Titre : le popotin de roxy, épisode 1, première partie.
Auteur : ben… moi… enfin, je crois… attendez… je vérifie… j'espère que c'est moi, que je suis moi… haaaaaaaa !!! Tiens je suis roux ! Oui c'est parce que j'ai eut mon bac avec mention, et maman m'a payé une couleur de cheveux. Bordeaux. Parait que ça me va.
Base : kingdom hearts. Faux être un peu nunuche pour venir jusqu'ici par hasard quand même
Résumé : « prenons une scène de la vie quotidienne. » autrement dit, cette fic ne sers à rien, sinon a faire autre chose que terminer mon cosplay de Amy pour harajuku le 13 septembre. L'idée m'est venue pendant que j'était moi-même malade, et je me suis dit « il en a de la chance, Roxas, lui… » Et voila !
Genre : bin, comme d'hab, je peux pas m'empêcher d'esquinter les persos… je suis de ces êtres tordus qui baignent leur existence dans la douleur psychique et dans les espoirs tordus… niark niark… myy prrrrecccciousssss… ahem.
Couples : rhaaaa ! Akuroku powaaa !!!!!!! C'est mes chouchous. Et je me sens assez troublé que leur relation amoureuse soit si crédible avec l'histoire, par exemple axel parle concrètement d'amour quand il meurs et qu'il parle de Roxas… et puis dans la scène de FM, sur le clocher de la gare, le sourire de roxy fait… amoureux, vraiment…
Disclaimer : square. Forever. Même le bobo n'est pas à moi, le « pus violet » (berk) viens de oogie boogie, dans kh1, quand il faut taper ces espèces de bulles bizarres (oh ! bulbizar !). Voila.
Avertissement : yaoi, évidemment ! Venant de moi, hein …
Note : désolé si y a des gros mots, mais bon, je suis grand, j'allais pas tout édulcorer… et je n'ai pas de beta-lectrice, donc désolé pour les fautes.
La douleur, le froid, la solitude.
Ce sont des choses que la plupart des êtres vivants ont du mal à supporter. C'est drôle, je ne suis pas sensé être vraiment vivant, alors je devrais le supporter mieux que ça, non ? Et pourtant… je suis seul, j'ai si froid, et j'ai tellement mal…
Roulé en boule sous sa couette, Roxas tremblait des pieds à la tête, ses jambes se frottaient l'une contre l'autre pour se réchauffer en vain, ses mains agrippaient son oreiller pour supporter la douleur, et ses pensées nimbées de fièvre vagabondaient d'un délire à l'autre. Cette blessure sur son flanc qui le clouait au lit datait de quatre jours, et son auteur était un heartless de niveau supérieur. Si les habituels « coups de griffe » se pansaient simplement et se soignaient tous seuls, celle-ci était imbibée de pus violet, cette hideuse matière issue des ténèbres, est s'était infectée. Rapatrié de toute urgence, Roxas était désormais hors de danger, aux soins de Saix, qui avait prélevé un peu de cette matière violacée et devait certainement faire joujou avec, dans le laboratoire, Xemnas sur son dos (1). Celui-ci passait toutes les deux-trois heures pour changer les pansements violacés, et à chaque fois, il retirait la précieuse couette dans un grand geste, ruinant ainsi tous les efforts démesurés du blond pour se réchauffer. Selon lui, il était préférable que Roxas aies froid, toute trace de sueur risquerait d'aggraver l'infection qui avait déjà du mal à se rétablir. A ces moments, Roxas se disait que voir Saix dans cet état aurait été très intéressant. L'impassible et surpuissant devin, tremblant de froid, tordu de douleur, et délirant de fièvre. Mais il se doutait que cela n'arriverait jamais, et se contentait de l'imaginer furtivement, et cela el faisait pouffer de rire, mais heureusement son supérieur mettait cette bizarrerie sur le compte de la fièvre. Mais pourtant, cela lui était déjà arrivé, à Saix, de se prendre une blessure indélébile, la preuve s'affichait en forme de croix sur son front (2). Depuis quatre jours, Roxas n'avait pas changé de position, puisque la douleur n'était supportable que lorsque il était sur le coté, recroquevillé et engourdi.
Des pas retentirent dans la chambre.
- Saix, tu es sur de vouloir me congeler comme ça ? Hacha-t-il dans un demi-sommeil.
- Tu as dix minutes de retard, Rox' !
Les yeux de Roxas s'écarquillèrent. Il lui semblait reconnaître cette voix (3). Deux doigts longs et effilés apparurent en rebord de la précieuse couette, et la repoussèrent lentement. Malgré ses yeux embués, le blond entrevit deux petits tatouages (4) et un sourire en coin.
- Tu es rentré de mission ?
- Et toi tu as trouvé le moyen d'écourter la tienne apparemment ! Plaisanta Axel. Mais qu'est-ce que tu as a remuer comme ça ? On dirait Demyx hors de l'eau ! (5)
- J'ai froid abruti !
- Tu veux que je te réchauffe ? Proposa immédiatement Axel son sourire s'élargissant dangereusement.
- Si tu me fais transpirer, cette saloperie s'infectera encore plus.
- Ah… Axel affichait une mine déçue. Mais… réfléchit-il, je peux te faire un câlin quand même ? Dis ?
Le regard de petit chien implorant fit craquer Roxas, qui faisait semblant de se montrer réticent rien que pour le voir ainsi, terriblement drôle.
- Fais gaffe alors, murmura-t-il.
Axel retira immédiatement son manteau, pressé au point de défaire la fermeture éclair avant de délier la chaînette de sa capuche.
- Hé ! T'as dit juste un câlin ! Protesta Roxas pendant que le pyromane se débattait avec ses vêtements.
- Tu veux que je te laisses expliquer tout seul à Saix comment de la boue s'est retrouvée dans ton plumard ?
- Attends, t'enlève ton pantalon aussi ???
Mais, ô miracle, Axel avait des sous-vêtements cette fois-ci, contrairement à ses craintes. Ça lui arrivait une fois sur deux ou trois. Le facteur principal étant si il avait été avec Roxas ou pas la veille (^^). C'était donc logique qu'il en ait, puisqu' en mission il était loin de son blondinet chéri et en cohabitation avec d'autres membres de l'organisation. Bref. Roxas, finalement, trouva le bon coté des choses.
- Axel ! interrompit-il tandis que le roux s'approchait du lit.
- Qu'est-ce qu'il se passe ?
- C'est juste que… j'ai rarement eut l'occasion de te regarder tout nu…
- Je suis pas tout nu, là.
- Et vaux mieux pas ! Mais bouges pas, laisses-moi profiter un petit peu…
Alors Axel se tint tranquille un petit moment, un peu gêné d'être soudain détaillé de la tête aux pieds. Roxas, la tête enfouies dans son oreiller, rouge et affichant un grand sourire allant d'une oreille à l'autre, scrutait tous les petits détails du joli corps de son chéri. Toutes les petites cicatrices, les petits grains de beautés (un peu rares, d'ailleurs), ses muscles fins qui lui avaient échappé, furent passés en revue avec délectation jusqu'à ce que le rouquin s'impatiente. Et Roxas se suggéra que ce serait drôlement chouette de pouvoir examiner Axel tout nu, vraiment tout nu.
- Un de ces quatre, tu me feras un strip-tease ?
Axel Project: 0 ; Roxas Project: 1
Axel sourit et se glissa avec souplesse le long du dos de Roxas, faisant attention de remuer au minimum le matelas, pour ne pas infliger à son chouchou des souffrances inutiles.
- Peut-être…chuchota-t-il.
Et ce fut uniquement lorsqu'il se fut confortablement installé, une main sur l'épaule de Roxas et l'autre sous sa tête, une jambe posée délicatement sur celles qui décidément ne s'arrêterons pas de remuer, qu'il s'aperçut d'un détail essentiel : ils étaient tous deux en caleçon, collés l'un à l'autre. Désastrophe (6).
- Arrête de bouger comme ça, sinon la situation va dévier ! (7) protesta Axel.
- C'est ce que j'essaies de faire, mais… hé, tu fais quoi ?
Axel avait plongé sa tête sous la couette, le nez excessivement près des fesses de Roxas. Il posa une main délicieusement chaude sur le premier genoux qu'il parvint a stabiliser, et répandit une chaleur, la plus légère qu'il pu après plusieurs jours passés à balancer de brasiers meurtriers (8). Roxas ressenti soudainement cette chaleur d'une jambe à l'autre, se détendit à une vitesse phénoménale, et murmura un « merci » mêlé à un soupir d'aise. Axel se dit qu'à l'occasion, il pourrait réitérer l'opération lorsque l'habitude de Roxas d'avoir les pieds et mains gelés serait insupportable lors de leurs petites nuits à deux.
Axel Project: 1 ; Roxas Project: 1
Un petit nœud rouge (9) se noua dans la gorge élancée du rouquin. « Même pas droit de le tripoter… c'est pas juste », pensait-il. Imaginez donc la situation d'un crapule pareille, qui reviens d'une dure bataille et qui, une fois de retour à la maison, apprend qu'il n'aura pas droit à son petit réconfort. C'est assez cruel, tout de même (10). Sa tête reparue en haut de la couette, et sa main, toujours en mode bouillotte, entrelaça ses longs doigts avec les petits tout crispés de son compagnon. Il restèrent immobiles ainsi de longues et agréables minutes, tandis que Roxas, réchauffé, se replongea dans un léger assoupissement, dans lequel il était plongé depuis son retour au QG. Axel le contemplait, appréciait se petit visage somnolant, et, surtout, se retenait de croquer cette petite oreille, d'embrasser cette petite joue, de lécher ce petit cou. Puis la menace revint au galop. Dans son sommeil, Roxas reprit son habitude de remuer pour se tenir chaud tout seul. Et avant qu'Axel, en pleine contemplation, réagisse, il fut soudainement trop tard, et la sueur tant redoutée fut sécrétée par… Axel. Son corps avait réagit indépendamment de sa volonté, et très vite, l'immobilité lui devint insoutenable, il haletait, ses doigts se crispaient sur ceux de son petit protégé, qui se réveilla.
- Axel ? Ça va ?
Il eut une réponse immédiate, lorsqu'il sentit contre l'une de ses fesses quelque chose de chaud et tendu. Par réflexe, il se cambra, afin d'éloigner son précieux popotin des ardeurs d'Axel. Celui-ci eut alors l'une des plus belles visions du mondes, en tout cas selon ses critères : une superbe petite chute de reins au sommet de sa forme, ajustée contre son ventre. Il songea qu'à l'occasion, il pourrait demander à son Roxy chéri de lui reprendre cette pose.
Axel Project: 2 ; Roxas Project: 1
- Axel, il est temps que tu ailles prendre ta douche ! Retourne dans ta chambre avant que… que… hm…
La méchante bouche d'Axel était venue frôler le coin de la sienne, faisant frémir ses lèvres. Axel ne se tenait plus.
- Avant que quoi ? Susurra-t-il enfin, dans un souffle insupportable de chaude intimité.
- Avant que je ne me fâche !!! Articula le blond.
- Et il se passe quoi si tu te fâches ? Rétorqua Axel en pelotant progressivement sa victime.
La longue jambe du roux qui jusque là était innocemment posée sur celles Roxas venait de les entrelacer, et les caressait adroitement de haut en bas, tandis que de ces bras il resserrait un peu plus son étreinte, de sorte que très vite, et ce malgré sa souplesse exceptionnelle, le blond était contraint de sentir a travers les tissus ce que Axel voulait lui faire.
- Je te balance hors de mon lit, pervers !
En réalité, Roxas avait envie de dire « si je me fâche, c'est toi qui fini en dessous », mais ç'aurait été attiser un peu plus l'envie d'Axel. Même si, à ce stade, il n'y avait plus trop d'espoir qu'Axel aille se calmer en solitaire dans sa douche. Mais Roxas songea soudainement à violer son rouquin, quand il le pourrait…
Axel Project: 2 ; Roxas Project: 2
- Jettes-moi, alors, provoqua-t-il.
Tous deux savaient que Roxas n'allait pas s'exécuter. Premièrement, il était faible à cause de sa blessure, et Axel était bien trop lourd. Deuxièmement… il n'en avait pas envie. Malgré les recommandation, malgré la douleur qui s'intensifierais très certainement avec l'infection, il voulait lui aussi son réconfort de retour de mission. Il avait la chance d'avoir quelqu'un à aimer, avec qui compenser la violence de leur quotidien. Même si le pyromane n'était pas vraiment d'une douceur extasiante. Mais avec l'habitude, Roxas appréciait leurs petits instants. Et celui-là en était un. Et Saix n'allait pas le leur gâcher avec ses recommandations à la noix de coco. Axel ne s'arrêtait plus de déposer une déferlante de baisers dans le cou, sur la joue et la commissure des lèvres de Roxas qui goûtait avec délice ses talents pour éveiller les sens. Il avait tendance à penser à ses supérieurs, parfois, lorsque son rouquin provoquait en lui cette multitude de petits frissons chauds et humides, ceux qui font se fermer les yeux même s'ils veulent rester ouverts, ceux qui ondulent le corps et le rendent encore plus désirable. Il lui arrivait de penser que ces scientifiques allumés étaient un peu loin de la vérité, et qu'il leur raconterait bien toutes le cochonneries que lui faisait son amoureux. Evidemment, ce n'était pas des pensées sérieuses. Jamais il ne trahirait leur secret, même s'il ne savait pas que Zexion était jaloux à chaque fois qu'il sentait leurs odeurs devenir enivrantes, il ne savait pas non plus que lorsque les mains de l'un ou l'autre s'égaraient ailleurs que dans leurs chambres, il y avait souvent une camera pour relater les évènements a Vexen (11), et que leur regards n'échappaient pas à Xemnas, ou à Xaldin. La solitude était loin depuis longtemps, certes, mais là, juste à cet instant là, il lui semblait que le mot n'avait jamais existé. Et le froid, lui… Zut, le froid ! Il était mort de chaud !! Sans crier gare, il retira d'un traite son short, accessoirement son seul vêtement, et le jeta au pied du lit.
- Pour une fois, tu es autorisé à faire le bourrin, murmura-t-il.
Axel considéra l'étrange offre, caressant l'épaule frêle du garçon. Il se rappela de la blessure infectée, et réalisa que Roxas voulait simplement minimiser les conséquences catastrophiques sur sa guérison. Il retira lui aussi le dernier habit qu'il lui restait avec empressement, mais il était hors de question de n'être qu'un bourrin. Avec toute la douceur dont il était capable, il entra en Roxas, et essaya de ne pas trop le secouer et de changer de ses habituels coups de butoirs. L'un de ses bras était replié sous lui, la main sous l'oreiller, tandis que l'autre caressait tant bien que mal les clavicules du blond, qui avait posé ses deux petites mains sur la sienne. Ils n'avaient jamais expérimenté cette position, et les sensations étaient nouvelles. Elles lui parurent bizarres d'abord, car insolites. Déjà, il n'avait pas l'habitude qu'Axel soit si délicat. En général, il le plaquait contre le mur ou le matelas, et lui infligeaient des pénétrations par à-coups qui forçaient le blond à serrer les dents à se briser les mâchoires pour ne pas hurler. Cette fois-ci, il retenait la moindre de ses pulsions, ou presque, car lorsque les soupirs de Roxas devenaient peu à peu de légers gémissements, il contrôla de plus en plus difficilement ses mouvements. Puis les sensations s'intensifièrent, les ongles du blond s'enfoncèrent dans les doigts du roux, la fatigue et la fièvre qu'Axel déversa soudainement apaisèrent celles de Roxas. Puis, lorsque leur union termina de se sceller, le pyromane se retira, et resta un long moment contre son compagnon, promulguant de temps à autres de légères caresses sur ses bras.
Dès qu'Axel se senti prêt a sortir du lit douillet pour regagner sa chambre, il embrassa une dernière fois Roxas, à califourchon sur lui, puis se rhabilla. Le blond se convaincu sans difficulté que son Axel avait aussi son charme avec son manteau sale. Oh oui, il le voulait, le strip-tease.
- Arête de me regarder, ça a mal fini la dernière fois ! Chicana Axel, ce qui fit rire Roxas puisque cette « dernière fois » datait de quelques minutes.
- Tu veux t'en plaindre, peut-être ?
Axel le regarda. Il était prêt à partir. Et c'était très désagréable de disparaître de cette manière, comme un pervers qui viendrais se servir avant de déguerpir sans un regard pour ce qu'il a détruit. Alors il offrit un dernier baiser à son blond, avant de s'évaporer.
- Roxas ? Qu'est-ce que tu as fais ?
- hm…cauchemar, murmura le treizième élément.
Saix soupira. Les gamins, s'était pas son truc. Roxas, lui, se félicitait d'avoir trouvé une idée au taco tac. En espérant que Saix ne verrait pas le « débordement » d'Axel.
Finalement, Roxas n'eut que deux semaines de prolongements au lit. Et cette fois-ci, Axel ne vint absolument pas, pour être sur du bon rétablissement de son trésor. Mais il est à noter que, lorsque Roxas fut autorisé à sortir de sa chambre, il fut immédiatement contraint d'y retourner, poussé par…hum…une sorte de « tornade de feu très insistante »...
« Xemnas sur son dos » : heu…oops…ce couple-là est un peu moins dans mes cordes pourtant…
« forme de croix sur son front » : ça tombe bien, il faut appuyer sur « croix » pour attaquer…
« Il lui semblait reconnaître cette voix » : vui, c'est celle de Jean-Christophe Parquier, qui double également Reno dans advent children ! haha ! ok je sors.
« deux petits tatouages » : questions : les tatous sont-ils noirs, violets ou bleu marine ? est-ce des losanges, des larmichettes ou des triangles (pour moi des triangles) ? héhé…
« On dirait Demyx hors de l'eau ! » en fait j'ai hésité entre « poisson hors de l'eau » (classique) et « demyx quand je le grille » (axelien au possible) finalement j'ai fusionné.
« Désastrophe » : avis aux gameuses. Bon d'accord je crache le morceau pour les autres : ff10-2, le mot préféré de Ptiku, heu, Rikku.
« sinon la situation va dévier ! » : avec moi comme fiqueur, ça peut pas faire autrement, de toute façon.
« des brasiers meurtriers» : genre, des brasiers c'est pas meurtriers en général.
« Un petit nœud rouge » : bah, oui, tout est rouge chez axel !
« c'est cruel tout de même » : avec moi, toujours. Et là, encore, ma cruauté est en vacance.
Zexion et Vexen… à savoir que, concrètement, et on l'oublie facilement, lorsque Roxas débarque, ces deux-la sont déjà morts, éliminés par Riku et Axel. Mais bon, j'avais envie de les avoir. Hi hi
Voila voila. Cette fic ne sert strictement à rien, mais c'est pas grave.
- Si c'est grave !
- Roxas, tais-toi ! Tu veux finir dans mon garage ? Bon. C'est la première fois que je fais ça, mais j'ai tapé la deuxième moitié de cette fic directement, sans l'écrire sur papier. C'est assez bizarre…
Musicalement, j'ai commencé cette fic avec de rammstein, trois CDs enfilés (reise reise, rosenrot, et mutter) dans la première moitié, puis, quand j'ai commencer à taper directement, là c'était la zique de lord of the rings, tomes 1 et la moitié du 2. Et puis là, j'ai fais mon auto-béta-lecture et mes améliorations devant un reportage sur le Bénin.
Si il y a une suite, ce sera tout simplement le compte de points Project qui sera exécuté !
Bisous !
