Auteur : Alysions
Correctrice: Revotan
Paring: Akuroku
Personnages: Tout les personnages présent appartiennent à Tetsuya Nomura (Square Enix)

Donc avant de vous laissez lire (ouais je suis chiante dès le début uhg), c'est genre un peu beaucoup ma première fic et je commence tout juste avec , donc voilà. Je galère un peu (yay). J'espère tout de même que vous apprécierez la lecture !


Bon, je sais pas trop par où commencer ni par quoi, ouais, c'est con mais c'est comme ça, c'est toujours comme ça. J'dois ptet me présenter pour commencer ? Ouais, ça me semble bien comme idée, mais ça me semble aussi bien chiant et hyper banal, c'est con. Du coup j'vais le faire au fur et à mesure. Là je viens de me lever, on est lundi j'ai passé mon week-end à faire la fête j'ai la tête dans le cul, bref, c'pas cool. Je vais me prendre un café putain ça va m'aider parce là j'ai juste qu'une seule et putain d'envie : me jeter dans mon lit et faire la grasse mat' et pas seulement aujourd'hui, j'ai envie de faire la même tout les jours. Bordel, je sais que vous savez ce que c'est aussi, j'ai envie de dormir, c'est horrible. Mon café m'aide un peu, en vrai je trouve le goût de ce truc absolument immonde, j'aime pas ce qui est amer mais au moins ça me réveille, ouais parce je dois aller bosser là.

Enfin, bosser c'est pas vraiiiiment ce que j'appellerais travailler c'est des études en alternance, ça me permet de gagner ma vie, c'est plutôt cool. Je vis sur le campus c'est plus simple, les apparts sont pas très grands mais ça suffit et c'est moins cher et carrément moins chiant que ce qu'il y a en dehors. Ouais, vous l'avez compris j'suis pas crésus et j'le vis bien. Enfin, au pire on en a rien à foutre, ouais j'parle mal, un problème ? Je sais que vous parlez tous comme ça, je vais pas m'gêner yo.

Bon, j'enfile des vêtements parce que je me vois pas trop me pointer en calbute en cours, ouais je dors en boxer et je changerais ça pour rien au monde, sauf quand il froid ok, en hiver ils mettent le chauffage souvent assez tard du coup je me les pèle, mais ça au pire on s'en fout. Donc, je prends mes clefs, je ferme la porte et c'est parti.

Je dois marcher une dizaine de minutes pour arriver à ma section parce que qu'ici on accueil plusieurs division qui ont genre parfois aucun truc en commun. J'fais parti de la section des arts, des littéraires. Quoi ? C'était obivous parce que j'ai les cheveux rouges ? Mais allez vous faite mettre, c'est même pas une coloration les gars. C'est bizarre ? Ouais, je sais mais ça fait parti de mon charme naturel qu'est ce que vous voulez. Ahahaha. -Arrêtez de vous foutre de ma gueule je sais tout, je vous vois tssssss-.

Je raconte rien d'intéressant pas vrai ? Et vous restez quand même là sans connaître mon prénom. Vous savez quoi je vais pas vous le dire de si tôt bande de petites bi-

-Axel !

Putain. Je me retourne pour voir qui a niqué mon effet de suspense et c'est Saïx, un de mes meilleurs pote. Il est plutôt sympa en vrai et si je le considérais pas comme mon frère je lui aurait latté la gueule pour avoir cassé mon trip. Vous l'avez remarqué aussi, ses cheveux sont couleur bleu acier et là on est d'accord c'est pas naturel. Non, on a pas prévu de faire d'arc en ciel capillaire, merci vous pouvez passer votre chemin.

Je rentre dans la salle de cours, aujourd'hui on nous avait prévenu qu'on devait s'attendre à tout, genre vraiment. D'après ce que j'ai pu comprendre ça a un rapport avec les projets de fin d'année. Ouais, ce truc, on est bien d'accord c'est le mal parce si tu te foires dessus t'as foiré toute ton année. Le prof -Ansem- me fout parfois les jetons, ça a aucun rapport avec le fait qu'il soit hyper bronzé, qu'il soit hyper musclé et qu'il est une chevelure grisâtre qui étrangement lui va super bien, non c'était plutôt sa façon de sourire quand il avait une idée qu'il disait de génie et qu'on savait qu'on allait pas forcément tous kiffer ça. Sa façon de sourire comme là, ici, maintenant.

Je glousse un peu, j'aime pas ça. Je dirais même que je déteste ça, je me sens trop mal, putain j'aurais du rester dans mon lit. Fuck you la vie. Il prend la parole :

-Alors, comme vous le savez tous nous travaillons énormément avec le centre des arts de la région et cette année vos projets finaux feront partis de l'exposition prévue pour cet hiver. Enfin, ça ce n'est pas la nouveauté comme vous le savez. Le challenge cette fois sera pour vous non pas de respect le sujet qui vous est imposé mais de travailler dans une toute autre ambiance.

Il prit la craie et commença à notr au tableau ce qui semblait être notre sujet : INVISIBLE ET INSAISISSABLE.
Il reprit la parole :

- Vous allez devoir travailler en duo avec un membre de la section scientifique afin de présenter ce sujet. -Il prend une feuille et la fait tourner- Sur ce papier est indiqué l'endroit et l'heure à laquelle vous devrez rencontrer votre binôme ainsi que leur nom. Je vous laisse découvrir les choses par vous même. C'est donc fini pour aujourd'hui.

Il sort tout fier de son coup le putain de sadique et moi je reste bouche bée. C'était une blague c'est ça ? C'était une putain de blague ?! Non, je vous explique le problème parce que vous semblez pas le voir. Entre ces mecs là et nous c'est la guerre froide, c'est la Russie et les Etats-Unis, c'est la mort ok. J'ai jamais autant détesté des gens de toute ma vie, à chaque fois qu'on a eu à faire à eux c'était à deux doigts de finir en bain de sang. Ces mecs sont tous sauf modeste et je leur crache à la gueule s'il le faut. C'est bien ça : je les hais.

De toute façon maintenant les dès étaient lancé. C'est pas comme si on avait le choix et j'emmerde le premier d'entre vous qui va me dire « ON A TOUJOURS LE CHOIX », bande de niais. J'ai le seum, j'attrape les papiers des mains de Demyx -un mec un peu con mais il gentil dans le fond- et je cherche le nom sur la liste. A trouvé. Je regarde les infos complémentaires, je dois le voir demain à midi quarante dans le labo 138. Bordel, en plus fallait que j'aille dans leurs putain de locaux ? Mais c'est la mort, la cafèt' c'était trop vous demander ? Je regarde le nom du binôme : Poxas.

...Poxas.
...Poxas.
...Poxas.

Putain ses parents devaient vraiment pas l'aimer. C'était pas possible d'avoir un nom aussi ridicule. Je pleure de rire, même mon chien je l'aurais jamais appelé comme ça, c'était trop cruel. Ça me fait penser à Pollux, j'ai honte, je crève de rire. Putain, c'était ridicule, sérieusement. Po-xas, un pot de chambre combinés à l'As du comble pour un prénom ?! Je vais sérieusement avoir du mal demain à lui demander si c'est bien lui sans rire.

Une œuvre conçue par Axel et Poxas.
Je vois déjà la scène.
Je veux mourir.
Help.