Auteur : Warai Kareha, flemmarde de première…
Disclaimer : Zombie Loan n'est pas ma création.
Titre : Zombie Theater ( Seigneur encore un titre pourri…TT )
Pairing : Shito & Chika, je suis incorrigible ;p
Note : Énervée par ce crétin d'albinos qui hurle que le boy's love est une hérésie ( ci-contre la version littéraire et civilisé ), vers la fin du tome 2, j'ai subitement redoublé de motivation pour écrire sur ses deux imbéciles de zombie. Ouais, s'il n'y a pas ne serait-ce qu'une pointe de shonen ai entre eux dans le manga ou la suite de la série qui débarquerai sous peu, qu'à cela ne tienne, je m'en chargerais !! Mode furie enclenché !
Ha hem… Malgré tout j'adore ce manga et je garde un petit peu d'espoir sur eux deux lol.
En attendant, une série de drabbles et de one-shot vous tente-t-elle ??
Bonne lecture o !!
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- Ce Que Tu Veux -
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- SHITO !!
L'internat trembla de toutes parts devant la puissance sonore de ce hurlement. Comme toujours… Un vrai miracle que la bâtisse ne se soit pas encore écroulée, sous le poids d'engueulades incessantes entre deux certains pensionnaires !
Et oui encore une dispute. Mais bien originale cette fois.
Alors que Chika avait trouvé amusant de lancer un pari stupide, certain que personne ne le relèverait, Shito, histoire de lui fermer le clapper, avait démontré le contraire. Et forcément toute l'histoire était retombé sur cet andouille d'Akatsuki…
Qui maintenant venait demander ses comptes chez le responsable de l'affaire.
Devant la magnifique entrée « je défonce la porte à coup de pied, si t'es pas content c'est pareil ! », des yeux rouge violacé se levèrent sans surprise d'un bouquin pour rencontrer les topazes enflammés par la colère.
La suite arriva bien vite : Chika claqua la porte une fois entré et réclama réparation.
- Tu vas pas te plaindre, pour une fois que je t'écoute, rétorqua Tachibana, posant son livre et se relevant pour se mettre à la même hauteur que son 'assaillant'.
Ce type l'exaspérait toujours au plus au point. Mais il devait bien admettre que pour une fois la situation était plus qu'amusante, quoique pas pour tout le monde. C'est donc en bon provocateur qu'il ajouta :
- Tu ordonnes, j'exécute. Ça ne te convient pas ?
- Bah tiens, alors si je te demande de me rouler une pelle tu le fais aussi !?
Un vague sourire moqueur étira les lèvres de Shito, sans que son interlocuteur ne s'en aperçoive, trop furieux qu'il était. Il n'était même pas convaincu que son partenaire avait compris ses propres propos.
- C'est ce que tu veux ?
- Quoi !?
Ni une ni deux, Shito lui saisit le menton d'une main et rapprocha légèrement son visage du sien, son regard imperceptiblement dérangé par une petite lueur étrangère.
Rougissant de rage, Chika tenta néanmoins de calmer ses pulsions meurtrière pour déclarer :
- La seule chose que je veux c'est voir la gueule que tu vas tirer quand je te trancherais la carotide !
Aucun ne se décida à bouger, le plus jeune véritablement énervé de fixer ses prunelles quasi imperturbables, tandis que son aîné ne daignait le relâcher malgré la menace prononcée. Avec deux caractères pareil, dur de savoir qui craquerait en premier…
Quiconque aurait suivit la scène depuis le début ne verrait que Shito ayant décroisé un de ses bras - l'autre restant plié contre sa poitrine - pour saisir le visage de Chika histoire de l'énerver davantage, et un Akatsuki qui tombait largement dans le panneau et grinçait limite des dents. Pas toujours évident d'être un susceptible de premier ordre quand on est obligé de faire équipe avec un beau gosse arrogant…
Tout ça pour dire que pour quelqu'un prenant l'histoire en cours de route, la vision de la dispute serait un brin différente, quand à l'interprétation, quasi erronée. Et c'est bien évidemment ce qui arriva quand Michiru crut bon d'ouvrir la porte, une petite pile de linge dans les bras.
- Shito-kun, commença-t-elle, je t'apporte…
Les deux garçons tournèrent la tête vers la jeune fille qui s'arrêta net. Trop confuse pour analyser profondément la situation qu'elle interrompait, son esprit lui joua un tour magistral. C'est sans aucun doute pour cela qu'un ange passa avant que la proclamée bonniche ne prenne une forte teinte rouge.
- J-Je n'ai rien vu !! S'écria-t-elle précipitamment en claquant la porte.
C'était à ce demander comment une pension aussi miteuse pouvait tenir debout ainsi malmenée…
Mais ce ne fut pas la question que posa Akatsuki en devenant livide, visage tourné vers la porte :
- Y-Y'a pas comme un gros malentendu ?
La réponse qui s'en suivit ne fut pas non plus celle à laquelle il s'attendait. Shito, son menton toujours en main, redirigea les topazes dans son champs de vision et déposa un bref baiser sur les lèvres de son cadet avant de partir calmement.
- Qui sait, se contenta-t-il d'ajouter.
Chika, toute agressivité mystérieusement envolée, resta sur place par peur de tomber au moindre mouvement. Cette chute là, il ne s'y était pas attendu du tout. D'ailleurs même les mots qui lui vinrent en tête l'instant d'après, il ne sut pas à qui il les adressait.
- Pauvre abruti, marmonna-t-il les joues légèrement colorées.
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Tadaaa !! Je me suis bien éclaté à écrire ce petit délire ( mon cerveau est franchement dérangée… ) ! Et vous ? Aimé ou pas aimé ??
Reviews please !!