Disclaimers : Les persos appartiennent tous sans exeptions à JK Rowling, je n'autorise juste à les maltraiter un peu - mais pas beaucoup, c'est promis.
Le titre et l'inspiration de cette "fiction" provient de la chanson éponyme de Sum 41 : 32 Ways to die.
Résumé : Cett Fic retrace des moments de la vie de Harry Potter, Ginny Weasley, Hermione Granger et Ron Weasley durant leurs scolarité à Poudlard grâce à la pensine de Dumbledore que Harry Potter à récupérer une fois ses études terminées. Les relations décritent par JK Rowling sont respectées. Ce recueil d'One-Shot a pour but de détendre. Ils sont relativement courts et se lisent - je pense - très facilement. J'espère vous amuser un peu, puisque le sérieux n'est pas rationnellement au rendez-vous.
PS:Entre l'humour et la parodie soft.
PS² : Par '32 façons de mourir' j'entend ici 32 passages que nos amis auraient préféré oublier.
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On discutait dehors, sous un chêne de grande taille, à l'abri des regards indiscret et des oreilles trop tendu. Rassemblé là à une table, on parlait de tout, de rien de manière à ressasser le passé et à évoquer le futur. C'était pour ainsi dire un de ses rituels que ce réservait le couple Potter en la charmante compagnie du couple Weasley. Ensemble, ils étaient une grande famille, ils avaient vécu les mêmes chose, et même, avait survécu au même destin.
Vers 15h00, on changea passablement le sujet, passant des géniteurs aux grands sorciers de ce monde qui, il y a trois ans, mordait encore la poussière sous le contrôle du Mage Noir le plus célèbre de tout les temps. On aborda alors le cas Albus Dumbledore, décédé trop tôt bien qu'à 150 ans, peu de gens survivent même si sont de grands sorciers. Il y avait beaucoup à dire sur l'homme à la barbe aussi longue qu'une chemise de nuit. Dumbledore, un grand homme. Un grand penseur. Une philosophe conscient de son intelligent et disposé à aider autrui dans n'importe quelle circonstance, une lumière dans un monde où les Ténèbres semblait savourer le pouvoir de leurs maitres à la montée de sa puissance et...
_ « Ginny, où vas-tu ? » Cria un homme dont la cicatrice n'était plus un mystère, alors que sa compagne venait brusquement de se lever, l'air azimuté sur son visage si doux.
_ « Pause pipi » ricana le jeune homme roux bien avant que celle qui partageait sa maisonnette ne lui refile un de ses coups dans les côtes.
En réalité, ce phénomène se répétait souvent ces temps-ci, bien qu'à y réfléchir, cela allait de soit. La guerre avait cesser depuis trois ans, la date exacte approchait à grand pas feutré, prête à bondir par le biais d'image horrible et tortueuse à la moindre occasion dans leurs rêves les plus chaleureux. Souvent il arrivait à Ginny de ne pas trouver le sommeil avant le petit matin. Elle avait peur. Peur de le perdre, peur de tout perdre. Alors Harry se rapprochait de son corps, l'enlaçai doucement et posait sa tête dans son cou, lui chuchotant les moments doux les plus rassurant.
_ « Ginny, que Diable fais-tu avec une bassine de pierre ? » la sermonna tranquillement Hermione Granger.
_ « Tu ne vois donc pas que c'est un bac à poisson ? » rétorqua Ron, convaincu.
Ginny déposa la cuve au poids écrasant, tapa deux, trois fois dans ses mains pour la poussière de pierre et, regard de dément dans les pupilles, brandit quelques fioles sous le nez de ses comparses.
_ « La pensine, » murmura Harry d'un souffle à peine audible tant sa surprise fût grande.
_ « Tu es sûr ? » répliqua la brune aux boucles intraitables. « Mieux vaudrait lire les symboles qui figure sur le pourtour du bassin ! J'ai lu un article très intéressant ce matin dans une revue Sorcière qui développait la thèse de l'ignorance lorsque... »
Elle se tût, bien consciente que peu de gens prenaient garde à ses paroles, aussi sensées soit-elle. Elle recala une mèche de cheveux derrière son oreille, claqua trois fois sa langue et se pencha en avant de manière à bien tout saisir des mots de sa futur belle-sœur :
_ « On a vécu bien trop d'aventures pour les laisser pourrir au fond d'une fiole, ce serait vraiment déplacer de la part des héros de guerre que nous sommes. Certes les mauvais moments nous perturbent encore de temps à autre, je crois par conséquent que nous ne devons pas oublier les bons. Si Voldemort a bien faillit nous tuer tous autant que nous sommes, nous avons bien faillit connaître la mort par bien des moyens – et Merlin sait que les Mangemorts n'avaient rien à voir là-dedans ! »
Tous opinèrent, Ginny poursuivit :
_ « Aujourd'hui, je veux rire de nos bêtise et pleurer de notre stupidité. Nous sommes bien assez grands et bien assez mature pour le faire, nous disposons du recul nécessaire, non ? Et avant que notre vie change du tout au tout, je pense qu'il est grand temps de faire le deuil de notre passé, avant que l'un nous ne se mari ou n'opte pour un enfant, avant qu'il soit trop tard, je tiens vraiment à faire le compte de mes souvenirs heureux."
Harry et Hermione acquiescèrent vigoureusement tandis que Ron, lui, restait sceptique.
Mais il était trop tard, les fioles avaient déjà été déversés dans la bassine de pierre.
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Ne restait plus qu'à y plonger.
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Ils allaient bientôt se souvenirs des 32 façons de mourir...
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