Préambule

« Comme une Ombre » doit son existence aux cours d'Occlumencie que Severus donne à Harry, durant le tome 5. Cette histoire est née des flashs que nous a transmis JKR. Par la suite, quand « Le Prince de Sang-Mêlé » est sorti en anglais, j'ai retravaillé le premier tome de l'histoire, pour l'adapter aux révélations faites sur cet énigmatique Severus Rogue.

Depuis, les 153 pages du premier tome se sont transformées en 396 pages et en trois volumes déjà entièrement écrits. Ne reste plus que le quatrième tome à boucler, ce que je devrais faire avant la Toussaint 2007. Celui-ci est déjà avancé de deux chapitres complets et de l'épilogue, écrit depuis bien longtemps, maintenant.

Chaque partie est composée d'un prologue et d'un épilogue, de 21 lignes word chacun. On ne se refait pas : je ne peux m'empêcher d'avoir une certaine symétrie pour certaines choses.

Comme une Ombre I : L'Enfant du Noir retrace la vie de Severus Rogue, de son admission à Poudlard jusqu'à la fin de sa scolarité. Elle est divisée en 20 chapitres dont voici les titres :

Une lettre, enfin

Un cadeau, pour moi ?

Courageux, brave, érudit ou rusé ?

Grandeur et déchéance

Une plume, pour écrire, pour s'envoler

Lions contre serpent

Des cieux jusqu'en enfer

Ces gens qui nous bouleversent

L'art délicat de la dissimulation

La peur

L'ombre d'un Lord

Dans l'enfer des livres

Le pire souvenir

Quelque chose que personne ne t'a encore offert

Le vent tourne

Tranches de vies

Blanc Noël

Le venin de la rancune

La promesse du Miroir

L'appel de la Gloire

Je tiens à m'excuser auprès des lecteurs qui auraient déjà croisé cette histoire de nombreuses fois et que je « saoule » à nouveau. Néanmoins, et malgré tout, j'espère sincèrement que certaines d'entres vous prendront la peine de laisser un petit commentaire, positif ou non.

A tous et pour toujours, bonne lecture !


Résumé : En je et en compagnie des Ténèbres. Severus Rogue, par Severus Rogue. L'histoire d'un crapaud qui rêvait d'être un Prince. Sa vision du monde, du haut de son mètre trente et pas plus loin que le bout de son long nez crochu.