Voici le 1er chapitre en français de Razorblade Romance de VegetaXxXInuyasha avec son accord.

Note de l'auteur à ses lecteurs francophones :

Salut tout le monde ! Je m'appelle Nicole et je suis l'auteur de Razorblade Romance. Mon amie Rivruskende me disait qu'il y avait peu de bonne fics sur Vegeta/Bulma en français, alors nous avons collaboré ensemble pour vous proposer une version traduite de mon histoire. J'espère de tout cœur qu'elle vous plaira. Laissez-nous une review pour nous dire ce que vous en pensez ! Merci !

-Nicole

Voici le lien vers mon profil et mon histoire en anglais: vegetaxxxinuyasha

Merci encore!


"Enfin fini avec ces fichus robots" marmonna Bulma en retirant ses lunettes de protection afin d'admirer son travail. C'était la troisième fois déjà cette semaine qu'elle devait réparer ces satanés robots pour Végéta. Il les avait jeté à ses pieds en lui disant « répare-les, femme »; deux de ses précieux robots sur lesquels elle avait travaillé des heures durant étaient irréparables.

Humpf, c'est ça ! avait-elle pensé sur le moment. Mais Bulma devait bien s'avouer à elle-même qu'elle n'avait pas travaillé si dur que ça sur les petits robots circulaires la première fois qu'il les lui avait emmenés. Donc elle n'était pas si surprise de voir qu'il les lui avait rapportés en pièces détachées. Cette fois ils vont durer. Cette fois, Bulma avait conçu les robots pour qu'ils puissent non seulement encaisser les coups portés par Végéta mais également lui renvoyer les décharges d'énergie. Mais ça, elle n'allait pas lui dire, il allait bien s'en rendre compte par lui-même. Un sourire mauvais s'afficha sur son visage.

« Papa ? » demanda t'elle sans se retourner. Elle allait demander à son père d'aller voir Végéta et de lui annoncer que les robots étaient finis puisqu'elle avait décidé de ne plus parler à cet imbécile.

« Oui, ma chérie ? » entendit-elle depuis derrière le vaisseau spatial que son père était en train de réparer pour un client. Elle se leva et s'avança en direction du vaisseau. Construire et réparer des vaisseaux spatiaux pour les autres étaient l'une des spécialités de son père. Celui-ci en particulier, soutenait peu la comparaison avec ceux sur lesquels son père avait l'habitude de travailler. De couleur blanche avec des vitres bleues et un toit en forme de dôme, il était plus petit que son aéroglisseur. Clairement, cette navette spatiale ne pouvait contenir qu'une personne.

« Où es-tu ? » Bulma se pencha pour regarder en dessous si son père était en train de travailler après le moteur.

« Là-haut, ma chérie ! De quoi as-tu besoin ? » Elle leva la tête et aperçu la stature frêle de son père au-dessus du petit toit du vaisseau. Elle se mit à paniquer.

« PAPA ! OH MON DIEU DESCENDS DE LA TOUT DE SUITE AVANT DE TOMBER!" Elle se précipita vers l'échelle et se mis à grimper pour aider son père à descendre. Il se mit à rire lorsqu'elle atteignit le dessus.

« Qu'est-ce qu'il y a?" lui demanda-t-il en soulevant sa visière de protection, un sourire s'affichant sur son visage ridé. Devant son attitude nonchalante, la moutarde lui monta au nez.

« Tu dois descendre d'ici avant de tomber et que tu ne puisses plus jamais travailler » Lentement, Bulma réussit à se stabiliser au sommet du vaisseau.

« Mais ça va, ma chérie, regarde » dit-il en pointant ses chaussures du doigt. « Ce sont les bottes à gravité augmentée que j'avais créées pour Goku quand il est parti pour Namek. Elles ont une protection en acier au bout et sont renforcées en aimants sous la semelle pour me maintenir sur la paroi du vaisseau. Moi je crois plutôt que c'est toi qui devrait être prudente, Bulma » remarquant qu'elle écartait les bras afin de maintenir son équilibre sur le toit.

« Oui » dit-elle, reculant lentement jusqu'à l'échelle.

« Alors, qu'est-ce que tu voulais ? »

« Ah oui » fit Bulma en retrouvant le fil de ses pensées une fois en sureté sur l'échelle. « J'ai besoin que tu ailles dire à notre invité que ses robots sont prêts et qu'il doit descendre les chercher. »

« Ok je m'en occupe. Mais il va me falloir encore au moins deux heures avant d'avoir fini de réparer ce côté du vaisseau. Ce bébé a pris un sale coup. Cela devait être un champ d'astéroïdes vraiment dense pour avoir réussi à cabosser ce petit. Ce vaisseau est le premier que j'ai créé entièrement à partir des extraits de cobalt que je développe depuis des années. Apparemment, il va falloir que je renforce la - »

« PAPA » hurla Bulma pour couper son père sachant que si elle ne l'interrompait pas, il allait continuer sa tirade pendant des heures. « Je n'ai pas besoin d'un cours théorique sur les réparations que tu comptes entreprendre. »

« Alors quoi ? » demanda Dr. Briefs avec un air déçu ».

« Tu viens de dire qu'il te faudra encore deux heures avant que tu puisses lui dire que les robots sont prêts ? Il acquiesça.

« C'est possible que cela prenne même plus de deux heures si je rencontre un autre problème »

« Pfff ! » fit Bulma en levant les bras au ciel

« Qu'est ce qui se passe ma chérie ? »

« Deux heures, c'est beaucoup trop long ! Il faut que tu ailles lui dire maintenant qu'ils sont prêts pour qu'il puisse venir les chercher » et elle sauta du bas de l'échelle.

« Il va falloir qu'il attende. »

« Euh, non je ne crois pas ! Et tu peux être sûr que ce n'est pas moi qui vais aller le lui dire ! annonça-t-elle en croisant les bras d'un air provocateur.

« Et pourquoi pas ? »

« Parce que, PAPA, au cas où tu ne l'aurais pas encore remarqué, c'est un gros connard ! Et j'ai décidé de ne plus lui parler jusqu'à ce qu'il comprenne que c'est MA maison, pas la sienne. C'est un invité et il devrait me traiter avec respect au lieu donner des ordres et d'attendre que je m'exécute. Je n'arrive pas à croire qu'il pense pouvoir venir ici, manger notre nourriture, dormir dans nos lits, utiliser notre équipement pour s'entraîner, sans même un seul mot de remerciement en retour ! » . Bulma se sentit d'un coup épuisée par sa diatribe. Sans qu'elle s'en soit rendu compte, cela faisait un moment qu'elle en avait gros sur le cœur et elle se sentit instantanément beaucoup mieux d'en avoir parlé à quelqu'un. « Avec sa façon d'agir, on dirait qu'il se prend pour un roi ! Quel sale ingrat ! »

« Bulma, » dit calmement son père. Elle était en train de faire les cent pas en parlant et s'arrêta pour regarder son père. « Il était prince sur sa planète, ma chérie. Tu dois garder en tête qu'il a été élevé comme ça. Tu sais ce que Goku nous a raconté sur son passé. Il a terrorisé beaucoup de gens et pense qu'en échange le respect lui est dû. Il faut juste que tu te souviennes de ça et que tu laisses ce qu'il te dit rentrer par une oreille et sortir par l'autre. Tout finira par s'arranger à la fin, tu verras. »

Bulma se sentit prête à exploser ! Comment son père pouvait encore le défendre alors que le prince de tous les Saïyens la traitait de tous les noms et pire encore ! Comment sa propre chair et son sang pouvait être d'accord avec la façon qu'il avait de lui parler et de la traiter! Le fait qu'il ait des problèmes de « maturité » ne lui donne pas le droit de traiter qui que ce soit ou elle-même de cette manière-là. Elle réprima sa colère qui montait et soupira.

« Je n'ai juste pas envie qu'il te blesse lorsqu'il sera en colère parce qu'il apprendra que tu as attendu deux heures, que tu ais terminé pour lui annoncer que ses robots étaient prêts. » lui dit-elle en toute honnêteté.

En voyant l'inquiétude de sa fille pour lui, son cœur fondit, même après 23 années rebelles, elle éprouvait toujours de l'amour pour son père.

"Bon, je ne peux pas descendre tout de suite mais si tu veux, va demander à ta mère si elle peut en informer Végéta. »

Sentant le soulagement l'envahir, elle se sentit tout de suite infiniment mieux.

« Merci, papa » elle sourit. « Je vais aller prendre un bain et me relaxer pour le reste de la journée avec un bouquin. J'en ai bien besoin après tout ce temps passé à réparer les dommages qu'il a causé aux robots.

« Oui, il est très puissant » Dr Briefs abaissa sa visière de protection, ramassa son fer à souder, et repris exactement là où il s'était interrompu. En voyant que son père était retourné à son travail, elle fit demi-tour et remonta prendre le bain chaud qui l'attendait.


Les gouttes de sueur roulaient le long de son visage et lui brûlaient les yeux à chaque clignement. Cela faisait 5 heures que Végéta s'entrainait dans la salle de gravité lorsque les robots furent aisément détruits par son tir atomique. Après les avoir déposés aux pieds de la scientifique femelle, il retourna à son entrainement constitué de nombreuses pompes et abdominaux et de course à pied. Malheureusement, il ne pouvait faire beaucoup plus sans ces fichus robots. Mais que Capsule Corporation soit rattachée à la maison était quand même très pratique. Au moins il n'avait pas besoin d'attendre des semaines que les robots soient renvoyés pour réparation. Végéta avait bien pensé aller combattre Kakarot mais il ne voulait pas se couvrir de honte. Végéta savait qu'il devenait plus fort que lui. Il pouvait le sentir. Végéta avait horreur de l'admettre, mais Kakarot était le plus fort et continuait à gagner en puissance tous les jours.

« Merde ! » Végéta donna un coup de poing dans le sol de la salle de gravité et fendit le carrelage alors qu'il vouait Kakarot aux plus âpres flammes de l'enfer.

Quelqu'un toqua à la porte.

« Bonjour ! Excusez-moi.. »

Comment ai-je pu ne rien entendre? Je dois faire un effort de concentration. C'était la femme, celle qui cuisine pour lui. Il décida de ne pas lui répondre et continua ses pompes à une main.

« Monsieur Végéta ? Etes-vous à l'intérieur ? » Un autre coup se fit entendre.

« ... cent un, cent deux, cent trois, » il essayait de compter en ignorant la femme du mieux qu'il pouvait.

« Mon cher Végéta… »

« QUOI ? » il hurla en direction de la porte.

« Bulma m'a demandé de vous dire que les robots sont prêts, vous pouvez donc aller les chercher dans le bureau de mon mari »

Végéta ne répondit rien dans l'espoir que la femme s'en aille, mais en vain, elle était toujours là. Alors il éteignit le simulateur de gravité et se dirigea en direction de la porte.

Simulateur de gravité désengagé fit entendre l'ordinateur.

La femme laissa échapper un petit cri lorsque la porte s'ouvrit automatiquement au retour à la normal de la gravité.

"Ah vous voilà enfin" dit la femme en le regardant dans les yeux en souriant.

"Hn" Végéta détourna son regard. Personne n'était resté suffisamment longtemps en vie pour pouvoir raconter l'avoir regardé dans les yeux. Mais cette femme le regardait, sans peur et sans haine. Et elle lui souriait en plus. Personne ne lui avait jamais souri. En repoussant ces pensées hors de sa tête, il passa près d'elle pour regagner la maison et aller chercher les robots. Il pensait qu'il s'était débarrassé de la femme mais elle lui adressa encore la parole après avoir couru sur la pelouse pour le rattraper.

« Je me demandais si vous voudriez que je vous prépare quelque chose avant que vous retourniez à la Capsule Corp ? Je peux vous réchauffer les restes du déjeuner si vous voulez ? Nous avons mangé un gratin de macaronis » proposa la femme alors qu'ils passaient la porte d'entrée.

Végéta était sur le point de refuser lorsque son estomac lui prouva le contraire. Après être entré dans la salle à manger, Végéta pris place à la table qui était juste à côté de la cuisine. Il pouvait voir la femme qui s'affairait à sortir un énorme plat du réfrigérateur. Il était recouvert par une sorte de papier argenté et Végéta espérait que la chose brillante n'était pas le gratin de macaroni dont elle avait parlé. Il avait mangé une fois quelque chose d'argenté sur une planète qu'il était en train de purger et ça l'avait rendu malade pendant des semaines. La femme posa le plat sur le plan de travail en face de la cuisinière et retira le papier. Avec ses sens aiguisés, il sentit immédiatement la nourriture dans le plat et se mit à saliver. Il n'avait pas réalisé à quel point il avait faim jusqu'à ce qu'il sente la délicieuse nourriture qu'elle avait préparé pour lui. Végéta détestait la planète Terre mais il devait bien admettre que la nourriture ici était convenable. Au cours de sa vie il avait été amené à goûter différents types de nourriture mais c'était sur cette planète qu'elle était la meilleure.

« Voilà c'est prêt » elle lui avait ramené le gros plat avec une assiette et une fourchette. Il repoussa la petite assiette et se mis à manger directement dans le plat. Quoique ce soit, c'était divin. Il pouvait sentir le goût du fromage, des épices, et du poulet qui avait été mariné. L'explosion de saveurs était bouleversante.

« Je m'appelle Bunny ». (Note du traducteur : « Lapin » en anglais)

Végéta s'arrêta un instant de dévorer son repas pour la regarder.

« Hein ? » demanda-t-il, confus. Elle sourit et se mit à rire.

« C'est mon nom. Bunny ou Madame Briefs, comme vous préférez. Je ne vous ai pas encore entendu m'appeler par mon nom et je me demandais si vous le connaissiez. Ha ha »

Encore ce rire… Elle avait le sourire le plus éclatant qu'il ait jamais vu.

Humph. Il se remit à manger et pensa au nom Bunny

Elle tourna les talons pour retourner à la cuisine et laisser le Saïyen manger en paix

"N'est-ce pas une sorte de rongeur sur cette planète?" Bunny se retourna, un peu surprise qu'il lui ait adressé la parole »

« Oui, enfin je ne l'appellerait pas exactement un rongeur. En fait, ils sont plutôt mignons ! »

« Hn » Végéta retourna à son repas. Bunny lui sourit et fit demi-tour pour regagner la cuisine; en fait elle était impressionnée, cela devait être la première fois qu'il parlait sans insulter quelqu'un.

Peut-être qu'il changera, pensait Bunny, pleine d'espoir.

Engouffrant la dernière bouchée de gratin, il repoussa le plat et s'adossa à sa chaise, complètement rempli. Il jeta un œil vers la fenêtre et vit que le soir était déjà tombé.

Bon sang ! Il faut que j'aille chercher ces robots.

Végéta pouvait ressentir la présence de quelqu'un dans le laboratoire, probablement le petit homme qui promène son stupide chat noir sur son épaule toute la journée.

Végéta repoussa sa chaise et se leva avec raideur. Cela faisait 12 heures qu'il ne s'était pas assis. Seule la motivation de surpasser son ennemi Kakarot réussi à le faire bouger en direction de la Capsule Corp. pour aller chercher les robots, les seuls qui pourraient lui permettre d'atteindre son but. Celui de devenir un Super guerrier.


« Ah, juste ce dont j'avais besoin! » Bulma se retourna et enleva la bonde de la baignoire pour laisser écouler l'eau de son bain. En chantonnant, elle essuya la buée sur le miroir afin de pouvoir se regarder dans la glace.

Toujours aussi belle! Dit-elle avec un sourire vaniteux. Bulma attrapa la serviette de toilette sur le meuble de salle de bain, l'entoura autour d'elle et entra dans sa chambre. Elle essaya de trouver son pyjama dans sa chambre en désordre. Elle fouilla de ses yeux la pièce violette, entre les lunettes de sécurité, les blouses de laboratoire, les sous-vêtements, brosses, oreillers, magasines et tout le bazar étalé.

« Ah le voilà » dit-elle quand son regard se posa sur son pyjama. Il était tellement chou, pensait-elle. Elle l'avait choisi en soldes chez Victoria Secret. Le haut moulant rose avec l'inscription Victoria Secret sur le devant était assorti à une paire de shorts, d'une taille trop petite, mais peu importait, ce pyjama était très confortable. Elle enfila ses pantoufles en duvet mauve, elle donna du bouffant à ses cheveux et sortit sur le balcon pour ce qui était son petit plaisir secret, une cigarette. Il était rare qu'elle arrive à trouver un peu de temps pour elle pour penser, et quel autre moment était plus propice à cela ? D'habitude elle était débordée de travail, et quand ce n'était pas le cas, Yamcha était toujours en train de la harceler pour sortir ou qu'ils fassent des choses ensemble.

Yamcha pensa Bulma en inspirant la première bouffée de sa cigarette. Elle réalisa à l'instant que c'était la première fois de la journée qu'elle avait une pensée pour lui. Mais qu'est-ce qu'il m'arrive ? D'habitude je pense à lui tout le temps. C'était son copain, depuis longtemps maintenant. Mais parfois, elle avait juste besoin de respirer. Une femme mérite un peu d'air de temps à autre non? Elle ne savait plus quoi penser. On aurait dit que depuis qu'elle était partie à la recherche des boules de crystal avec Goku, sa vie s'était accélérée de façon exponentielle. A présent, l'homme dont le but était de tuer tout le monde 2 ans auparavant vivait chez elle. Bulma tira sur sa cigarette pour conjurer l'angoisse qu'elle sentait monter. Elle se leva et se pencha légèrement par-dessus la rambarde pour taper sa cendre. Elle remarqua alors que la salle de gravité était ouverte et que Végéta avançait en direction de celle-ci, vêtu uniquement d'un short en lycra noir moulant et d'une paire de tennis que son père lui avait fait acheter pour lui. Il portait les robots sur lesquels elle avait travaillé. Elle l'observa attentivement malgré l'obscurité, elle pouvait distinguer nettement les muscles bien définis de son dos, et se surpris à se demander quelle texture ils auraient si elle venait à passer les mains dessus. Il se retourna et la fixa dans les yeux, comme s'il avait pu lire dans ses pensées. Embarrassée, elle laissa tomber sa cigarette sur le côté du balcon et couru se réfugier dans sa chambre en fermant la porte à clé derrière elle. Elle sentait que son visage était devenu rouge écarlate et pria pour qu'il n'ait rien remarqué.

« Femme idiote » marmona Vegeta alors qu'il fermait la porte de la salle de gravité. Il avait senti qu'elle avait passé tout le temps qu'il marchait à l'observer. Végéta plaça les robots sur le sol et se dirigea vers l'ordinateur de bord pour enclencher la gravité. Il tourna le bouton sur la puissance désirée puis pressa sur démarrer.

Gravité 300, engagée

Végéta se prépara à subir l'assaut de la gravité. C'était la première fois qu'il montait aussi haut dernièrement, il s'entrainait à une gravité de 200 et son corps avait fini par s'habituer, tant qu'il pouvait courir sans même transpirer d'une goutte. Il avait donc pensé qu'il allait augmenter l'intensité sitôt les robots réparés. Ces derniers s'activèrent automatiquement avec la gravité de la pièce et se mirent à léviter en l'air, prêts pour la bataille. Végéta pendant ce temps était toujours en train de se faire à la pesanteur extrême en essayant de marcher dans la salle, puis une fois que la pression fut devenue moins douloureuse, il essaya de passer aux pompes. C'était une erreur.

« Argh » hurla-t-il alors que son corps allait s'écraser contre le sol.

Doucement, il leva les bras et essaya de se relever pour se remettre en position. Sitôt qu'il fléchissait les coudes, la gravité l'entrainait vers le sol.

« NON » cria-t-il encore.

Il ne se laisserait pas battre, pas par cette fichue gravité.

Finalement, il réussit à faire ses pompes facilement, mais il savait qu'il allait le regretter le lendemain matin.

En se relevant, il fixa du regard les 6 petites sphères qui flottaient au-dessus de sa tête. Avec un petit sourire sûr de lui, il lâcha un rayon atomique pour voir comment les robots allaient résister cette fois-ci. Et en effet, ils résistèrent, mais au lieu d'absorber le rayon, les robots le firent rebondir entre eux comme une boule de flipper. Végéta observait et se demandait à quoi les robots pouvaient bien jouer, n'ayant jamais réagi de cette manière auparavant. Il était à deux doigts d'aller éteindre l'ordinateur et d'aller maudire la première personne qu'il apercevrait en exigeant de savoir ce qu'ils avaient fait à ses robots lorsqu'il ressentit une violente douleur transpercer son flanc, et se disperser à l'intérieur de ses veines comme de la lave en ébullition. Il tomba sur le sol avant d'avoir pu réaliser ce qu'il lui était arrivé.

« Cette . . . putain de . . . .femme » éructa-t'il.

Il avait un goût de cuivre dans la bouche, et il savait que c'était le goût du sang. Il cracha et le sang recouvrit le sol. Son flanc saignait et il essaya de comprimer la blessure. Peu de temps après, il était couché dans la marre de son propre sang. Il savait exactement ce qui s'était passé; cette fichue femme avait modifié les robots de telle façon que les tirs soient renvoyés au lieu d'être absorbés. S'il l'avait su plus tôt, il aurait facilement pu parer, mais il avait été pris par surprise et avait été touché.

« Salope » murmura-t'il. Il souffrait beaucoup, mais peu à peu la douleur cédait la place à la rage pure. Il savait que la blessure n'était pas mortelle et une fois qu'il réussirait à se relever, la femme allait payer. Et tant pis si elle en mourrait.


Voici donc le premier chapitre de cette fic qui en compte 20 pour le moment. Prenez un petit instant pour me dire ce que vous avez pensé de la traduction ( y compris les fautes et problèmes de syntaxe s'il y en a ;) ) et laisser un petit mot à l'auteur pour lui dire ce que vous pensez de son travail. Toutes les reviews lui seront transmises et traduites.

Le chapitre 2 est en cours de traduction et devrait être publié dans 15 jours.

Merci à vous toutes (et tous).