Titre : House ! Viens t'habiller !
Auteur : Altaline
Résumé : [En cours] Relooker le fameux docteur House, vous n'y pensez pas ! Pourtant c'est-ce que Wilson va essayer de faire… À ses risques et périls ! [Houson]
Humour.
Corrigée en 2018.
Disclamer : L'univers et les personnages de la série Dr. House ne m'appartiennent pas.
L'histoire m'appartient.
Mot de l'auteur : Bon, voilà c'est ma première fanfiction écrite ! C'est un Houson mais tout le monde peut la lire ;)
Je m'excuse d'avance pour les éventuelles fautes et de mon manque d'expérience…
Merci de me lire !
Introduction à la folie Housienne
« Tu me fais peur là, House...
— Peur ? Tu n'as jamais vu un string léopard de ta vie ou quoi ? Pourtant tu en portes quand tu te travestis, non ?... Ah moins que... OH ! Tu n'as pas de culotte, Wilson ? »
Bien sûr, House avait parlé haut et fort. Bien sûr, le magasin était bondé. Et bien sûr, Wilson ne savait plus où se mettre. Tous les clients s'étaient retournés sur eux et dévisageaient les deux tarés du jour. Wilson entendait, au loin, une vendeuse et une cliente scandalisée commérer :
« Oh mais ils sont là depuis un moment, madame… Le vieux grincheux passe son temps à retourner tout le rayon sous-vêtements, et le beau brun n'arrête pas de lancer des regards noirs aux clients qui passent près d'eux… J'hésite franchement à appeler la sécurité… »
Bien sûr que Wilson faisait les gros yeux aux personnes qui s'approchaient d'eux ! Avec House, il vaut mieux éviter le plus d'humains ! Leurs faire les gros yeux, c'était essayer de les éloigner… Même si House et ses répliques faisaient pratiquement tout le boulot…
« Ah les homosexuels, ma bonne dame… »
Quoi ? Wilson préféra faire le sourd. Vraiment, quelle idée il avait eu de dire à House qu'il serait clairement temps de mettre à jour sa garde robe… Quelle idée, aussi, d'avoir immédiatement proposé d'accompagner ce vieil ours mal léché au centre commercial !
Et voilà comment il se retrouvait avec son pire ami dans le rayon sous-vêtements pour hommes, plus précisément devant l'étalage où une cinquantaine de strings se côtoyaient : cinquante raisons de prendre ses jambes à son cou.
House jubilait. Strings en main, il lui posait des questions plus tordues les unes que les autres, telles que :
« Tu crois que ça maintient tout ce que t'as ? Enfin... Ce que tu devrais avoir, Jimmy-Boy ? »
Ou encore :
« Et regarde, c'est avec une trompe d'éléphant ! Ah ! Il faut toujours se méfier des éléphants ! Ça trompe énormément ! Regarde, d'ailleurs, t'as vu la taille de la trompe ? Ça m'étonnerait que tu...
— HOUSE ! Arrête ça ! supplia Wilson, lorsque House avait mis ledit string au niveau de l'entrejambe de son collège. On est venu pour toi, pas pour moi ! Et encore moins pour... pour des strings stupides ! »
Il reposa en tas tous les strings choisis par House sur le présentoir, médusé par le comportant de House.
« Oh mais je ne m'adressais pas à toi, vieux grincheux » lui répondit sèchement le diagnosticien, avant de reprendre d'une voix douce et mielleuse en se penchant :
« N'écoute pas Wilson, mon petit Jimmy, Gregounet va te payer de beaux habits pour remettre à jour ta garde robe... (Je vous laisse deviner qui est le « petit Jimmy »)
— House ! Bon sang arrête ça et viens, on sort de là ! grogna l'oncologue tout en saisissant House par le poignet.
— Mais papa ! J'voulais m'acheter des striiiings ! » gémit-il alors haut et fort en se laissant tant bien que mal traîné par un Wilson rouge de colère, sous les regards à la fois amusés et choqués des clients.
Ils finirent par se retrouver dans le Hall de la grande surface, assis sur un banc. Tous les deux boudaient en regardant les gens passer. Wilson prit la parole en premier :
« Mais à quoi tu joues, House ? On est venu ici pour...
— Ma garde robe se porte très bien, merci. » le coupa t-il net.
Il avait reprit sa tête des mauvais jours et lança un regarde noir à l'oncologue. Il avala également quelques cachets de Vicodine.
« House..., s'exaspéra Wilson, Tu as vu l'état de ton T-shirt ? Tu l'avais déjà sur toi quand je t'ai rencontré pour la première fois...
— C'est faux, ça fait à peine deux semaines que je l'ai.
— Ah ? Alors dis-moi pourquoi il y a toujours la tache de café que je t'avais faite ce jour-là ?
— Humm... Sûrement pour me souvenir du jour où t'as voulu me cramer les burn...
— House ! Arrête de dire n'importe quoi !... Et puis, d'abord, c'est toi qui m'avais foncé dessus alors que je buvais mon café.
— Désolé mon vieux, mais entre mater le cul juvénile de Cuddy et faire gaffe à ce qu'il y a devant moi, je n'hésite pas une seule seconde. En parlant de cul... »
House passait au crible le fessier d'une jeune femme en jupe qui passait allégrement devant eux.
« House ! s'indigna Wilson. Ça ne se fait pas ! Du moins, pas aussi ouvertem... Ouah le cul !
— Tu disais ? gloussa House, en lui donnant un coup de canne complice.
— Aie !
— Alors ?
— Euh, j'ai dis « Oualoucu ». C'est du… Néerlandais et ça veux dire « mauvais homme obsédé »… Un truc du genre » rougit-il.
House le toisait en réfléchissant. Avait-il compris que ce n'était pas la jeune fille que Wilson avait maté ?
Il finit par lui dire, avec un sourire malicieux :
« Espèce de « Oualoucu », alors ! »
Ils rirent un bon coup. Wilson était tout de même content de passer du temps avec son ami.
— Bon ! On bouge ! ordonna-t-il. On m'a parlé d'un magasin de costumes pas loin...
— Des costumes, Wilson ? J'ai la tête à mettre des costumes ?
— La tête non… Mais le métier, oui ! »
Tous les deux se dirigèrent vers le fond du centre commercial en clopinant, l'un à cause de sa jambe, l'autre à cause du coup qu'il venait de se prendre.
Voilà ! J'espère que cette introduction de fiction vous a plu ! :)
La suite bientôt, je l'espère !
