Rating : J'ai déjà fait autre chose que M ?

Pairing : FrUK ! Presque seulement FrUK~

Warning : Lemon, lime, la relation usuelle du FrUK et bien des perversions partout… et un Arthur du genre gamin chiant. Ça promet, non ? Et aussi… j'essaie de faire de l'humour… J'ESSAIE ;A;…

Disclaimer : Rien ne m'appartient, comme tout en ce bas monde… Déjà, l'idée me vient en partie d'un rp et aussi un peu de Black Butler/Kuroshitsuji

Résumé : Francis est sûr d'avoir obtenu le job de ses rêves ! Malheureusement, Arthur s'est décidé à rendre tout cela un véritable enfer ! Et si Francis réplique, y se passe quoi ? La guerre !

Notes et divagations : Dans ceci, Arthur a bien des frères et sœur… du genre de 5 ou 6 ! Donc, un peu beaucoup parce que je tends à avoir la pire mémoire du monde — « Bref, t'as compris ? » « Ouais, t'inquiètes ! » « Donc, j'ai dit quoi ? » « Euh… j' me rappelle pas… » — je vais tout marquer ici xD Donc, en gros en ordre de vieillesse, on a William [Wallace]Kirkland pour l'Écosse. Ensuite, Victoria Kirkland pour l'Irlande du Nord et son jumeau Edmond pour l'Irlande tout court (NONPASINSPIRÉDENARNIANON). Après, vient Tristan Kirkland pour le Pays de Galles. Arthur Kirkland est bien sûr l'Angleterre. Puis, Peter Kirkland pour Sealand. Donc, la famille Kirkland est composée de ces six beaux enfants… famille nombreuse, en effet. Quant à Francis, il a une petite sœur toujours avec sa famille, Monique Bonnefoy, autrement appelée Mona qui est Monaco, bien sûr !

Bref, c'était un peu long, mais j'y tenais. D'ailleurs, la mère d'Arthur s'appelle Elizabeth et son père… Charles xD Non, non, je ne vais rien chercher à la famille royale. Erhm, et l'épouse de William ne serait pas une certaine Kate. * sbim *

Bref, bonne et heureuse lecture.

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Le job de ses rêves

par Pervy Otaku

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« L'amour ? Des grands mots avant, des

petits mots pendant et des gros mots après. »

— Sacha Guitry.

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Hier, avant l'enfer

Mr Kirkland semble être un homme imposant. Avec une petite barbe et l'air assez massif, le cou épais comme s'il n'y en a aucun, il est assis derrière son bureau et regarde Francis, qui tente de bien se tenir et d'avoir l'air d'un jeune homme respectable, bien qu'un peu famélique et certainement affamé, et le plus souriant possible bien que moyennement apeuré par cet homme à l'air des plus sérieux qui lit son CV avec son air sérieux qu'il sait qu'il verra sûrement très souvent dans les prochaines semaines, ou mois dans le cas où il ne fera pas de bêtises — et bien que charmant, Francis sait être plutôt gaffeur et sa personnalité ainsi que sa coutume de draguer un peu tout le monde n'est pas forcément appréciée de tous.

Il relève les yeux vers lui, des yeux très vert et dont il ne se surprend pas vraiment à trouver très beaux, un peu comme ceux de Mrs Kirkland qui se tient bien droite et chaleureuse, lui proposant un thé, et Francis répond rapidement, « Oui, oui, s'il vous plait, madame ! » avec un accent horrible qui fait sourire son — peut-être — nouvel employeur chaque fois qu'il l'entend, et d'un air moqueur. Francis sait bien qu'il a très bon anglais, mais son accent français rend le tout un peu ridicule et lui enlève pratiquement toute crédibilité. Il adorerait pouvoir parler seulement dans sa langue natale, puisqu'il sait qu'il la parle bien, et toutes les jeunes filles se pendent à ses lèvres dès qu'il entonne les mots.

« Donc, vous venez de France… Francis ? » Un petit sourire se dessine sur ses lèvres lorsqu'il voit la ressemblance entre les deux noms. Le principal intéressé hoche rapidement la tête avec un sourire assez radieux, et Mr Kirkland tourne la tête vers son épouse, qui hausse les épaules en regardant d'un air plutôt enchanté le postulant au poste de cuisinier recommandé par un de leur vieux ami. « Vous avez étudié quelque part, Francis ? »

« Près d'un grand chef d'un prestigieux restaurant de Paris — on a toujours dit de bonnes choses des plats que je préparais. »

« Bien, je crois que c'est plutôt une bonne chose, n'est-ce pas, Liz ? » dit l'homme en se tournant vers sa femme qui lui singe qu'elle veut ce charmant jeune homme, ce qui fait sourire Francis bien grand, et elle fait aussi des signes qu'il ne comprend pas, et suppose que ce sont des années de mariage qui leur permettent de se comprendre ainsi, puisque Mr Kirkland sourit à son épouse en hochant la tête, avec un sourire plus que content et un peu… malicieux, peut-être ? sur le visage avant de se retourner vers le jeune homme, qui ne sait trop comment réagir, cette fois, mais attend en essayant de garder un air qui lui donne une belle allure, « C'est bon, on vous engage, Mr Bonnefoy. Mais, en plus de faire la cuisine, si cela ne vous dérange pas… je vois que vous avez aussi étudié pour faire professeur… mh… » Le sourire du chef d'entreprise est tel qu'il tente de le contenir, et Mrs Kirkland ricane légèrement en s'excusant.

« Oui, qu'y a-t-il ? » Francis est plutôt du genre à réussir tout ce qu'il entreprend s'il y met du sien — s'il le voulait, il pourrait réellement faire n'importe quoi. Francis Bonnefoy est un jeune homme intelligent, plutôt avec une belle gueule et une légère barbiche qui le fait paraître peut-être un petit peu plus âgé que ses vingt-six ans, avec des cheveux blonds doré et des yeux bleus méditerranéen dont sa sœur s'insurge de ne pouvoir se vanter d'avoir elle-même. Il est plutôt grand, masculin et juste assez viril, et il prend bien soin de lui. On peut le considérer Don Juan, Casanova ou autre coureur de jupons, mais il sait être un bon amant et est du genre taquin et malicieux — qui aime bien châtie bien, comme le dit le vieux dicton. Il se dit aussi que ce n'est pas la fin du monde si on lui demande de faire le service à table ou autre chose, et puis si cela se rajoute à la paie, il peut bien faire n'importe quoi !

« Nous avons un fils, » commence-t-il, puis se reprend après avoir pensé un instant, « C'est un enfant très charmant, qui est notre deuxième cadet, et il est du genre… comment dire ? Plutôt turbulent. Il ne veut jamais étudier et dit qu'il se reposera sur la fortune familiale si jamais quoique ce soit arrive. » Il fronce les sourcils, soupire un instant. Francis se demande bien qui peut être ce jeune homme, et se contente de sourire en espérant intérieurement que ses fesses seraient aussi belles que celles d'Antonio, son meilleur ami depuis l'enfance. « Il s'appelle Arthur, et nous aimerions que vous soyez son professeur pour lui apprendre un peu de français, et que vous lui inculquiez quelques bonnes manières pour qu'il puisse un jour se trouver une jolie jeune femme et suive l'exemple de William, qui se mariera à l'automne. »

Un gamin, alors ? Francis imagine qu'il ne peut pas être bien vieux, et pense maintenant avoir à faire à un petit enfant de six ou sept ans, ce qui le rassure rapidement : il est doué avec les enfants, et ceux-ci l'adorent. Il n'y a pas quelques heures que les gamins d'une petite famille travaillant aussi pour les Kirkland, une petite famille Jones, lui ont courues après. Deux jumeaux identiques croquant à souhait, dont il aurait bien gardé l'aîné tranquille et mignon avait essayé de parlé un peu de français — absolument le genre de petit dont il voudrait. Il se relève un peu de son siège et chantonne donc, « Bien sûr ! Où est ce charmant petit ? »

« Ici, » dit subitement une voix qui arrive de plus loin. Ce n'est pas une voix d'enfant, loin de là. Pas même celle d'un adolescent, bien qu'il est reste peut-être quelque vestiges dans quelques octaves trop hauts ou ténor trop bas. C'est une voix d'un jeune adulte qui porte un grand sourire carnassier lorsqu'il se tourne vers lui, alors qu'il s'approche en tendant une main vers lui, pour se serrer la pince, l'air de trouver la situation des plus amusantes alors que les talons de ses bottes claquent sur le sol bois franc, puis le son devient plus sourd lorsqu'il arrive sur le tapis persan, et surplombe Francis assis dans son fauteuil.

« C'est un… plaisir de faire ta connaissance, Bonnefoy. »

Francis se lève en tentant de prendre un sourire avenant, se rendant rapidement compte que l'existence même de ce gosse impoli lui plombe l'air et l'exècre. Il se remémore la paie importante en serrant à son tour la main moins épaisse et plus délicate dans la sienne plus large et consistante. La poigne est dure et ferme, et ses yeux bleus rencontrent ceux d'un incroyable vert, et il lâche la main un instant plus tard et le détaille de ce qu'il peut voir. Arthur est juste un peu plus petit que lui, pas de beaucoup, mais on le remarque facilement. Comme toute la famille Kirkland, des sourcils épais et broussailleux surmontent ses yeux sombre, et sa peau est pâle et d'albâtre, un peu comme celle d'une jeune fille rousse. Son visage semble fin et délicat, et ses lèvres sont fines et saillent bien à un sourire de cette trempe, un sourire véritablement détestable. Tout le corps semble svelte, et plutôt maigrichon, sans trace de gras ou autre vilaines caractéristiques que les riches se passent entre eux. Le britannique porte des vêtements sans goûts — à vomir ! pense Francis acerbement —, dont un pantalon en corduroy, une chemise blanche et un gilet par-dessus. N'en tenait qu'à lui, il lui changerait directement le style.

« C'est également un plaisir, Arthur. »

Francis en est loin de se douter, mais en cet instant, très précisément, Arthur décide de qu'il va lui pourrir la vie. S'il croit qu'il sera simple d'inculquer quoique ce soit à son esprit, il se trompe horriblement. Et il fera comme avec tous les autres : il fera de ce job qu'il croit rêvé et incroyable un véritable enfer ! Dans moins d'un mois, il sera reparti vers son pays de merde, et ne pensera plus jamais à remettre les pieds au Royaume-Uni, plus jamais. Le seul nom de Kirkland lui évoquera les pires souvenirs. Pourtant, loin est-il de se douter, que Francis, celui dont il ne veut qu'éloigner, doit être, doublé d'un pervers plutôt égocentrique qui aime la flagornerie et enticher les femmes, et disparaître au prochain jour du lit de Marie, de Suzie ou de Catherine et se vête seulement des plus belles plumes qu'il peut trouver comme un oiseau chantant cherchant à attirer les attention sur lui-même, est un homme avec une volonté des plus effroyables et inébranlables, et sera loin de marcher dans les pas de son plan aussi bien qu'il ne le croit, et peut aussi bien jouer dans le même jeu que lui…

That's it for today!—

Ero, relit le texte avec un air boudeur : Schmeeeeeuh ! C'est naze ! Par contre, j'aime bien mon style et… * part dans de longues divagations, ricanant, se moquant d'elle-même et éclatant en sanglots à la fois *

Arthur, s'approche pour lire par-dessus son épaule et sourit : T'as enfin compris que j'étais pas un petit timide ?

Ero se tourne vers lui et ricane hideusement avant de répondre bêtement : Tu es un timide parfois, et ça, ça m'excite sexuellement, Arthur. Comprends-le.

Arthur va répliquer, mais il s'éloigne en grognant :I-IDIOTE ! T'AS BIEN LES GÊNES FRANÇAIS, TOI !

Ero, gueule pour qu'il entende de loin : MARATHON DE MASTURBATION ! VIDÉO D'ÉDUCATION SEXUELLE EXPLICITE ! SEXY WAITER ! DUREX ! * continue à crier des trucs pour se venger, parfois sans vraiment de rapport *

Francis s'approche en riant : J'adore ce nouvel Arthur ! J'imagine ce sera pas long avant que je fasse un truc ?

Ero toussote et se tourne vers lui : Mh, je compte faire des chapitres assez longs. Donc, ça mettra un temps, mais je compte faire des trucs bien pervers, puisque pour une fois, c'est vraiment pas une fic sérieuse…

Francis, souriant : Et tu comptes t'y prendre comment pour que les choses changent entre nous ?

Ero, avec un air diabolique : Tu verras ! Ça risque de te plaire, vu que t'aime bien les histoires à l'eau de rose~ * avec un air assez complice avec Francis *

Arthur, revient avec un air grognon : Je sens qu'à moi, non…

Encore une fic alors que j'en ai tellement en cours ? Je dois avouer que j'ai un peu de mal à toujours faire ces histoires un peu lourdes et pleines de trucs plutôt sombres — et aussi de me concentrer sur un seul truc à la fois… J'aime aussi les trucs marrants, et pour une fois que je m'y essaie, j'espère que cela vous plaira, et que vous serez nombreux à laisser des REVIEWS ! Puisque j'aime les reviews, inconditionnellement~ J'aime bien aussi le côté interactif qu'il ajoute de voir vos impressions, et ne soyez pas timides de communiquer ce que vous croyez qu'il se passera ! D'ailleurs, ça pourrait bien m'aider dans mes blocages qui sont, je l'avoue, nombreux et fréquents…

Bref, en espérant avoir bien de très chers lecteurs lors de cette aventure, je vous souhaite un bon temps et ce qu'il vous reste de vacances au soleil~