« Je t'interdis de lever la main sur lui !!
- Tu n'as pas à me donner d'ordre, sale monstre !
Main qui fend l'air.
Coup de poing dans le ventre ; grognement.
« Arrêtez putain, arrêtez !!
- Toi, fermes-là !! Tu vaux pas mieux que lui !! J'aurais dû le voir, avec tes fringues et tes manières de tafiole !!
- TA GUEULE !!! Tu la rouvres une seule fois j'te démonte !!
- Tu crois m'faire peur la tapette ??
Gifle.
« Non mais tu vas pas la fermer ta grande gueule, toi ?!
- Tu montes pas le ton sur moi, le PD, OK ?!?
- LE PD, Il TEMMMEEEEERDE !!! Ça t'va comme ça ??? Qu'est-c'ça peut t'foutre de toute manière ??? Ouais j'me fait enculer, et alors, c'est TOI qui la sent, sa queue dans ton cul ?! Alors TA GUEULE !!!
Silence…
Court.
« T'es mon père putain, tu peux pas accepter qu'i'm'rende heureux ?!
- Heureux ?! Tu délires pas un peu, là ?! C'est ton frère, PUTAIN, TON FRERE !!!
- Et ALORS ?!? Tu vas nous dénoncer pour nous faire aller en taule ?!? Là où les tapettes se feront violer par tous les mecs en rut ?! Heureusement qu't'es notre père !
- J'ai jamais choisi à avoir des PD incestueux sous mon toit !
- Ça tombe bien, on vit pas chez toi, mais chez maman !!
Touché. Coulé ?
« J'parie qu'c'est toi ! Avec tes manières de tarlouse et tes fringues de putes !!
Deux pas, bras brutalement saisi.
« Tu voulais t'faire sauter, et y avait qu'lui à proximité !!
- MAIS TU VAS ARRÊTER D'DIRE CES CONNERIES OU QUOI ??? Bill y est pour rien alors tu l'lâches ou j'te défonce !!
Jeune homme furieux, les poings tellement serrés qu'il s'en blesse les paumes.
« T'y tiens à ta princesse ??? Elle baise bien ?!?
Genou qui remonte vivement.
Homme qui se plie.
Gémissement.
Voix froide – implacable.
« Qui t'dis qu'c'est pas moi qui l'mène, ducon ?
Halètement.
« J'croyais qu'tu comprendrais, tu sais… J'le pensais sincèrement. J'me suis trompé !
Jeune homme calme, accroupi.
Tête relevée – doucement.
Voix onctueuse, regard glaçant – glacé.
« Tu peux crever maintenant – Tu entends ? Tu peux crever, Kaulitz ; ça nous f'ra ni chaud ni froid.
Rapprochement, froissement de tissus.
Main tendrement posée sur une épaule basse.
« T'es plus notre père, Kaulitz,
- t'es plus rien.
Le jeune homme accroupit se relève, le regard froid.
A un sourire en coin. Si étrange sur ce visage encadré de cheveux bruns…
« Bye bye, Kaulitz… !
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Neuf jours plus tard.
La une de tous les journaux :
Jörg Kaulitz retrouvé mort chez lui
Cause du décès : suicide
Sourires jumeaux.
Heureux.
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C'est totalement différent de ce que je fais d'habitude – quoique - deuxième heure de philo, migraine et envie de vomir… Courage, plus qu'un quart d'heure -
Küsse Leute [ si y en a XD
PS : Je comptais écrire les cinq OS today mais en fait je n'ai pas pu. Alors, à suivre dans les prochains jours. Même si le blog n'est pas relié j'essaierai de speeder