aînée Casey et sa fille de 14 ans dont elle ignorait l'existence jusqu'ici, alors que celles-ci sont peut être en grande plus grande détresse qu'elles le croient. Bonne lecture.

Chapitre 1 : Les Prémisses d'une nouvelle donne

Au luxueux ranch Newman, lorsque le vent se lève en soirée Nikki Newman, officiellement aux prises avec un mal de tête pour le monde extérieur, n'était pas d'humeur à sortir dans les hauts lieux de Genoa city ce soir depuis que Victor avait appelé pour annuler un dîner aux « Colonnades », leur restaurant fétiche à tous les deux car Newman Entreprise exigeait qu'il reste encore et toujours à son bureau. Vêtue d'une chemise de nuit en soie, elle s'allongea puis s'installa confortablement sur le grand lit spacieux bien trop grand pour une seule personne soupira t'elle dans le vide de la grande pièce ronde. Une prémonition chevillée au corps lui avait fait parcourir les pages d'un vieil album de famille au feuillet déjà jauni et ou elle vit une photo où sur une plage souriaient elle et sa sœur pour mieux cacher au monde leur enfance imparfaite qui ne se teintait pas devant toutes les devanture songeait' elle dans sa chemise de nuit de satin et de soie. Pourquoi Casey Reed, un médecin émérite, reconnue de tous, avait elle cessée de donner des nouvelles sans donner aucune explication, ni son adresse. Elle n'avait pas eut encore le temps à sa grande honte de s'occuper à entamer des recherches, occupée en tant que grand-mère accomplie à porter comme se devait le deuil de Cassie Newman, sa petite fille adoptive chérie trop tôt arrachée à sa famille, il y avait à peine trois mois de cela à cause d'une fête ayant conduit à un stupide accident puis au drame qui avait bouleversé et mit en émoi toute la ville la plus entrepreneuriale de tout le Wisconsin où la guerre entre les cosmétiques Jabott et les produits de beauté Newman faisait rage. Demain, elle irait voir le détective Paul Williams, son ancien fiancé et amant, devenu un ami fidèle sur qui compter lors de multiples occasions et elle pourrait lui demander d'entamer la procédure qui autoriserait la police à diligenter l'enquête officielle et nul doute qu'il se renseignait aussi en parallèle de son propre côté comme il pouvait le faire lorsque il arrivait que des proches soient plus ou moins impliqués dans les affaires qu'il traitait.

Assis tard le soir à sa table de bureau, le grand Victor Newman plongeait son nez et sa moustache dans les fichiers informatiques de Newman entreprise et une pile de dossiers. Lui, le parfait homme d'affaire américain partit de rien, risquait pour la première fois de perdre tout l'empire qu'il avait mit tant de temps à construire et auquel il avait consacré toute sa sueur et ses efforts. Il soupira et tâcha de se remettre à l'ouvrage avec plus ou moins d'efficacité. Pour mettre tout ceci au clair, la tâche serait plus âpre que prévue, il aurait besoin d'une bonne dose de café ainsi que son bras droit Neil Winters, qu'il fit appeler par Joanne, sa secrétaire qui à son instance travaillait encore pour lui sans même sourcille à l'idée, le connaissant, de probablement le réveiller à vingt-trois heures trente précise, même un samedi soir. Mais au vu de l'urgence de la situation, il ne saurait être question de faire autrement et le fidèle employé zélé comprendrait sans doute.

A la même heure, au saint du siège des cosmétiques Jabott, Jack Abbott pensait maintenant vraiment qu'il ne saurait plus contenir sa jubilation bien longtemps surtout si le hasard parvenait à le mettre en face de ce chevalier noir toujours arrogant et goguenard, ce monsieur moustache de pacotille, le PDG de Newman Entreprises qui ne verrait pas venir sa prochaine défaite surgir. Elle serait la première et la dernière car contrairement à celles obtenues précédemment par son rival de toujours, celle-ci aurait le mérite de balayer définitivement la concurrence aux oubliettes. Et la supériorité de Jabott serait enfin reconnut de tous pour toujours s'émut Jack en contemplant le portrait de son père bien aimé John Abbott, fondateur de Jabott Cosmétiques qu'il remplaçait dûment dans ses hautes fonctions et du mieux qu'il pouvait. Il songea à quel point il accomplit du bon travail et qu'après avoir envoyé des emails convoquant le conseil d'administration au complet pour une assemblée générale extraordinaire, il pourrait pour peut être la première fois depuis longtemps s'endormir un sourire triomphant aux lèvres en pensant à son ennemi juré.

- Excusez-moi Monsieur Newman, mais Monsieur Winters viens d'arriver se justifia la secrétaire pour avoir déranger le grand patron dans son office.

-Je vous remercie Joanne. Faîtes rentrer Monsieur Winters et vous pourrait rentrer chez vous.

-Merci Monsieur Newman. Et bonne nuit.

-C'est ça. Bonne nuit à vous aussi répondit' il un peu sèchement pour retourner la politesse en guise de conclusion.

Neil Winters resta au pas de la porte jusqu'à ce que la secrétaire eut prit congés, ne la lâchant pas du regard.

-Vous vouliez me voir Victor ? Se reprit' il. Qu'y a-t-il de si urgent pour que vous me fassiez lever au beau milieu de la nuit ?

L'homme d'affaire au cheveu poivre et sel le regarda droit dans les yeux et le pointa du doigt d'un air rageur et menaçant que Neil, malgré avoir été le témoin privilégié de nombres de ces colères ne lui connaissait pas jusqu'à présent.

De l'acception générale, les samedis soirs étaient faits pour s'amuser, décompresser et relâcher la pression après une dure semaine de labeur. Voila précisément ce que faisaient Monsieur et Madame Cane Asbhy. L'ancienne Ashley Abbott, fille du magnat des cosmétiques et petite sœur de l'héritier tout désigné.

-La soirée t'a plu mon amour.

-Elle était vraiment parfaite s'enthousiasma Ashley, reconnaissante du dîner romantique et de la soirée dansante qui l'avait accompagnée.

-La façon parfaite de rentrer de nôtre lune de miel termina t'elle dans un sourire coquin en évoquant ce souvenir que ni lui ni elle, objectaient à prolonger dans leur nouveau lit conjugal.

Posant ses mains sur ses hanches, il commença à faire tomber sa robe de cocktail rouge quand ne voulant crouler sous ses caresses le souvenir de plusieurs messages pressants de Jack sur son téléphone portable, consulté à l'arrivée à l'aéroport la rappela à elle et tempéra temporairement ses ardeurs mais en revanche le jeune époux se trouvait bien incapable de réfréner ses passions. Après avoir embrasé sa bouche, il embrasait à présent ses épaules nues et en feu.

-Attends Cane, laisse moi consulter mes emails avant plaida difficilement Ashley qui ce serait également bien passer de cette corvée.

-Ma petite femme s'extasia t'il avec taquinerie. Je ne savais pas que ma femme serait incapable de décrocher de son travail aussi séduisant son mari soit' il. Peut être devrais-je me montrer lus convaincant fit' il faussement plaintif.

-Je regarde juste mes emails comme Jack m'a demandé de le faire et je suis à toi après lui répondit' elle suggestive. Il essayait de la tenter et résolut alors de l'attendre alors qu'elle consultait son courrier électronique ainsi que Jack l'avait ordonné et qu'au même instant, se délassait en bullant dans bain moussant chaud, relaxant et réparateur, Jill Abbott recevait les mêmes instructions sur son I-pad Les informations indiquaient une réunion au sommet exceptionnelle demain à 10 heures trente au bureau de « Jabott Cosmétiques ».

-Nous ferions mieux dans ce cas de nous dépêcher et profiter du temps qu'il nous reste lança t'il malicieusement. Elle l'embrassa en souriant.

-Je suis d'accord. Je vais me changer dans la salle de bains et je reviens lui répondit' elle.

Tandis qu'au même moment deux camions de déménagement « U-Haul » venaient de traverser près de la moitié des Etats-Unis sans jamais se croiser et atteignaient finalement de la même façon leur destination commune en arpentant finalement les rues de Genoa city sans pour autant se trouver. Un véhicule de location blanc fort discret suivait l'un deux et à la demande de ses passagères se vit déposer devant un hôtel semblant le moins onéreux selon leurs recherches internet. Le camion débarquerait comme convenu au préalable leurs maigres affaires emportées en toute hâte dans un centre de stockage prévu par l' efficace entreprise de déménagement à cet effet. Il pleuvait cette nuit là sur le Wisconsin, une femme, au manteau gris, aux cheveux longs, bouclés et blonds entouraient sa fille adolescente portant un jean et un pull over bleu qui lui ressemblait beaucoup au même âge même si son avenant visage d'ange était recouvert qu'elle relevait jusqu'au niveau des yeux et d'un parapluie fermement ouvert et tenue par la maman alors qu'elles faisaient dûment et prestement leur entrée dans le hall de l'hôtel qui leur ferait encore plus compter les deniers.

-Nous sommes arrivés dit un homme de moyenne stature et tout aussi blond que sa femme était brune et dont la peau reluisait à la lumière de la lune. Elle tenait dans ses bras et emmitouflait dans une couverture, son amour absolu, son fils de 7 ans, qu'elle Ava Earl, née Sim avait choisi de prénommé Oliver. Leonard Earl regarda longuement leur nouvelle demeure avant d'y faire rentrer sa femme et son fils à l'intérieure.

Mais étaient' il seulement les seules dans la nuit étoilée à faire le vœu d'une nouvelle vie mais ne pouvaient oublier qu'ils poursuivaient un but bien précis ? Tout comme Donald Aider, nouvel arrivant et désormais officier de police au commissariat de Genoa city, méditant mystérieusement dans son nouvel appartement ?

A la tour Newman Entreprise, Neil comprit très vite que son patron fulminait et ne décolérerait pas tant qu'il n'aurait pas obtenu satisfaction.

-Pourquoi le système informatique de Newman Entreprise a-t-il été infiltré Winters?

-Quoi ? Comment est-ce possible demanda le fidèle bras droit qui ne s'attendait vraiment pas à une chose pareille.

Quelques instants plus tard à la résidence Abbott dans le quartier récemment aménagé pour Ashley et son nouvel époux, celle-ci sortit de sa salle de bain privée avec pour lingerie une longue chemise de nuit de satin décolletée confectionnée sur mesure à l'occasion de ses noces, Cane s'approcha et la lui défit les époux Asbhy se retrouvaient dans le grand lit nuptial ou ils s'allongèrent pour y faire l'amour comme pour prolonger leur idyllique lune de miel dans la magnifique île de Saint Barthélémy dans les caraïbes.

Au siège, de Newman entreprise, la lumière du bureau du chef de l'entreprise était toujours allumée et on veillait pour prendre connaissance de l'ampleur de la situation.

-Comment Victor vous voulez dire que nôtre système informatique à été infiltré ?

-Absolument. Je suis formel Neil et je ne vous dit pas ça de gaieté de cœur.

-Mais alors cela veut dire qu'automatiquement on a réussi à pénétré et immunisé nôtre système de défense.

-Précisément fulminait l'homme d'affaire et moustachu le plus célèbre de Genoa city.

Dans un coin moins reluisant de la ville, la femme au carré dégradé et sa fille se trouvait maintenant être au moins au sec et ne passerait pas la nuit dehors. Mais demain ?

Elles passeraient tour à tour dans la salle de bain. La belle adolescente s'essaya avec délice aux quelques essences proposées et disposées dans la salle d'eau par l'établissement. Ainsi parfumée et enroulée d'une moelleuse serviette, elle révéla à la glace le reflet de ses cheveux dorés qui sentaient bons et sur ses épaules, on pouvait apercevoir des goulettes qui perlaient et persistaient encore. Elle en eut finit de s'essuyer et eut la coquetterie de se passer un crème de soin qu'elle appliquait consciencieusement sur son visage, qu'ainsi elle ne vit pas sa mère qui arrivait derrière son dos et qui visiblement était nerveuse.

-Tu es sûre d'avoir tout compris ma chérie ? La questionna t'elle.

-Oui maman, Je m'appelle Eleanor Noor Harrison et toi, Nadine Jenkyll et moi sommes venus nous installés ici dans le Wisconsin après que ton divorce d'avec mon père eut été prononcés en Californie.

La Californie était un endroit ou les deux femmes n'avaient en réalité jamais mit les pieds.

-Mais je comprends pas pourquoi malgré tout on ne pourrait pas aller voir Tante Nikki réfuta la désormais nommée Eleanor. Tu ne m'as pas dit qu'elle était mariée à un riche homme d'affaire. Elle doit donc être riche à millions, elle et elle pourrait nous aider.

-Parce que c'est précisément la première personne à laquelle ton père pensera vers laquelle nous nous sommes retournées. Et par conséquent, son domicile est le premier endroit qu'il visitera fatalement.

-Alors c'est idiot d'être venus du Montana jusqu'ici objecta t'elle encore en faisant une moue qui fit rire sa mère.

-Pas du tout, pas du tout se défendit bien vite Nadine pour rassurer sa fille. Car lorsqu'il aura quitté la ville ne trouvant pas ce qu'il était venu chercher, c'est là enfin qu'on pourra refaire surface au grand jour.

-D'accord maman accepta t'elle enfin. On fera comme tu le voudras.

-Bien confirma t'elle résolue à maintenir ce cap et ce plan d'action. Et d'un ton plus léger.

-Et maintenant la salle de bain est à moi, jeune fille. TU vas te coucher ?

-Je vais regarder un peu la télé avant, je n'ai pas vraiment sommeil.

-D'accord mais rien qu'un peu. Demain est un jour important et je veux que nous soyons en formes toutes les deux. J'irais essayer de trouver du travail et t'inscrire au lycée.

-Bonne nuit maman. Je t'aime.

-Je t'aime aussi ma chérie. Fais de beaux rêves.

Fins du chapitre. Merci de l'avoir suivi. Vos commentaires sont les bienvenus. A Bientôt