Bonjour tout le monde ! Bon... Alors, c'est ma toute première fanfiction sur Hetalia, alors ne vous étonnez pas si j'ai quelques difficultés encore avec les personnages. Ça fait un moment que j'avais pas écris de fic, alors j'espère que ça vous plaira ! Oh, et je préfère préciser même si vous le remarquerez probablement, disont que ça se déroule avant, quand Alfred était petit, vous comprenez ? Enfin comme j'explique mal, je ne m'attarderai pas trop sur ça... Donc voilà ! N'oubliez pas de laisser un review pour me dire ce que vous en pensez.
Disclaimer: Les personnages d'Hetalia ne m'appartiennent pas o/
Rating: K+
Couple: USUK, même si là-dedant c'est pas vraiment un couple... Non, pas du tout là.
Bref, bonne lecture !
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Le silence. Certaines personnes le qualifirait de reposant, d'autres en dirait qu'il est opressant. Après tout, c'est une chose qui change toujours, selon du point de vu ou de l'état d'âme de celui qui y fait face. En général, ce n'est pas le genre de chose à laquelle on fait attention. On ne s'en rend juste pas compte, parce que ce n'est pas très important. On le remarque seulement lorsqu'il nous dérange ou qu'il nous plait. Mais cette fois-ci, Arthur ne savait pas comment qualifier le silence qui régnait dans son bureau. C'est différent de d'habitude, car le silence semble étrangement trop banal. En fait, il semble vide; Oui, un silence complètement vide. Mais était-ce réellement quelque chose de possible ? Étrange, non ? Un silence peut-il vraiment être ''vide'' ? Ou l'est-il en permanence, d'une certaine façon ? Peut-être pas, car il y a toujours une atmosphère. Mais cette fois-ci, il n'y en a pas. Cette si belle et grande demeure, est-elle aussi comme ça ? Dénudée d'ambiance, ou même d'une once de vie ?
Inutile. Questions probablement sans réponses claires, ni sens. Sans dessus dessous. Voilà ce qui arrive lorsqu'on est trop fatigué, soupira l'homme intérieurement. Dans ce genre de situation, on peut au moins être certain d'une chose, bien précise. Il commence à se faire drôlement tard, pour avoir ce genres de pensées. Même pour Arthur, la fatigue pesait à quelques moments. Ses yeux lui piquaient étrangement, comme on pourrait dire aux enfants qui se couchent trop tard: Le marchand de sable est passé. Mais malgré tout, il avait beau regarder la pièce des centaines et centaines de fois, il a toujours cette impression, surtout à cette heure-ci, que même si la lumière de la lune éclaire à travers la fenêtre, l'endroit est sombre et froid. Très, très vide. Une vague pensée parmis tant d'autres, mais qui revient toujours, sans arrêt.
Sans s'en rendre compte, son regard se perdit dans la petite profondeur d'une tasse de thé presque vide placée juste en face de lui sur son bureau. Mais quelque chose le fit rapidement relever la tête. Dans le couloir, il entendit de petits pas. De tout petits pas, incertains vu la cadence à laquelle ils avançaient. De manière presque appeurée. Les yeux vert émeraude de l'homme fixaient la porte d'une manière intensive, au moment où la poignée de celle-ci commença à tourner lentement. La porte s'ouvrit, laissant apparaître une petite silhouette, qu'Arthur reconnut aussitôt le propriétaire. De grandes prunelles azurs l'observait, une lueur de peur les traversant. Les cheveux blonds du nouveau arrivant étaient légèrement éclairé par la lumière de la lune, leur donnant presque une couleur dorée.
- Iggy... J'ai fais un cauchemard..
Sa voix était hésitante, commes s'il avait peur d'avoir dit quelque chose de mal. Un sourire retroussa aussitôt les lèvres du dénommé « Iggy ». Il se trouva rapidement idiot d'avoir pensé que sa maison était vide et presque sinistre. C'est simplement impossible, puisqu'Alfred, son cher ''petit frère'' y est.
