Avant toute chose, j'aimerai préciser que cette toute petite histoire est ma première que je publie sur Internet... Soyez exigants et voilà bisous bisous 3
Assis par terre dans un coin de son appartement Mathieu se massait les tempes, celui-ci avait extrêmement mal à la tête. Il fixait en face de lui le mur d'un blanc immaculée, il avait les yeux grands ouverts on avait l'impression qu'ils ne clignaient plus. On aurait dis...un fou, oui c'est bien le mot. Il était fou à lier ! Si on s'approchait de lui on pouvait l'entendre murmurer « Vous existez, vous existez... » celui-ci répétait ces mots comme si il avait était un disque rayer qui lançait indéfiniment la même chose. Dans sa tête on aurait pu imaginer que des gens lui parler car entre deux gémissements de douleur du à sa boîte crânienne ils leurs répondait, à qui ? Combien était t-il ? Le pire c'est que le jeune homme ne faisait pas que leur répondre mais se parler à lui-même avec différente voix comme si les gens dans sa tête n'était en réalité que lui-même. Peut-être des facettes de sa personnalité représenter une personne, une voix... D'abord, se fût une voix grave qui s'échappa de sa fine bouche.
« Regarde se que tu es devenu, gamin...
Je suis comme d'habitude...s'empressa d'ajouter Mathieu
Si tu le dis... reprit lentement la voix grave »
Mathieu savait pertinemment qu'il était esclave d'une maladie. De sa maladie qui le suivait depuis maintenant quelques années. Il se tue un instant, regardant autour de lui, sans cesser les mouvements circulaires qu'il effectuait de ses doigts sur les côté de son crâne. La pièce ou il se trouvait était démunie de meuble, seul une porte, sans doute fermer, était fixer au mur, le sol, glacer, était de couleur blanc casser, la salle était sombre, mais suffisamment éclairée pour y voir. Sa peau était pâlle, il n'avait pas mangé depuis longtemps, mais il n'avait pas faim, il voulait seulement les revoir... Une autre voix se fit entendre, elle venait bien sûr de Mathieu, cette fois si elle était très faible et plus aigu que la précédente, comme si il s'agissait d'un enfant.
« Mathieu, sanglota la voix, j'ai peur, sommes nous mort ?
Nous ne sommes pas mort, du moins pas pour le moment, chuchota t-il.
Mathieu, ne nous abandonne pas ! Gémit « l'enfant »
JE NE VEUX PAS VOUS ABANDONER, OU ETES VOUS !? s'écria le jeune homme, une larme perla sur sa joue avant de tomber au sol.
Dans ta tête, Mathieu... »
Puis plus rien. Il ferma ses yeux et se lassa tomber sur le côté il était maintenant en position fœtale. La mort l'attendait, il en était conscient. Dans un dernier soupire il dit :
« Si vous ne pouvait pas exister dans se bas monde alors... »
Avant même de terminer sa phrase, son souffle se coupa et sa bouche, paralysée, resta entrouverte. Il était mort. Sa tristesse, sa peur, sa douleur l'avaient emportés...
