« On ne mange pas les indices »

Il est là assis sur cette chaise, à coté du lit dans le quel repose l'autre agent, plus pale que jamais. D'après les médecins, il « devrait s'en sortir si des complications ne viennent pas s'ajouter en plus de son état préoccupant ». Mais ça il le sais déjà, il sait que son agent va s'en sortir, ça a toujours était comme ça, Tony s'en est toujours sorti.

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3 jours plutôt :

La berline noire de l'agent Gibbs, du NCIS, se gare dans un crissement de pneu, en face d'une vieille maison. En effet, les agents fédéraux pensent que leurs suspect : un homme d'une quarantaine d'année, armé, qui aurait tué un marine trois jour auparavant pourrais se cacher ici. Les deux agents : DiNozzo et Gibbs sortent du véhicule, armes au poings, leurs gilets barre balle avec inscrit NCIS, sur le dos. Arrivés devant la porte de l'entrée, Gibbs fait signe à son agent de prendre par derrière alors que lui prend la portent de devant. Les 2 agents pénètrent dans la demeure. Ils inspectent chaque pièce, pour vérifier que leur suspect ne se cache pas dans l'une d'entre elle. DiNozzo arrive à la cuisine, et la première chose qu'il remarque c'est la boite de pizza ouverte sur le comptoir, et oui, que voulez vous un italien dans l'âme… Il inspecte ensuite chaque recoin minutieusement. Mais, visiblement leur suspect n'est pas là. Il espère que son patron aura eut plus de chance.

Mais, personne ne s'attendait à ce que l'homme ne soit pas dans la maison et qu'il chercher à y entrer. Le meurtrier quadragénaire passe alors la porte arrière, tout comme Tony une minute plutôt. La première chose que l'homme remarque, c'est que la porte à été défoncée, immédiatement, il sort une arme et rentre. Il se dirige pas à pas vers la cuisine, c'est là qu'il le voit, c'est là qu'il voit un agent du NCIS entrain de fouiller, ses placards.

Tony fouille un à un les placards de l'homme, à la recherche d'indice, d'arme, ou même de quelque chose à grignoter… Quoi que, tout ce qui se trouve ici sont des indices et il se rappelle Gibbs lui dire : « DiNozzo ! On se mange pas les indices ». Il sourit à cette pensée. Jenny, leur Ex-directrice était encore en vie à cette époque. Tout à coup, il sent que quelque chose ne va pas. Il se sent observé. Il enlève le cran de sécurité de son arme et se retourne. Et là il découvre leur suspect : Allan Hoffman, lui aussi, pointant une arme sur lui.

Immédiatement, l'homme pointe son arme vers l'agent, retirant également le cran de sécurité, il passe le pas de la porte, et se rapproche à chaque pas de l'home qui veut l'arrêter. L'agent a dut se sentir observer car immédiatement, il se retourne et pointe également son arme vers lui. Les deux hommes se mettent à tourner sur eux mêmes même, se défiant ainsi du regard : « qui craquera le premier ? »

« -NCIS lâcher votre arme !

-Non, non, non vous ne savez pas ce que ça fait.

-Non, je ne sais pas ! Mais mon patron sait, il sait ce que ça fait de perdre sa famille Allan. Lâcher Votre arme et tout se passera bien. »

Le suspect est angoissé. Il agite son arme.

« -Il les a tuées ! Il a tuées ma femme et mes fils ! 6, et 5, ils avaient 6 et 5 ans !

-Alors vous l'avez tué.

-La vengeance. Je pensait qu'en tuant ce marins, je pensait que sa ferait moins mal, que je pourrais continuer à avancer. Mais ça fait toujours aussi mal. Ils me manquent.

-Ecouter, lâcher votre arme et tout se passera bien.

-Mensonge ! »

Hoffman tire deux balles en direction du jeune homme qui tombe a genoux sous l'impact. L'agent du NCIS tire une bale qui atteint le meurtrier dans l'épaule. Ce dernier lui met alors un violent coup dans la main pour qu'il lâche son arme. DiNozzo retombe alors sur le dos, le souffle coupé, essayant de ramper jusqu'à son arme de service alors que leur suspect lui tire deux autres balles qui l'atteignent dans l'abdomen. Il tente vainement de se rapprocher de son téléphone, alors que ses poumons luttent pour chercher de l'aire. Il a envie de crier, d'avertir Gibbs du danger, quoique, les coups de feu l'on surement déjà fait...