The Secret

N/A : Ok, ceci est ma première fic sur HP. C'est un OS parce que ma muse de l'écriture est morte depuis que l'école à commencé. J'ai déjà deux fics inachevées et je n'ai pas besoin de plus ! Cette idée est venue lors d'une étrange conversation avec mon frère. Je parlais des Fondateurs de Poudlard et mon frère commenta, « Je ne comprends pourquoi pour tout le monde, Salazar Serpentard est mauvais. Comment peut-il être méchant alors qu'il était le meilleur ami de Gryffondor ? » Ceci est, en une conversation, la raison de l'existence de la Chambre des Secrets relatée dans cette petite fic!

Disclaimer : Non, je ne possède ni Harry Potter ni aucuns des autres personnages seulement cette conversation entre certains d'autre eux. TT Satisfait ?

Secrets - La réelle raison de la construction de la Chambre des Secrets

Écrit par Bind T. Way

N/T: mon premier essai de traduction! J'espère ne pas avoir été trop mauvaise --' Je cherchais de fics sur les Fondateurs (on peut pas dire qu'il y en ait beaucoup en français) et j'ai adoré celle-ci, alors j'ai décidé de la partager avec ceux qui ne parlent pas (bien) anglais! En fait, c'est une série de OS, et je dois encore traduire le prochain... Bonne lecture!

Traduit par Lady Ange Shadow.

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« Mais, Sal ! » gémit un sorcier blond d'âge moyen. Il était debout, au pied d'une des tours de Poudlard avec son meilleur ami, et geignait comme un enfant.

« Non », répondit son meilleur ami pour la millième fois. Il n'avait pas le droit de montrer une faille maintenant, après tout le discours qu'il lui avait servi.

« Viens, Salazar ! » le blond gémit encore.

« J'ai dis NON, Godric ! » dès qu'il était un peu agité, Salazar Serpentard avait tendance à siffler et à oublier d'articuler correctement.

« S'il te plait ? » insista Godric Gryffondor, qui était habitué aux sifflements de Salazar.

« Tu n'as pas à amener un animal sauvage dans cette école ! » la voix était de celle qui voulait clore le sujet, mais Godric l'ignora.

« Pas un animal sauvage ! Un domestique ! Viens ! » le pressa le sorcier blond.

« NON ! » Salazar en hurlait presque.

La dispute attira l'attention de plusieurs étudiants. Si un étranger avait vu ces deux-là, il aurait pû croire qu'ils venaient de deux planètes différentes. L'un était bronzé, blond, musclé et l'autre avait la pâleur caractéristique de ceux qui ne vont pas souvent dehors, et des cheveux noirs. Les premières années de Gryffondor et Serpentard virent avec perplexité que leur responsable de Maison respectif se chamaillait avec l'autre, tandis que les autres étudiants, plus âgés, ne semblaient pas penser que ça avait quelque chose d'anormal. En effet, ce n'était pas étrange de voir deux amis 'discuter' sur une chose ou une autre, n'est-ce pas ?

« Et pourquoi pas ?! » Godric était à la fois blessé et indigné.

« Parce que, pour toi, un animal 'domestique' à tendance à être le plus dangereux, destructeur et incontrôlable monstre que tu peux trouver ! Ainsi, laisse-moi te le répéter une dernière fois : NON ! » dit Salazar avec une voix qui fit reculer les étudiants.

« Ce ne sera pas un monstre ! » apparement, Godric ne s'était pas vraiment rendu compte du ton qu'avait pris Salazar.

« Godric, ne penses-tu pas que je te connais assez pour être au courant du type d'animal que tu aimes ? » sourit le brun d'un air affecté.

Godric ne parût pas avoir le besoin de faire un commentaire sur cela.

« Exactement, Godric ! » fit le fondateur de la Maison de Serpentard face au silence du fondateur de la Maison de Gryffondor et il siffla le mot de passe pour accéder à ses appartements, tout joyeux que la conversation soit terminée.

C'était trop beau pour être vrai.

« Et si j'arrive à avoir quelque chose d'inoffensif ? Comme un hippogriffe ! » Godric avait réussi à se glisser à la suite de Salazar dans les appartements de celui-ci.

« Non, Godric. Ça peut être dur à croire mais un hippogriffe PEUT blesser les étudiants, et si tu n'avais pas remarqué, aucun de nos étudiants n'est prêt à s'occuper d'une bête comme ça ! » Salazar secoua la tête, agité.

« Je veux juste les entraîner à ... » marmona le blond.

« C'est sûr que tu le veux, Godric ! » Salazar avait fini par obtenir un mal de tête.

« Ok.. et si je listais les animaux domestiques que j'aime et c'est toi qui décide si je peux prendre celui que je te nomme ou non ! » s'enthousiasma Godric.

« Oh chouette ! C'est sûr que c'est exactement ce que j'avais prévu de faire ce matin ! » grogna le brun.

Avec un sourire triomphant, Godric commença à énumérer les différents bestioles de sa liste.

« Un dragon ! »

« C'est absolument hors de question » était la réponse.

« Hum, un cerbère »

« Ce n'est pas un chien à trois têtes ? » demanda Salazar en haussant un sourcil.

« Oui »

« Jamais »

« Une chimère » demanda Godric avec espoir.

« Non, Godric »

« Une hydre »

« Définitivement non » soupira Salazar.

« Oh, attends ! Et si on prenait un Kraken ? »

« Nous en avons un dans le lac... tu en veux trop », dit Salazar en se remémorant qu'il avait dû également faire face aux lamentations et gémissements de Godric.

« Une manticore ? »

« Elles sont anthropophages, Godric ! » le sorcier brun était incrédule.

« Ok, et un Roc ? »

« Non », Salazar songeait déjà au gigantesque oiseau qui kinapperait ses étudiants pour s'en nourrir.

« Tu dis 'non' à tout ce que je propose ! »

« Ce sont des choix impossibles, Gryffondor ! » il commençait réellement à en avoir assez.

« Pourquoi pas un gryffon ! »

« NON ! Merlin, c'en est trop ! » hurla Salazar sur son ami bien trop enthousiaste.

« Quoi ? » demanda Godric qui était dans ses petits nuages.

« Tu ne peux pas amener un monstre dans cette école ! Si tu veux un animal domestique, prends un hibou, un chat ou une autre de ces abominations que tes étudiants aiment laisser en liberté dans le château ! » hurla Salazar puis il le chassa d'un signe de la main, et s'assit.

Il ne remarqua pas le large sourire espiègle sur le visage de son ami.

« Salazar ? » demanda le blond d'une voix innocente.

« Que veux-tu encore, Godric ? »

« Que penses-tu d'un serpent ? » Godric sourit quand Salazar leva les yeux vers lui.

Il pouvait presque voir les rouages du cerveau du sorcier brun réfléchir à sa dernière proposition.

« Je suppose que ça pourrait être se faire sans trop de problèmes... »

« YES ! » Godric leva son poing en geste de victoire.

« Mais un seul, Godric, et je suis uniquement d'accord parce que je crois qu'entre toi et moi, ce sera une des seules choses à laquelle nous serons tous les deux d'accord. Tu as ma permission pour choisir une espèce de grande taille, car je me doute que tu veux en prendre un plus long que mon bras, je me trompe ? » Salazar regarda son ami d'une manière significative.

« Il sera le meilleur des animaux domestiques ! » Godric souriait d'une oreille à l'autre.

« Cependant, bien que j'ai un don de communication avec les serpents, je ne veux pas qu'il vagabonde dans le château, mais nous aurons besoin de surface pour qu'il bouge relativement librement... et pas enfermé dans une horrible boîte de verre ! », marmonna Salazar pour lui-même.

« Super! Tu t'occupes de tous ces trucs et moi je vais chercher le serpent ! » Godric se rua hors de la chambre.

Salazar soupira après qu'il soit partit, il savait que Godric était capable du pire.

« Pourquoi est-ce que j'ai un mauvais présentiment ? »

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« Tu sais, quans j'ai dit que j'étais d'accord pour un serpent, je n'avais pas vraiment encore réalisé à quel point tu étais fou », commença Salazar avec une indifférence trop marquée pour être vraie.

« Que dis-tu là, Salazar ? C'est stupéfiant ! » Godric (qui n'écoutait pas vraiment) avait l'air d'un gamin à qui on aurait dit que Noël aurait lieu en avance cette année.

« Je ne dis pas que c'est une créature d'une rare beauté, mais as-tu seulement mesuré à quel point elle pouvait être dangereuse ? » Salazar fixa le blond qui se renfrogna.

« Si, un peu. »

« Elle tue avec un regard, Godric » Salazar lança un regard furieux à son ami soudainement abattu.

« C'est pourquoi je vais lui mettre un bandeau pour qu'elle ne puisse plus voir...

« Je peux imagnier comment... » Il fixa la créature.

« Et ces crocs sont venimeux mais tu peux trouver quelque chose pour qu'il ne nous morde pas, hein ? » Godric attendit sa réponse.

« Tu ferais mieux d'espérer que je le puisse... » grogna le sorcier aux cheveux noirs en tournant autour de la magnifique créature.

« N'est-elle pas belle ? » Demanda Godric d'un ton orgueilleux.

« Certes » répondit pensivement Salazar avant de se tourner vers son ami. « Godric, remmène-la »

« Quoi ? NON ! » La surprise se reflétait dans les yeux du blond qui fixa bêtement Salazar.

« UN BASILIC, Godric ? Non, nous ne pouvons pas avoir de de basilic » Il secoua sa tête.

« Tu sais que tu en as toujours désiré un ! » Dit Godric d'un ton suppliant.

« Remets-la où elle était ! » siffla de nouveau Salazar.

« Je ne peux pas ! » se lamenta Godric.

« Pourquoi ? »

« Je l'ai déjà nommée ! » les jérémiades continuaient.

« Quoi ?! »

« Sophia ! Après Ophiuchus ! » dit fiérement Godric avant de se souvenir qu'il était larmoyant il y a deux minutes et il fit la moue.

« Godric ! » dit soudainement Salazar en regardant par-dessus l'épaule du blond.

« Quoi ? » Il se retourna.

Le basilic s'était réveillé et essayait de retirer le bandeau qui l'aveuglait.

« Le charme de sommeil ne doit pas fonctionner » murmura Godric, penaud face au regard furieux de Salazar.

Salazar s'approcha du serpent effrayé et essaya de la calmer.

« C-c-chut ma belle, tu es en s-s-sécurité. S-S-Salazar est là pour prendre soin de toi. » Le sorcier lui parlait en Fourchelangue. À ses mots, le gigantesque serpent commença à se calmer. « Oui, ma belle, res-s-ste calme. » Dès que le serpent fut rassuré, Salazar commença à tourner en rond autour de Godric.

« Tu vois ? Nous pouvons la contrôler ! » dit Godric avec un large sourire.

Salazar ne pouvait plus que soupirer de défaite. Ce n'était pas gagné face à Godric.

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« J'étais à même de faire une chambre cachée pour Sophia » dit Salazar en entrant dans les quartiers de son meilleur ami. Godric savait qu'il était très facile de deviner le mot de passe pour y accéder. Aux paroles de son ami, Godric sauta de là où il était assis à classer des papiers, heureux d'avoir une excuse pour arrêter.

« Réellement ? Où ? » demanda-t-il, excité comme une puce.

« Dans les toilettes des filles du... » commença Salazar avant d'être interrompu.

« Dans les toilettes des FILLES ???? » s'écria Godric, choqué.

« Il me semble bien que c'est ce que j'ai dit » répliqua Salazar avec un froncement de sourcils face à l'impolitesse de Godric.

Godric craqua.

« Pourquoi dans le monde... ? » commença-t-il à mi-chemin du fou rire.

« C'est une bonne cachette ! » s'indigna Salazar.

« Ouais... » approuva Godric avec sarcasmes.

Le sorcier brun changea rapidement de sujet.

« En tout cas, le mot de passe pour rentrer est en Fourchelangue... »

« Quoi ? Pourquoi ?! » s'échauffa Godric.

« Pour que tu ne rentres pas à l'intérieur et ne te tues! »

« Je ne vais pas me tuer, Sal ! » grogna le blond à son ami.

« Tu peux te faire tuer en premier avec elle »

« Hey ! Je peux l'aveugler ! Je sais le faire d'une manière habile ! »

« D'une 'manière habile' ? Si tu es si habile que ça, pourquoi n'appelerions-nous pas Rowena ? Je suis sûre qu'elle adorerait voir tes exploits si brillants » Salazar sourit quand les yeux du blond s'équarquillèrent.

« Si tu appelles Row ou Helga, je leur dis que tu m'as approuvé et aidé ! » dit Godric en le menaçant comme un gamin.

« Pourquoi dois-je toujours tenir tes secrets ? » soupira Salazar, dépité. Godric n'était pas seulement son meilleur ami. Avant qu'il ne rencontre Rowena et Helga, le blond était son seul ami.

« Parce que tu m'aimes ? » répondit Godric en regardant le plafond, l'air innocent.

« Oh oui, ça doit être ça ! » sourit Salazar d'un air affecté et les deux fameux amis partirent dinner dans la Grande Salle.

Fin

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Et c'est ainsi que la chamber des Secrets fut crée!

J'espère que vous avez aimé! S'il vous plait, mettez des reviews! J'adore savoir ce que vous pensez!

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N/T: ceci clôt le premier OS, il y en a un autre qui suivra! Voyez sur mon profil pour avoir la version originale de cette fic! (qui est bien meilleure que ma traduction vaseuse... TT)