Yuki Nara, une petite fille de 5ans d'origine japonaise, à l'époque médiéval au japon, sous le règne de l'empereur Heian. Elle est petite et maigre, des cheveux noir au carré court et des yeux bleu. Elle vie dans une maison qui donne sur la rue du marché. Avec des yeux d'enfant, elle regarde chaque jours les passants pauvres et riches passer, acheter leurs marchandises, elle regarde aussi leurs vêtements qui montre parait-il leur richesse. Il parait que les gens riches peuvent tout avoir car ils ont tout les droit et de l'argens à ne savoir qu'en faire. Mais elle ne sait pas, pour elle les gens sont tous aux mêmes niveaux pour la richesse, non ?
Aujourd'hui, c'est le jour où il y a le plus de monde au marché. La foule est remplie de couleurs de toutes sortes, a la fois terne et claire. Les miroirs brillant des étals des poissonniers sentaient bon et ils criaient pour attirer les passants vers eux. Les vendeurs de tissus étaient eux aussi au rendez-vous, ces bonhommes gros et gras comme de beaux cochons, toujours à parler de plein de chose et à parler pour vendre leur tissus venus de loin il parait. Pendant que je regardais les étals de fruits et de légume un groupe de belles personnes comme des esprits maléfiques entra dans le marché. Ils étaient habillé de vêtements très grands et de couleur mélanger, un homme sortait du rang avec un habille rouge comme le sang et noir comme les ténèbres. Je suivi du regarde se groupe de personnes que je n'avais jamais vu avant et qui me paraissais faire un contraste avec le reste de la foule, puis la foules s'embler s'écarté à leurs passages. Ils s'arrêtaient chez le poissonnier où ils achetèrent des poissons de toutes sorte qui s'emblaient bizarres et immangeables. Puis ils partirent vers un marchants de riz, c'était un vieux monsieur avec de très jolie ride grand comme des fossés. Une femme et un homme ses mirent à parler avec le vieux monsieur qui leurs donna un gros sac de riz contre une énorme bourse de pièces. Le groupe se remirent à marcher et un homme percuta l'homme en rouge en se retournent, l'homme le regarda avec un regard sinistre mais avec un grand sourie narquois. L'homme qui l'avais bousculé le regarda puis s'excusa en se baissant en avant et les laissa passer sans rien dire. Je regardais toujours avec des yeux attentif a chaque détailles de leurs gestes et leurs parcours. Y' avais des gens , beaucoup de gens chez le vendeurs de tissus qui n'hésitât pas avec sa gros bedaine à tous les faire partir quand le groupe passa à sa hauteurs et les interpela pour leurs proposée ses plus tristes tissus en soleiller de couleurs claire et ceux qui était transparent comme les voiles des démones des cerisiers. Une des femmes acheta un de ses voiles de jolie couleur prune écrasé. Je vis les gens autours d'eux les regarder avec envi mais aussi colère, ses vrais que leurs vêtements étaient de la couleur de la terre fraichement retourné ou des belles poussières du printemps. Tous le monde les regardaient sortir.
