bien le bonjour a vous cher lecteur, voici ma première fic, dit'moi se que vous en penser ne soyer pas timide, je ne suis pas comme kogarm je ne mort pas

kogarm : qui mord qui l'auteuse, je sais me tenir patate !

d'abord je suis pas une patate, espèce de banane ensuite tu m'appartient car je suis ta génitrice

kogarm: génétrice de rien du tout, de toute façon le jour ou tu trouvera une b.... coup de poing magistrale de l'auteuse qui l'envoie valdinguer

ceci étant dit ( tout en marchant sur sa fille) voici une histoire qui je l'espère vous plaira en attendant faut que je me remette a écrire pour la suite, car oui il y aura une suite voir plusieurs je l'espère, si mon inspiration ne s'envole pas d'ici là et si le temps me le permet ( bientôt les exam arg T-T°)

kogarm : l'espoir fait vivre ou survivre ou dans ton cas il désespère ... (voit arriver l'auteuse) ARG NON PAS TAPER

les personnage de yu gi oh ne m'appartienne pas ni celui du chocobo ( j'ai essayer mais patchi a dit non ) si certain cas de figure vous semble familier sachez que ce n'est que mon imagination qui travaille ( trop O-o) et qui s'inspire de ce que j'ai lu par ci par là, et dans ce cas je remercie et m'excuse auprès des gens que j'aurai agacer.

kogarm : si elle vous énerve taper 1, si vous pensez que c'est de la merde taper 2,... et si vous vouler taper l'auteuse vous gêner pas XD (se fait latter la tronche par l'auteuse en question, non mais )+} )

sur ceux bonne lecture ^^


Un souvenir revenait la hanter, toujours le même comme pour la prévenir, elle se revoyait marchant cote à cote sur le chemin de retour à la guilde, bavardant avec eux de son "future "éléve", elle riait de leur faux espoir de future parents, mais elle était heureuse pour eux et pensait elle aussi a ce futur avec "lui" qui n'était pas encor née, sa pipe japonaise tenue par les dents elle riait sans sentir la force et l' avertissement de l'autre, un danger arrivait, un grand danger.

Une explosion, la course puis l'embuscade, ils étaient si nombreux, les soldats de gruntel semblaient arriver de toutes parts et les encercler devant une façade montagneuse escarper impossible pour eux de l'escalader surtout pour la femme de son amie, nullement résigner les deux combattant de la guilde firent face dans les yeux des futures cadavres, car oui ils allait combattre et non ils ne se laisseraient pas mourir. LUI pour cette future vie qu'il espérait temps et parce que ces ennemies ne le verrait pas tomber, ELLE si fragile et si menu pour son avenir et celui d'une vie meilleur, elle se battra comme une lionne... comme une mère. kogarm, elle se battait pour toute les vies prisent par eux et pour celle qu'ils ne prendrait pas, ils n'aurait pas la vie de ces amis.

Puis un cris les avaient alerté, la femme d'hiku s'effondra le visage en sangs, les soldats l'avaient prises a revers. Trop c'est trop, le "père" de fureur mêlé par l'inquiétude plongea au plus profond de lui même et utilisa ce pouvoir si caractéristique de sa famille, le pouvoir des thuaparang gonfla en lui et percuta les soldat qui reconnurent enfin leur adversaire ou leur mort, le pouvoir des ténèbres est vorace et demande son quota de mort, surtout quand la colère la nourrit.

Mais un échos à sa droite lui fait comprendre que la chimère est lâché, elle aussi enragée fait déferlé son pouvoir dans un rugissement, un cris qu'aucune gorges humaines ne devrait émettre, et l'enfer se déchaine. La plus craint et la plus respecté de la guilde, sa fondatrice et dirigeante; la chimère écarlate. La redouté provoque une déferlantes de flamme dévalent la pente comme un raz de marée vivant et affamée, un ouragan qui anéantit tout sur son passage. Les ténèbres et l'enfer unit par le désespoir.

La colère s'apaise tendis qu'ils ne reste rien, ni des ennemis, ni de la forêt par laquelle ils s'étaient enfuis, ni de la moitié de la montagne derrière eux. A terre, elle se meure, le pouvoir de kogarm est impuissant, il n'y a plus rien a faire. IL REFUSE, elle doit vivre, trop tard leurs deux vie s'éteignent quand soudain elle regarde kogarm.

NON, pas sa, pourtant kogarm sait qu'il n'y a que cette solution pour LE sauvée, hiku se rebiffe mais dans un dernier effort sa femme, sa si douce et chaleureuse femme le clou sur place, même mourante c'est sa vie et c'est à elle de choisir, ses forces l'abandonnent le temps lui manque.

Elle voit sa détermination dans ces yeux améthyste, une chose qu'elle a toujours respecté chez ce petit bout de femme, kogarm regarde sa jeune amis; oui, elle le fera, oui elle fera ce qu'il faut. Un sourire puis des mots, un nom et une requête vite transformer en promesse par la chimère, ... puis le silence suivit du cris éploré du veuf, pas de temps à perdre. les mains ensanglanté elle prend cette vie qui cri pour la première fois sous les larmes du ciel, elle le serre contre son corps pour partager sa chaleur à cette vie arrachée au griffes de la mort, il le valait ce sacrifice, ces yeux valent toutes cette guerre et ses souffrances. TOUTES sans exception.

pov kogarm

« Dringgggggggggggg dringgggggggdrigggg »

ARG ! Non pas le téléphone j'en est un peu souper pour aujourd'hui, OUTCH bobo la tête, promis j'arrête de boire les mixtures bizarres de Peta, bon OK au moins sa marche mieux que l'alcool que mon corps lui métabolise tout de suite, pff même pas le droit de se souler quand on est une arcames,

«Dringgggggggggggg dringgggggggdrigggg »

- Gniii , peu pas se taire lui

- Kwe !

- Oui patchi je prends attend …. Merde la …

La bouteille que je prends me fais faire un joli vol plané à travers le pub de mon amis tsumé, pour me rétamer devant le bar au pied de mon adorable chocobo d'argent, patchinko silver.

Rassemblant mes efforts pour me relever vers le plumage reluisant de ma « secrétaire » qui tient mon portable, je m'assis pas confortablement du tout contre le pilier du bar et prend l'appel, en espérant intérieurement que ma voie pâteuse et fatiguées ne se remarque pas.

- Société ALA NERO, a votre écoute pour toute demande de piratage, assassinat, transport, garde du corps, chasse au monstres, services, vœux, miracles et etc., que puis-je pour vous ?

- … kogarm, je suis content que tu n'es pas changer de numéros... kof kof kof KOF kof … sa m'aurait bien embêté

Gniii ? Fortiche le bonhomme, pas en forme mais fortiche, d'habitude je fais toujours en sorte d'être l'ombre qui dirige l'entreprise, un numéro de plus pour nous contacté, une secrétaire inconnu, je m'entraine même avec différentes voix. Soudain arrive par dessus le comptoir du bar "le loup du nord", une tête virile avec de longs cheveux blancs comme la neige attaché en indienne sur le cotées , un visage carré a moitié efféminer et des yeux jaunes sauvage à vous faire fondre sous son charme me regarde du haut de ses ( arg qu'est qu'il est grand ) 1,95 m avec ses muscle délié et son corps fin qui lui sert a virer sans ménagement les abrutis et vous pouvez y aller à 10 contre lui, il s'en sort toujours sans grand bobo … les autres nettement moins. Le barman aux yeux de loup m'assassine du regard de son air le plus patibulaire, si je le connaissais pas depuis mon enfance j'aurai peur, là j'étais plutôt blasé ^^

- Bouge, va téléphoner dehors, j'ai du boulot avec vos connerie de cette nuit

- Une seconde s'il vous plaît, de ma voix de secrétaire niaise à mourir, T'es mal luné mon loup ? (regard assassin du canidé ) bon ok je bouge

- Kogarm, (nouvelle toux), c'est soguroku, il faut que tu viennes … je...je (nouvelle toux)… mourir…

Pétrifié c'est le mot, je suis pétrifié d'horreur, je lève la tête vers le calendrier piquer au mur au dessus des bouteilles et des verres tandis que je murmure en mon fort intérieur un gros merde, pour une fois dans ta vie kiria est ce que tes prédiction ne peuvent pas être erroné.

- ….. elle t'avait prévenue, dit moi que ma sœur t'avait prévenue, juste pour pouvoir te préparer…

- Oui et non, c'était trop tard, koy ? (grosse toux), tu n'as pas oublié ta promesse envers lui, je sais qu'il est un peu tôt mais là de toute façon, sa ne tardera plus, alors….

- Oui … enfin je comprends, mais quoi il à déjà 13, 14 ans (je sais plus les années passe trop vite)

- 16 ans …

Claque monumentale dans ma gueule de 14 années à ne plus l'avoir revue depuis ce jour, ce jour où il est né et celui ou j'ai du le laisser avec son grand-père, jour de joie,…. Jour de deuil….

- Koy….

- J'arrive l'ancêtre, et trépasse pas avant mon arrivées, tu es toujours là-bas avec ton magasin ?

- ….oui…. merci (toux très forte) je t'attends avec une vive impatience, me dit 'il en appuyant sur le mot vive

- Chut, tu pose se téléphone et tu ménage tes force avant mon arrivé, j'arrive

Je raccroche aussitôt pour ne pas l'obliger à se confondre en remerciement, ma joli « secrétaire » à plume me regarde d'un air curieux anticipant le prochain départ, très intelligent ces bêtes là !

- Alors tu pars pour lui, sa y est le moment est enfin venu, il était temps que tu te reprennes un élève, la beuverie c'est vraiment pas pour toi.

- Ha ha ha, c'est pour ton bar que tu t'inquiète surtout mais oui tu as raison il est temps… temps de revoir un viel amis

- Passe le bonjour à ce veinard, jubile t il ironiquement en sachant très bien que en faite il n'as pas de chance, et n'oublie pas ta pipe.

- Oui, ma ptit louve !

- KWWWE

- OUI ! ON Y VA, impatiente cette bête là

- Comme sa maitresse , me rajoute le barman avant d'esquiver une bouteille vide lancé a son encontre

Je pars retrouver ce garçon que j'ai aidé à voir le jour, sur un champ de bataille boueux de sang, j'espère de tout mon cœur ne pas être déçu même si dans le fond je m'en fiche, il est et il restera mi piccolo cuere

Mon petit cœur ….

Domino, cette ville me flanque des nausées de nostalgies pourtant elle a bien changé, la modernité c'est installé petit a petit et les immeubles ont fleuris comme du chiens dents. les passant regarde avec curiosité, l'étrange petit animale qui trotte a cotés de moi, pas plus haut que mes genou et docile (et surtout plus intelligent) comme un chien, le soir tombe et la fraicheur d'octobre se fait ressentit pour les pauvres gens comme moi, faisant leur devoir, quoique je ne ressens pas le froid, plus depuis longtemps, a peu prés quand j'avais son âge je pence.

Un magasin de jeu me fait face, le bâtiments n'a pas temps changer que ça, bien qu'il semble désert, je m'approche de la porte fermer et regarde a l'intérieur, rien tout semble figées.

J'entre dans ce magasin, je n'avais pas la clé mais j'ai l'habitude d'aller là ou je veux, je monte a l'étage dans sa chambre.

Sa chambre

Propre et rangées quoique des babioles trainent ici et là mais sa ne m'intéresse pas, des jouets et des livre, des photos de ces amis, bons sang qu'est ce que tu as grandi mi piccolo, je te vois, le monde doit te sembler bien grand mais ne t'en fais pas sa risque de ne pas durer.^^

Un papier, non, des papiers git dans un coin bien planqué entre le mur et le lit, l'un deux est placer en évidence sur la table, curieuse comme pas deux évidemment je le lis. ….ho…HO MY GODESS ETRO

Je file a la vitesse de l'éclair hors de la maison, fait revenir a sa taille normal patchi( c'est-à-dire celle d'un gros ponez), le monte et part au quart de tour, yugi joue pas au con merde pas avant que je ne te trouve

fin pov kogarm


Pov yugi

Un ciel d'octobre magnifique défile devant mes yeux, la ville fourmille d'activités sous mes pieds, l'immeuble est vraiment haut et le vent fort me frigorifie un peu plus à chaque instant… comme un avant gout de la mort.

Comment j'en suis arrivé là, je ne sais plus vraiment, je me sans vide …vide de lui… vide de ceux qui mont abandonner avec leur parole creuse mais surtout de lui …. Mon autre moi

Les larmes coules de mes joues, innombrables et chaudes, je n'arrive plus à les retenir, je ne peu plus les retenir, ne peu plus supporter cette solitude, et en plus...

Grand-père

Sur ce lit d'hôpital, mourant tu ose me dire que tout va s'arrangé, comme si …. Comme si le dire suffisait à me rassurer, a me redonner le sourie, HA bien sur je ne suis plus un enfant, je ne crois plus à ces fantaisie, ni au reste

Un pas devant l'autre j'avance, j'aurai pu choisir une autre méthode mais bon au moins j'aurai l'impression de volé pendant la chute, on trouve son réconfort là ou on peut, j'essaie de ne pas réfléchir sinon je vais encor fuir comme avant, quand il faut y aller…

Je saute et au début j'ai l'impression de ne pas chuter, presque comme si je volait, mais la gravité fait son œuvre je le sens, je ferme les yeux même maintenant la mort me fais peur.

Bientôt je n'aurai plus ce vide qui me glace et me ronge un peu plus chaque jour.

- ESPECES D'ABRUTIE !

- Hein ?

J'ouvre les yeux et vois en quelque seconde se déroulé sous mes yeux une scène hallucinante, quelqu'un avec les cheveux rouge sangs coure vers moi, monter sur une espèce de … d'oiseau à mis chemin entre une autruche et un poulet au plumage argenté, l'oiseau pile net dans un dérapage contrôlé et projette vers moi cette fusée rouge qui me prend en plein vol et …. Nous percutons ensembles la vitre du bureau qui se trouve à ce moment là, et bien sûr le bureau en question explose sous notre impacte.

- Chiotte j'ai connu des atterrissages plus moelleux et plus réussit je me fais vielle pour ce genre de connerie, qu'est ce que t'en pence l'apprenti parachutiste

- Pour...pourquoi, vous…vous

- Parce ce que t'es QU'UN ABRUTIE QUI OUBLIE QU'IL YA DES GENS QUI TIENNE A TOI, merde ma mauvaise habitude reprend le dessus, me dit-elle en se rappelant qu'elle vient de prendre un bureau plutôt solide.

- Heu, vou … vous n'avez rien au moins, je

- Gnii ? Te fatigue pas j'ai trouvé TA lettre, bon ce n'est pas tout sa mais ya des trucs à faire, et toi tu viens avec moi, ton grand père est a l'hôpital non alors allons-y, j'ai deux trois petite choses à lui dire, qu'elle décoche d'un sourire mauvais, mauvais mais douloureux.

Je suis sous le choc et ahurit, ma timidité reprend le dessus, tout en regardant ma (fichue) sauveuse, je suis envahit par une sensation de déjà vu quand mes yeux et les siens se croisent, j'ai déjà vu se regard mais où, Des yeux comme sa on s'en souvient.

- Bah alors même pas merci, HA la jeunesse, ç'avait plus s'que c'est la politesse ou quoi

- Je ne vous est pas demandé de me sauvée ! et cette lettre ne vous été pas destinées...

- Alors a qui crétin, ton grand père ne sortira pas de l'hôpital a part les pieds devant, qui d'autre est sensée venir lire cette lettre d'adieu

- C'est…, merde les larmes recommencent à tomber, c'est PAS VOS OIGNONS

- HEU EXCUSEZ-MOI

- Quoi ! , disons- nous tout les deux en même temps au salarié de la boite

- Ya une poule géante qui est excité dehors je suppose qu'elle est à l'un de vous et

- Oui, patchi est à moi et oui on s'en va, salut la compagnie et merci pour l'atterrissage, lui répond elle au visage

Sûr de son coup, elle prend ma main et me force à la suivre, tout en sortant je garde le silence et étudie cette inconnue bizarre, à peine plus haute que moi et pourtant indéfinissablement très adulte, genre qui force le respect, un visage fin et volontaire, occidentale encadrant des yeux à la couleur changeante, orange ou rouge je ne sais pas on dirait que ces yeux sont habité par des flammes, des flammes pénétrantes qui font baisser le regard de tout ceux que l'on croise, un regard déterminer et fier, ho oui fier et fort, sa démarche a quelque chose de royale et dangereux à la fois comme pour dire, attention je mord et je bluffe pas.

Elle porte un jean et un débardeur noir par-dessus avec des figure géométrique de couleurs vives qui lui descend jusqu'aux genoux et qui met en évidence une silhouette tout en muscle mais bien équilibrée, ces cheveux rouge sang lui tombe sur ces épaules lui donnant une sorte de crinière sanguine, des cris me ramène à la réalité lorsque l'on sort et je remarque alors un tatouage dans son dos.

- KWEWEWEW KWE KWE kwwééé

- Oui patchi on est là et on est entier, allez yugi monte, et t'inquiète patchinko est très confortables et ne te laissera pas tombées

- … pour allez où, bons sang mais c'est qu'il grand cette oiseau

- Voir ton grand père, on a des choses a réglées lui et moi

- Vous vous connaissais depuis longtemps, parce que je ne vous est jamais vu et il ne m'a jamais parler de vous

Je préfère me résigner pour le moment et monte difficilement sur l'oiseau qui finit par se baisser pour me facilité la tache, je remarque alors qu'il a un regard très doux et intelligent

- Depuis tout petit, elle répond avec un sourire très énigmatique, étrange.

- Et on peut savoir qui vous êtes sinon

- Kogarm !, kogarm stella setpelionne, ta future tutrice, fit elle dans un éblouissant sourire à ravir le soleil

La sur le coup, je suis scotchée, elle finit par montée derrière moi et partir au galop vers l'hôpital, faisant fit des passant … et de la police qui arrivait sur le coup.

- On n'a pas idées de se suicidé a ton âge surtout quand on a la vie devant nous quoi !

- Je ne vous demande pas de comprendre, effectivement la balade sur le dos de « patchi » est très agréable

- Gni, bien sur que je veux comprendre

- …

- Si tu ne veux pas causer ce n'est pas grave, profite de la balade on n'a pas toujours la chance de ce promener sur le dos d'un chocobo d'argent

- Chocobo?,dis-je en la regardant interloqué

- Oui patch est un chocobo d'argent, c'est hyper rare, normalement leur couleur tourne autour du jaune ou parfois...

- Wee

- A droite patch, donc je disais on trouve des chocobo de toutes les couleurs mais on générale ils sont jaune, sauf que lui bah il est spéciale et pas seulement par sa couleur

- Et ou on peut trouver ces « chocobo »,

Je ne peu m'empêcher d'être amusé par la tournure des événements, et pose toutes sortes de questions, d'abord pour avoir des informations et ensuite parce que je suis réellement curieux de cet étrange animale.

Non, on ne les trouve pas n'importe où, oui c'est herbivore, c'est vrai ils ont une forte odeur mais on les adores comme même, non ce n'est pas simple à dresser car oui ils sont très intelligent, si patchi comprend se que l'on lui dit bah tu n'as qu'a lui poser la question directement, ainsi s'ensuive ses réponses a mes questions insatiables jusqu'à la question que j'allais regretter amèrement.

- Sa peut aller aussi vite qu'un cheval ?

- (sourire sadique) tu veux voir?

- Heu… oui

- PATCHI MET LA GOMME

- HEIN ! ouah … que doucem… HAAAAAAAAAAAAAAA

Patchi met effectivement la gomme, il monte sur la route et ….. Fonce comme une locomotive, non…. C'est un véritable TGV qui fonce à travers la ville, les virages il ne freine même pas et tourne comme si de rien n'était, ces favoris argenté battant la mesure de ces pattes si rapide que l'on ne les voit même plus, et kogarm imperturbable continue de le diriger à la voix.

On arrive devant l'hôpital et le regard des gens médusé, c'est sûr ! Un oiseau géant qui freine dans un dérapage parfait avec sur son dos une fille rousse et un garçon accrochées par désespoirs au plume de l'animal, avec un regard horrifié, volatil qui a décidé de battre le record de vitesse des TGV les plus rapides, SA NE PASSE PAS INAPERÇU

- Alors assez rapide à ton gout

- …. (reprend ces esprit)…. Co...comment dire… je … je crois que mon estomac… est restez là bas

- Gni !, tant mieux sa prouve que sa ta plus, (retour du sourire sadique)

C'est encore sonné, que je rentre dans le bâtiment pour me dirigée vers l'infirmière de l'accueil et demande la chambre de grand-père, je reste silencieux tout le long du chemins et repense à ce qu'elle a dit tout a l'heur quand nous arrivons devant la porte, mince c'était pas dans mon idée de le revoir, c'était au dessus de mes force, mais le regard de kogarm est intense et me transperce, pour elle c'est à moi d' ouvrir la porte. Dans le fond peut être se doute t elle de mes remord, après tout elle a réussit à me retrouver rien que à partir de la lettre, et sa m'intrigue depuis tout à l'heur.

- Bonjour…. Grand-père…heu je…

- Bijour le vieux, sa boume, sa c'est une entrée fracassante

- (de son lit, il sourit) ho oui sa « boume » bien mieux depuis que tu es arrivé ( il me regarde) je suis heureux de te voir yugi (toux) pourtant (toux) je ne sais pas pourquoi mais j'avais l'impression que je ne te verrai pas

- ….

Le silence est d'or, apparemment kogarm tient sa langue et discute avec papy dons une langue que je ne comprends pas on dirait de l'espagnol, les rire qui fussent entre les toux me réchauffe un peu et me redonne espoir, jusqu'à que je remarque un homme en costume avec des lunettes très fines qui me regarde en souriant, un sourire glacial de façade, je comprend aussitôt pourquoi il est là.

- Mr muto…, sa voix aussi est un iceberg

- … oui, koy je peu compter sur toi

- Oui je te l'ai déjà fait savoir non ?, dit elle d'un sourire bienveillant

- Alors allons arranger sa dans une salle à cotés s'il vous plaît, lui montre la porte et elle le suit en nous disant a tout a l'heur.

Ils sortent et me laisse seul avec ma dernière famille, je serai vraiment seul…. Pour de bon. Grand-père se redresse difficilement et me regarde d'une drôle de façon.

- Tu sais qu'elle a un drôle de moyen de locomotion, je lance sa pour éviter d'aborder le sujet de son …. Départ

- Yugi…

- Je n'avais jamais vus de créature comme celle là même dans le duel de monstre

- Sait... tu … pourquoi je l'ai fait venir

- …. Non… en faites je crois avoir deviné a sa ne m'enchante pas du tout

- Je vais mourir yugi et ce sera aujourd'hui

- Comment tu le sais ?

- La femme qui vient de partit a une jumelle (toux importante), jumelle qui voit des choses et qui se vérifie toujours malheureusement

- Des visions ?, tu veux dire qu'elle a vu…

- Oui…, son sourire si fatiguées se fade aussitôt pour me dire la suite que j'espérais ne pas entendre,…tu n'es pas majeur et tu auras besoin de quelqu'un de spéciale pour t'aider dans les moments difficile ….d'une protectrice, D'une tutelle …

- NON ! JE NE VEUX PAS PARTIR

- non...(il me regarde avec un sourir très doux) non, ne t'inquiète pas c'est elle qui restera avec toi, (grosse toux), elle a accepté de prendre le magasin en charge, un temps seulement bien sur mais au moins tu n'auras pas à quitter tes amis

- Tu crois sincèrement qu'elle pourra te remplacer, mes larmes coulent je croyais les avoir toutes versé, moi…moi je crois que sa marche pas comme sa, mes amis ? quel amis je n'est plus personne après toi

- Tu ne veux comme même pas être dans une maison d'accueil

Non, sa non plus je ne veux pas, mes sanglots réponde à ma place puis je sens une main se posé sur mon épaule, en me retournant j'aperçois kogarm qui me souris avec beaucoup de tendresse pour une personne qui ne me connait pas, elle tente de me prendre dans ces bras mais je la rejette et sort de la pièce, trop malheureux et hors de moi.

FIN POV YUGI


POV KOGARM

- C'est pas encore gagnée on dirait, je soupire dans un haussement d'épaule la journée a décidément mal commencé et semblait continuer sur sa lancé.

- Beaucoup trop de changement, ne lui en veux pas… (toux accentué) … kogarm merci

- De rien vielle charrue, de toute façon il fallait que je le prenne en charge à un moment ou un autre, comme avant.

- Pas pour sa, pour ce que tu as fait tout a l'heure

- …. Tu le savais, j'aurais du m'en douté que ton shadow était dans le coin, tu me laisse avec un sacrée problème sur les bras, au moins je suis fixer quand à son état mentale

- Pardon, je n'est pas vu les choses empirer sa s'est passé trop vite mais laisse moi t'éclairé de certaines choses …..(très grosse toux) que tu comprendras assurément…

Et en effet je comprenais, il me raconta ce qu'il savait, l'histoire du puzzle que ma sœur lui avait mis au défie de relever j'en rigole encore, que yugi l'avait résolue ce que cela avait entrainé, leur aventure. Mi piccolo cuere que je suis fière de toi, puis leur séparation et les nuages à l'horizon qui sont apparus, le vide, le changement de comportement de ces amis qui pour certains n'ont plus donné de nouvelles.

- Ya effectivement de quoi déprimer furieusement, si darthéus venait lui aussi à partir c'est sur que je sauterais sur la première mine que je verrais

Et je le pensais je suis né avec un spirit peut ordinaire, mon autre moi, mon partenaire, si il disparaissait je me sentirais si vide… que sa me rendrait dingue, une grande partie du mystère est résolue.

- Aide … le ….. du …. Mieux…. Que…

Soguroku, je prends sa main gelée, l'heur c'est l'heur vieux frère, repose en paix dans les bras d'étro, ton petits fils est entre de bonnes mains

….. yu…. Aim … dit …. Le

- Je lui dirais

Il s'endort avec un sourire douloureux mais…. Rassuré. ETRO divine déesse accueille le dans ton écrin comme l'un de tes plus grands héros. Je n'est plus qu'a l'annoncé à yugi, qui ne va pas aimer, même si il ne le sait pas encor, de ne pas avoir été là, en sortant j'attrape une infirmière qui comprend très vite que je ne la lâcherais pas tant qu'elle ne m'auras pas aider à retrouver ce que je veux. tout en lui signalant l'état de son ex-patient je sonde l'hôpital pour retrouver yugi.

Qui semble t il s'est réfugie sur le toit de l'hôpital, après avoir remercié l'infirmière pour m"avoir indiquer comment aller sur le toit, qui file très vite pour ne plus être en ma présence, je fonce vers les escaliers et monte.

Sur le toit les cris de patchinko me permette de le localisé, merci patch décidément tu as deviné mes intention. Son corps est recroquevillé sur lui même et secoué de larmes chaudes, je l'entend de sous ces bras un faibles murmure qui cherche à savoir comment je l'est retrouvé.

- Je sens l'aura des gens yugi et la tienne met très familière

Levant enfin ces yeux lilas rougis habité par le désespoir et la peur, celle de l'avenir sans doute, je sens poindre une interrogation et je répond aussitôt

- Je… je te connait depuis que tu est tout bébé en faites, j'étaie là quand tu est né, (enfin façon de parler)

- ha bon , il semble s'en contentai pour l'instant de ma vérité, je ... comprend, quoique que sa me... renseigne pas vraiment sur vous.

Il se relève brusquement et commence à partir vers la sortie.

- Il faut que je parle à grand-père, pendant que je peut encore, me dit 'il dans un sourire amère

- C'est trop tard, sayait je l'ais dit

- ….

- Il vient de partir, punaise c'est toujours aussi dur

Il reste là assommer, je m'approche et le prend dans mes bras sur de moi, il m'attrape aussitôt et fond en larmes silencieusement, il ne m'as pas repousse, bon dio, que j'ai du flair et qu'est ce que je déteste sa par moment,… comme maintenant.

J'ai laissé yugi pleurer tout le temps de l'après-midi dans la chambre de salomon, des taches moins agréables m'attendaient comme celle des funérailles, entre autres. Nous sommes rentrées tard, yugi n'a pas dit un mot durant le retour au magasin et est partie directement dans sa chambre à notre arrivée, histoire de ne plus penser à sa.

Bon ba voilà mon ptit patchi, c'est à nous qu'incombe la tache de l'aider maintenant

- Kwouuu, hulule t il tristement avant de filer vers la chambre de yugi

- Lâcheur, (soupir) bon sa va pas être de la tarte de faire marcher cette boutique

Je m'affaire à vérifié se qui faut ou pas pour la maison, le quotidien du ménage, je n'avais pas joué les Mama depuis, pfiou une éternité.

- Kogarm…( oups je l'avais pas entendu arriver)

- Heu pour le diner, sa va prendre quelque minutes, désoler yugi, j'avais pas penser qu' le frigo serait vide

- Ha d'accord, je… je peu t'aider

Yugi est à l'entrée de la cuisine avec patchi dans les bras qui le mordille affectueusement le menton, se qui fait sourire timidement yugi, qu'est ce qu'ils sont trognons ces deux là !

- Nan, mais tu peux rester et poser des questions quoique tu dois être fatiguées

- Kwouuuuuu

- Oui, ce…. Ce n'est pas grave pour le diner je n'est pas faim,…. Heu je peu garder patchi ?

- Pas faim hein, dis que t'as plutôt peur de ma cuisine, bah c' soir j't'en veux pas, oui mais demande lui la permission, j'ai pas envie qu'il vienne trompeter dans mes oreille cette nuit

- Merci, patchi tu veux bien rester avec moi pour ce soir, je me sentirais moins seul

- Kwééé !

- Sa doit vouloir dire oui, …. Bonne soirée

- buona notte, mi piccolo cuere

- pardon ?

- je ris devant sa tête, j'ai dit bonne nuit mon petit cœur

- heu….. d'accord bonne nuit a …. Toi aussi

Il s'en va, ouf vais pouvoir fumer en paix. Je sors ma pipe japonaise et l'allume, haaaaa que c'est bon, je sens que mes poumons vont souffrir dans les jours prochains.

Les funérailles arrive trop vite à mon gout et à celui de yugi, depuis trois jours on s'échange que le stricte minimum de politesse, se qui a le dont de me crisper, je sens qu'un à moment donner ça va péter et même plus tôt que l'on ne le croit.


et voilà je suis crever, bon y'a plus qu'a se mettre au boulot pour la suite ^^

kogarm : ne l'espérez pas trop sa risque d'être très long -_-'

toi on ta rien demandé ! BON a plus cher lecteur