Auteur : Ben ... Moi mais je doute que ma biographie soit vraiment utile pour lire ma fic ;)

Disclamers : Je déclare avec une immense peine que ni Stargate Atlantis ni ses personnages ni les chansons utilisées ne m'appartiennent. J'ai juste des droits sur l'imagination

Genre : Ben Shweir ... oeuf de course. Bon j'ai tenté de pas faire une histoire ni trop fleur bleue ni trop pathétique ... simplement je suis atteinte d'une shipperite très aigue. Parfois elle prend le dessus et c'est très dur de lutter lol

Avertissement : ... heu nan aucun

Note de l'auteur : J'ai commencé cette histoire avec les premiers spoilers sur l'épisode 208 Conversion en VO Mutation en VF. Donc elle commence à se faire vieille ...Pourtant elle est toujours pas finie . Le truc drôle c'est que les chapitres s'inspirent de mes émotions du moment et comme je les partage plus ... je dois sans cesse résister à l'envie de tout changer. Du coup j'ai enfin pris mon anglais par le clavier et nous voilà ... oui oui elle et moi ;)

Note 2 : Merci à mes multiples relecteurs ... Merci à eux de me supporter et de pas m'oublier lol

Note 3 : je suis ouverte à n'importe quel commentaire ... sauf les méchants de base

Note 4 : Bonne lecture ;)

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Je rêve son visage

Je rêve son visage. Je décline son corps
Et puis je l'imagine habitant mon décor.
J'aurai tant à lui dire, si j'avais su parler
Comment lui faire lire le fond de mes pensées.

Seul dans sa chambre, assit dans le noir, John contemplait le ciel. Aussi loin qu'il se souvienne, il avait toujours trouvé du réconfort dans les étoiles. En effet, peu importait qu'il passe une mauvaise ou une bonne journée car les étoiles brillaient toujours. Se perdre dans le doré était sa façon de relativiser ! Il n'était plus le Lieutenant Colonel John Sheppard mais un homme comme les autres. Un parmi des milliers … la vie semblait de suite plus facile !

Mais ce soir, son mal être ne le quittait pas malgré ses tentatives de se noyer dans la mer étoilée qui s'étendait devant lui.

L'image d'une femme aux yeux noisettes ne cessait pas de le hanter. Il lui suffisait de fermer ses paupières pour visualiser son visage emplit de douceur et chaque courbe de son corps. Il aimait sa démarche, la position de ses bras quand elle réfléchissait et sa façon de hausser un sourcil pour accompagner ses dires. A ce moment là, il la sentit si près de lui, qu'il fut étonné de pas la voir à ses cotés lorsqu'il ouvrit les yeux.

Cela faisait une semaine qu'il n'avait pas été près d'elle . Il s'interdisait de l'approcher par peur de la faire souffrir d'avantage. Tant pis s'il n'avait pour seul compagnon qu'un vide étouffant. La sécurité de Liz était plus importante que sa peine.

John l'avait blessée. Il avait fallu une semaine pour que les marques de sa violence disparaissent du cou de la jeune femme.

Comment avait il put lui faire ça ? Il se posait sans cesse cette question sans parvenir à y trouver une réponse, faisant augmenter de jour en jour son sentiment de culpabilité. Encore une fois, il avait tout gâché. Elizabeth venait pour le soutenir et lui, il l'avait étranglée et propulsée contre le mur. Elle aurait pu y rester, s'il avait serré un soupçon plus fort son cou. John avait tellement honte de son geste, qu'il n'osait plus ni la regarder, ni lui adresser la parole. Il se contentait d'en rêver …

Cela ne comblait pas son manque d'elle, et John avait tellement besoin d'elle qu'il croyait la voir à chaque détour de couloir. Tout à l'heure, en ouvrant la porte de ses quartiers, il avait aperçu le reflet d'Elizabeth. Il avait lu dans son regard noisette, toutes les reproches qu'il se faisait.

Tout n'était pas de sa faute … ce satané virus lui avait fait perdre la tête.

Dire qu'il avait embrassé Teyla ! Il n'en revenait toujours pas. D'ailleurs Il avait été très mal à l'aise en s'excusant auprès d'elle. Heureusement, Teyla était de nature conciliante et tout fut réglé rapidement.

Si seulement Liz pouvait réagir comme l'Athosienne…Mais il était persuadé qu'elle lui en voulait trop pour tirer un trait sur cette histoire. John craignait d'avoir déçu la personne la plus chère à son cœur dans cette cité. Il avait si peur d'entendre Liz lui reprocher son attitude, qu'il n'arrivait plus à lui parler.

Il se prit la tête entre les mains en se demandant combien de temps, il allait encore supporter la distance qu'il s'imposait. Il devait absolument trouver le courage de lui dire ou au moins de lui faire comprendre ce qu'il avait sur le cœur.

Un courant d'air frais lui fit fermer sa baie vitrée. Il partit alors s'allonger sur son lit. Il s'endormit quasi immédiatement. Son corps avait besoin de récupérer du combat mené contre le virus. John allait encore faire des cauchemars mais au moins, lui, il dormirait ….

A suivre ;) (dans une semaine en théorie)

Le chocolat c'est bon pour la santé et les reviews aussi ;) "Proverbe populaire"

Chanson : S'il suffisait d'aimer de Céline Dion.