Auteur :
Buscar, Encontrar y Luchar ou Veni Vedi Vici
Auteur : Comme toujours, c'est moi qui me tape le boulot et qui débarque avec un nouveau truc au lieu d'en finir un !
Disclaimer : Les persos de Yu-gi-oh ! ne sont pas a moi mais les autres persos de cette fic (Salomée notamment) m'appartiennent et peuvent, si besoin est, être repris par d'autres auteurs ! je donne mon accord !
Genre : Voyons…un peu de suspense, de l'action, et du SilentShipping seront programmés
Rating : Je pensais mettre K + mais vu la violence de ce chapitre, ce sera plutot T et, si nécessaire, M dans quelques chapitres.
Résumé : Un an après la saison de l'Egypte, Serénity est élève au lycée de Domino et s'est faite une amie spéciale. Quant a Kaiba, il recherche sa mère biologique qui serait encore en vie.
Note : J'ai eue cette idée dans mon sommeil (encore !) et ça fait un bout de temps que je veux m'essayer au SilentShipping ! De plus, je pense que c'est une bonne idée de mettre Kaiba a la recherche de sa mère vu qu'il a été adopté. Mais c'est vrai que c'est pas dans son caractère.
Le titre est à la fois en espagnol (chercher, trouver et lutter) et la célèbre citation de Jules César. Je melerai donc espagnol et latin dans la limite de mes possibilités.
Capitulo uno : Alea jacta est
Sérénity POV
Encore cinq minutes. Cinq longues minutes avant la sonnerie qui annonce la fin des cours. Dans mon cas, j'attendais la fin du cours de mathématiques dont je ne comprenais rien et dans lequel le prof me détestait car il avait eu mon frère comme élève l'année dernière. Je ne sais pas ce qu'il s'est produit mais ce qui est sur, c'est que je ne peux pas compter sur ce prof pour avoir une note digne de ce nom vu qu'il ne veut rien m'expliquer !
Une minute encore à tenir…Heureusement, j'ai trouvé quelqu'un qui accepte gentiment de me ré expliquer le cours en échange des quelques gâteaux que l'on fait lors du cours de cuisine. C'est quelqu'un d'assez particulier et qui me rappelle parfois Kaiba avec son air hautain mais la personne en question est plus impressionnante que Kaiba lui-même quand on l'a déjà vu à l'œuvre.
DRRRRRRRIIIIIIIIIIIIIINNNNNNNNGGGGGGGG !!
.- Bonne journée et a lundi vous tous !
.- Merci, a vous aussi monsieur !
L'heure de la délivrance a enfin sonnée ! Je rassemblai mes affaires en vitesse afin de rejoindre mon lieu de rendez-vous habituel avec Elle, cette femme qui m'aide pour les cours. Je courus un peu dans le couloir en voyant que j'avais pris du retard quand tout à coup, en tournant à ma droite pour rejoindre la sortie, j'heurtai quelqu'un de plein fouet.
Le choc me fit basculer en arrière et lâcher mon sac de cours qui s'écrasa avant moi sur le sol…Une minute ! J'aurais du tomber par terre moi aussi ! Mais…Ca y est, j'ai compris ! IL m'a retenue par le bras après que je lui rentre dedans et le IL est plus connu sous le nom de Seto Kaiba !
Fin Sérénity POV
Kaiba POV
Cette journée s'est enfin terminée ! Pourquoi a t-il fallu qu'on termine avec un contrôle d'histoire aujourd'hui ? Moi qui déteste cette matière…Il faut que je me dise que dés que j'aurais mon diplôme en fin d'année, je pourrais enfin me consacrer à plein temps à mon entreprise au lieu de perdre mon temps à venir en cours.
Evidemment, il a fallu que je laisse Wheeler dormir au fond de la classe en partant. Il se réveillera bien un jour que je sache ! Mais ce qui sur, c'est que sa sœur ne regarde pas devant elle quand elle court ! C'est bien parce que je la préfère de loin à son frère que je lui ai empêché de se faire mal. Mais pourquoi j'ai l'impression d'avoir eu raison de venir perdre mon temps ici à chaque fois qu'on se croise ? D'accord, elle est jolie mais c'est encore une gamine par rapport à moi !
.- Désolée Kaiba ! s'excusa t-elle tandis que je la lâchai.
Elle se baissa pour ramasser mon sac…il faut vraiment que j'arrête de la regarder comme ça sinon je vais vraiment finir par croire que je m'intéresse à elle. Elle se relève et remet une mèche de cheveux en place derrière son oreille.
.- SERENITY !!
Voilà la Yugi-team qui se pointe avec le caniche qui retient par le col de leurs uniformes Dupond et Dupont d'aller faire la cours a Sérénity…J'appelle même cette fille par son prénom ! Maintenant, c'est sur, je suis atteint !
.- Vous deux, vous aller la laisser respirer deux minutes et toi Kaiba, j'te remercie pas de m'avoir laissé dans la salle ! lanca le clébard.
.- Mais tout le plaisir était pour moi Wheeler !
.- Et je peux savoir ce que tu fiches avec MA sœur !!
.- Joey…commença t-elle.
.- Sérénity est grande Joey ! Tu pourrais arrêter un peu de la chaperonner ! répliqua miss « grands discours sur l'amitié ».
.- Tu pourrais aussi la laisser sortir un peu avec moi…commença Duke.
.- Hey oh ! C'est avec MOI qu'elle sortira ! répliqua son compère.
Et c'est ainsi que commencèrent une dispute entre Gardner et Wheeler ainsi qu'une autre entre Taylor et Devlin. Je signalai, ainsi que Sérénity, que l'heure tournait à Yugi et il nous fit signe de partir pendant que les quatre autres ne remarquaient plus nos faits et gestes. On parvint à s'éclipser discrètement et une fois le portail atteint, je l'entendis pousser un soupir de soulagement.
.- Moi qui croyait pouvoir les éviter…Tu peux me dire quelle heure il est s'il te plait Kaiba ?
Je regardai ma montre que j'avais mise ce matin au poignet gauche alors que je n'ai pas vraiment pour habitude d'en mettre au lycée.
.- 16 heures 43.
.- Hein, déjà ?! s'écria t-elle.
Je la vis commencer à partir en courant vers la rue de droite puis, elle s'arrêta pour se retourner et dire :
.- Encore désolée pour tout à l'heure ! On se revoit lundi !
Après, elle reprit sa course vers une destination inconnue pour moi et sans me laisser lui répondre quoi que ce soit. Je crois bien que c'est la première fois que je la vois aussi pressée. Ma limousine arrive et j'ai du travail qui m'attend. Je me préoccuperai de cette histoire quand j'aurai résolu mon problème.
Fin Kaiba POV
Sérénity POV
A bout de souffle, je suis enfin arrivée devant la courte ruelle interdite aux hommes. Je me dirige vers l'entrée du bar des lesbiennes à coté de laquelle je peux apercevoir Miyu en train de faire mumuse avec ses boucles blondes tout en lisant un magazine de mode avec une pose sexy et en faisant des bulles de chewing-gum. Elle a beau porter un uniforme de lycéenne, je sais très bien qu'elle est a la fac et qu'elle est ceinture noire de Karaté en plus d'avoir une certaine affection pour la gente féminine.
Elle s'apercut de ma présence quand elle me vit reprendre mon souffle en me tenant à la porte du bar.
.- Salut Sérénity ! T'es pas un peu à la bourre là ? Me demanda t-elle.
.- Salut Miyu ! J'ai eu un contre-temps et j'ai courut jusqu'ici quand j'ai vu l'heure. Lui répondis-je.
.- Je vois ça ! La grande dame va pas aimer mais vu que c'est la première fois que tu la fait attendre un peu, elle devrait etre indulgente avec toi.
.- Je l'espère. Souhaite moi bonne chance !
Je pris mon courage à deux mains et j'ouvris la porte du bar. A l'intérieur, il y avait les deux Sayuri qui se racontaient leurs journées respectives près du bar vu que Sayuri Tenten et Sayuri Komaki étaient dans deux lycées différents, Kaori qui s'affairait au bar avant l'arrivée en masse qui s'annoncait cette nuit, Asuka qui choisissait la musique qu'elle allait passer ce soir et enfin, celle qui m'attend, Salomée assise a une table avec les jambes croisées et qui éteignit sa cigarette quand elle me vit.
.- Tu es en retard ! Me fit elle remarquer avec sa voix assez grave et son ton autoritaire.
.- Pardon Madame ! Je ne recommencerai plus, c'est promis. M'excusais-je en baissant la tete.
.- Viens t'asseoir ! On a assez perdu de temps aujourd'hui !
Je m'exécutai le plus rapidement possible, sortit de quoi écrire ainsi que les petits gâteaux aux fruits qu'on avait fait en cours afin qu'elle puisse choisir lesquels elle voulait prendre en échange du service qu'elle me rendait. Elle prit mon livre de mathématiques ainsi que mon agenda et mon cahier de cours. Contrairement à mon prof qui, une fois, avait un malin plaisir à lire les commentaires que j'ajoutai sur mon cahier devant toute la classe, Salomée ne me faisait aucun commentaire et, une fois, a souri en voyant que j'avais marqué sur mon agenda que je trouvai que Joey en faisait trop avec Kaiba alors que ce dernier s'en fiche totalement de moi même si je trouve qu'il porte bien l'uniforme.
.- L'exercice que tu as fait en cours est a refaire ! Seul le premier calcul est bon mais le reste est faux. Recommence-le et je t'expliquerai après.
Même si elle me fait souvent recommencer des exercices que j'ai déjà fait ainsi que des controles et tout ça en seulement une heure certains jours, ça ne me vexe pas car j'ai bien compris qu'elle faisait ça pour mon bien. Je sais que je lui dois beaucoup vu de quelle manière on a fait connaissance et je ne discute pas ses ordres.
Flash Back
J'étais sortie prendre un peu l'air au parc pour me détendre un peu avant de retourner en cours le lendemain. Elle était assise sur un banc avec ses longs cheveux bruns, ses lunettes noires et son manteau sombre. Ses jambes croisées me permettaient de constater qu'elle portait des bottines blanches avec des talons aiguille. Pas très loin, des gens jouaient aux échecs et elle les regardait faire.
Je poursuivais ma route sans me douter qu'un type louche me suivait. A un moment, je ressenti sa présence alors qu'il n'y avait personne d'autre dans ce coin du parc. Terrifiée, j'ai voulus courir mais il me rattrapa facilement et me plaqua contre un arbre en me mettant un couteau sous la gorge.
.- T'iras pas plus loin ma jolie et si tu cries, je te tranche la gorge !
Je sentis un métal froid contre mes poignets. Il m'avait menoté les mains dans le dos et était en train de me baillonner quand je m'en apercu. Il déboutonna mon chemisier tout en gardant sa lame sous ma gorge et regardait avec plaisir ce qu'il venait de mettre à jour. Je sentis sa main libre remonter sous ma jupe pour atteindre ma culotte et la déchirer afin de pouvoir me faire ce qu'il voulait tant me faire subir. Des larmes coulaient le long de mes joues quand je le vis commencer à desserrer sa ceinture mais c'est à ce moment là que je vis une aiguille se ficher dans la main qui maintenant le couteau.
Le violeur hurla de douleur et lacha le couteau qu'il tenait dans cette main. Il voulut le ramasser avec son autre main mais une autre aiguille vint se ficher dans épaule en lui arrachant un cri atroce. En regardant dans la direction d'où venaient ses armes redoutables, je reconnus la femme assise sur le banc et pus voir ses yeux sombre car elle avait oté ses lunettes noires.
Elle vint crocheter les menottes qui m'entravait les poignets, m'enleva mon baillon et ota son manteau pour me le mettre sur les épaules. Mon agresseur voulut l'attaquer par derrière mais elle se retourna brusquement pour lui asséner un violent coup de poing en plein ventre. Sans son manteau, je pus voir qu'elle portait un débardeur style camouflage, un pantalon en cuir et qu'elle avait une longue chaine qui faisait trois fois le tour de sa taille. Elle ota sa chaine et s'en servit pour fouetter le dos de ce type alors qu'il s'appretait a se relever.
.- J'en ai pas encore fini avec toi vermine ! Lanca t-elle.
Elle le frappa encore quatre fois avec la chaine avant de prendre le couteau qu'il avait laissé, le forcer a la regarder en face et lui mettre son propre couteau sous la gorge tout en lui plantant un de ses talon dans le bas ventre.
.- Etant donné que je suis arrivée avant que tu ne puisses passer à l'acte, je ne t'emmènerai à la police mais si tu oses réessayer, je peux te garantir que je me generai pas pour me servir de ce joli couteau pour t'enlever tout espoir de reproduction pour toi et sans anesthésie. C'est bien compris ?
Il hocha la tete en signe d'affirmation et elle le laissa partir sans rien dire. Quand il fut hors de vue, elle insista pour me raccompagner jusque chez moi et on a un peu fait connaissance. Elle me nota l'adresse du bar sur un papier en disant que je l'y trouverai tous les jours a partir de 16 heures 45 et que je n'avais qu'a y passer pour lui rendre son manteau.
Fin Flash Back
Après cette aventure, je suis allée lui rapporter son bien et je suis même venue avec des cookies faits maison pour la remercier de ce qu'elle avait fait pour moi. J'avais aussi mon dernier contrôle de mathématiques sur moi qui dépassait de mon sac et qu'elle a prit pour voir. C'est depuis ce jour là qu'elle me donne des cours particuliers mais c'est seulement lors du quatrième cours que j'ai fais la connaissance de Miyu qui m'as donné mon premier baiser à la fin du neuvième et au treizième que j'ai constaté que Salomée portait des lentilles de couleur en permanence car à un moment, elle a eu une poussière dans un œil et a préféré enlever une de ses lentilles ce qui m'as permis de savoir que ses yeux sont en fait d'un bleu glacial.
Je vis la fin de cet exercice mais je me doutais bien que mon résultat et ma démarche n'étaient pas bons. Je le lui tendis et elle le regarda d'un œil critique.
.- Je vais t'expliquer ce que tu aurais du faire Sérénity.
Fin Serenity POV
Kaiba POV
J'ai finalement réussi à signer ce contrat avec ce nouveau client. Grace à lui, les bénéfices et le chiffre d'affaire de la KaibaCorp vont etre nettement améliorés. Il ne me reste plus qu'a faire le chèque pour payer les dernières cotisations sociales et je pourrai me repencher sur cette histoire qui revient me hanter seulement maintenant. Je signe le chèque et le remet à Rolland pour qu'il fasse le nécessaire.
Une fois qu'il est parti, j'ouvre un dossier de mon ordinateur consacré à tout ce qu'il nous ai arrivé avec Makuba avant notre adoption par Gozaburo Kaiba. J'ouvre encore une fois l'article consacré à l'incendie qui a eu lieu dans l'appartement que nous occupions avec ceux que je pensais etre mes parents jusqu'à ce que j'apprenne qu'eux aussi nous avait adoptés.
Flash Back
Il était 7 heures du matin environ et Makuba était allé voir un vieux couple au rez-de-chaussée qui avait pour habitude de le laisser prendre le petit déjeuner avec eux car ils n'avaient pas souvent de visites. D'habitude, mes « parents » se disputaient pour une raison ou une autre avant d'aller travailler à cette heure et je préférais éviter la cuisine pour aller lire un livre au salon. Mais ce jour là, ce n'est pas les bruits d'une dispute que j'entendis.
On habitait au cinquième étage de l'immeuble. Je sentis une forte odeur de fumée et c'est là que je vis la porte reliant la cuisine au salon prendre feu. Ma « mère » poussa un cri terrifiant puis j'entendis le bruit de quelque chose de lourd qui tombait.
.- Maman ! MAMAN !! Hurlais-je.
Elle ne m'a jamais répondu. Ni mon père d'ailleurs. Je vis avec impuissance les flammes m'encercler et rendre toute fuite vers la sortie impossible. Je suffoquais avec la fumée et je crus ma dernière heure arrivée quand j'entendis un bruit étrange venant de l'autre coté des flammes. En tournant la tete, je vis une silhouette féminine avec un extincteur en main mais je ne pus en distinguer plus car la chaleur me brouillait la vue. Je la sentis me prendre dans ses bras et me serrer très fort contre elle.
.- Je ne te laisserai pas mourir ici Seto. Me dit-elle à l'oreille.
J'ignorai comment elle connaissait mon prénom mais avec le temps, j'ai commencé à me demander si je n'avais pas eu affaire à ma mère biologique. Elle se fraya un passage à travers les flammes et atteignit une fenetre qui donnait sur un petit parc de jeux dans lequel il y avait un toboggan, une balancoire ainsi qu'un bac à sable et un vieux chene qui devait etre abattu le jour même. Elle ouvrit violemment la fenetre et, quand elle sauta du cinquième étage avec moi dans ses bras, je perdis connaissance. Malgré ma perte de conscience, je me sentis etre posé sur le sol et je sentis qu'elle me faisait du bouche à bouche. A cette époque, je trouvai ça dégoutant mais j'avais du mal à respirer à ce moment là et ce simple geste m'a sauvé la vie. Je l'entendis partir quand elle fut sure que tout allais bien et quand je me suis réveillé, j'étais avec Makuba et les autres personnes de l'immeuble.
J'entendis les pompiers déclarer à la police que l'incendie s'était déclaré chez nous et qu'il était probablement criminel. Plus tard, quand ils eurent vaincu les flammes, ils descendirent avec deux corps calcinés qui étaient dans des sacs poubelle. Le lendemain, on a été emmenés à l'orphelinat.
Fin flash back
J'ouvris un second fichier qui disait que celui qui avait mis le feu chez nous avait été arreté et était déjà coupable de plusieurs incendies mais que celui-ci avait fait des victimes contrairement aux précédents. Je reste persuadé que cette femme qui m'a sauvée la vie est melé a cet incendie ou qu'elle l'a provoqué pour une bonne raison. Je reve parfois de ce qu'il s'est passé ce jour là et l'envie de connaître le fin mot de cette histoire est de plus en plus forte.
Il y a peu, le directeur de l'orphelinat m'a appelé pour me dire que j'avais bel et bien été adopté par ce couple et qu'ils étaient souvent mélés a des histoires louches avant leur mort. Quand je lui ai demandé si il savait quelque chose sur mes parents biologiques, il m'a juste dit que nous avions été abandonnés juste la veille de notre première adoption par une femme aux yeux bleus mais il n'a rien pu me dire de plus étant donné que les papiers qu'elle a remplit ce jour là ont été égarés lorsque l'orphelinat a été déplacé dans des locaux de meilleure qualité. Cependant, il a dit qu'il me re-contacterais dés qu'il trouverait quelque chose pouvant m'intéresser.
Makuba ignore que je suis à la recherche de notre mère et j'espère vraiment pouvoir lui faire cette surprise qui le ravira surement au plus haut point.
Fin Kaiba POV
NB: J'ai passé en boucle un CD de Nightwish pour écrire ca en seulement une nuit ! C'est plutot mauvais signe pour ma santé mentale
