Salut salut, les gens ! 8D Merci d'avoir cliqué, j'aurais aimé pouvoir vous offrir un cookie rien que pour ca. Comme on a que très peu de mots pour faire un résumé sur la page, j'ai dû le faire ici !
Donc, je disais que:
23 ans après la jeunesse de nos héros, le monde court un danger plus grand que jamais
Les Trois Parques, garantes de l'harmonie du Monde, tisseuse du destin et gardiennes du passé, ont été scellées au Mont Olympe, au cœur de la grèce. Dans treize jours, elles cesseront de résisté au pouvoir de la montagne qui tente de les asservir, abandonnant tous leurs pouvoirs à leur géôlier. Des pouvoirs plus grands que ceux des Dieux eux-même. Classique, pas vrai ?
Mais si cette fois ce n'était pas une ancienne force obscure qui cherchait à reprendre le pouvoir? Si cette fois-ci, c'était celui-là même qui a vaincus ces forces l'une après l'autre qui voulait s'en emparer ?Derek Anderson, Peter Jackson et Hélèna Harper ont treize jours. Treize jours pour survivre, atteindre le mont olympe alors que le Destin lui-même tente de les en empêcher, treize jours pour sauvé les Parques et l'Existence elle-même, treize jours pour vaincre le plus puissant des demi-dieux. Un homme que chacun d'entre nous connait bien. Un homme qui a vaincu tout ceux qui ont tentés de dominé le monde avant lui, et qui à présent sait exactement comment ne pas échouer.
Derek avait beaucoup de projets pour les vacances. L'Apocalypse n'en faisait pas partie.
L'Univers de Percy Jackson et de Les Héros de l'Olympe ainsi que tous les personnages que vous connaissez tels que Percy ou encore Jason ne m'appartiennent pas, ils sont la propriété de Rick Riordan, leur auteur.
Comme j'ai un mal de chien à poster sur ce site, vous pourrez trouver sur ce lien le reste des chapitres de cette histoire déjà posté: ... lien que je n'arrive pas à mettre. Je continue d'essayer, héhé.
En attendant, c'est très simple, tapez dans la barre google "Percy Jackson Le Pouvoir des Trois Parques", et cliquez sur le premier résultat. Bonne lecture !
Prologue
Un silence pesant avait envahi chaque recoin du collège, à présent. Le calme était tel qu'on se serait cru au beau milieu de la nuit. Seuls des bruits de pas précipités résonnaient dans les couloirs. Mes pas. Seulement les miens. Pourquoi ne faisait-il pas le moindre bruit en marchant, lui? Était-il seulement encore derrière-moi ?
Il fallait à tout prix que je sorte de là. Le soleil n'allait plus tarder à se coucher, et alors l'obscurité tomberait sur la ville. La dernière chose que je voulais, c'était me retrouvé coincé ici dans le noir. Je courais à perdre haleine entre les rangés de casier, sans me retourné. C'était ma seule chance. On ne pouvait pas combattre ce type, personne ne le pouvait. C'était stupide d'avoir essayé. Mais j'avais peut-être encore une chance de survivre. Peut-être pouvais-je encore le semé.
« Derek !, a crié une voix dans ma tête. Derek, ca va ?
Cette fois-ci, je ne me suis pas attardé sur le nombre de problèmes mentaux que pouvait présagés le fait d'entendre des voix dans ma tête. J'ai répondu aussitôt.
-Il est juste derrière-moi, ai-je pensé de toutes mes forces. Ou devant. Ou alors il… j'en sais rien! Ce mec est partout à la fois! Venez me cherché !
-On est un peu occupés, pour le moment! Trouves un endroit où te planqué! Les plans du lycée indiquent la présence d'une sortie de secours tout près de ta position.
-Les plans du… où t'as eu les plans du lycée ?!Et comment tu sais où je suis ?!
-Peut-importe! Planques-toi!
-C'est ce que je fais! Il me retrouve, toujours! Grouillez-vous! Et c'était quoi, tout à l'heure, cette explosion ?!
-De l'eau sous pression, ca ne pouvait pas me faire de mal, le moment est mal choisi pour s'en préoccupé, j'ai un peu de mal à discuté, là !
-Encore un de tes tours de magie ?
-La fuite, Derek, concentres-toi sur la f…»
Et soudain, plus rien. Comme s'il m'avait raccroché au nez par télépathie.
J'ai brutalement tourné à l'angle du couloir dans un dérapage incontrôlé, manquant m'affalé sur le parquet trempé, avant de brutalement me figé. Le parquet était trempé. L'eau. J'ai levé les yeux. Il était là, au bout du couloir. Une grande silhouette sombre vêtu d'un long manteau de la couleur de la nuit. Ses deux yeux verts, terriblement froids, semblaient luire dans la pénombre tandis qu'il avançait lentement, sans se pressé. Etrangement, sa lenteur me terrifiait bien plus encore que s'il m'avait couru après. Ca aurait signifié qu'il pensait que j'avais une chance de lui échapper. Il savait qu'il n'y avait aucunes raisons de se pressé :il me tuerait, tôt ou tard, alors pourquoi courir ?Sans réfléchir, j'ai fais demi-tour et je me suis précipité sur la porte à doubles-battants à l'autre bout du couloir, que j'ai ouverte à la volée pour entrer dans une vaste salle remplie de tables-bancs bon marché couvertes de graffitis. La lumière entrait à flot par les larges bais vitrés situées en-haut des murs. La cafétéria.
La terreur et le stress aidant, j'ai soudainement était pris d'une terrible envie d'éclater de rire.
En fin de compte, après avoir survécu aux immondes raviolis du vendredi, j'allais tout de même mourir à la cafétéria. J'ai cherché du regard une porte de sortie dans tous les coins de la pièce. J'aurais pu me précipité dans les cuisines, mais j'aurais été pris au piège, et c'est là qu'il irait me chercher en premier. Il fallait barricader les portes. Je me suis retourné vers la porte à double-battant…
Et j'ai bondi en arrière en poussant un hurlement de terreur. Il était là. Juste devant moi, les mains dans les poches, arborant un masque impénétrable, dressant un obstacle infranchissable entre moi et l'unique porte de sortie. C'était la première fois que je le voyais d'aussi près. Son long pardessus noir de jais trainait presque sur le sol. Ses cheveux noirs en bataille tombaient négligemment sur son front. Et ses yeux verts, froids, terriblement froids et inexpressifs, me fixaient sans ciller, comme on regarderait un agaçant moustique avant de l'écrasé sans effort. Bref, j'étais foutu. Je venais de me condamné. Incapable de maîtrisé la terreur qui me tordait les tripes, j'ai reculé sur les mains dans une vaine tentative de m'éloigner de lui tout en balbutiant :
-Monsieur Jack… Mons…
-Tu ne me laisses pas le choix. L'erreur du paon est trop importante et le dernier un spécimen intéressant. Les miens les voudront fonctionnels. Mais toi, tu n'as rien, juste quelques petits pouvoirs. On ne joue pas avec les pouvoirs de l'Olympe, petit.
-Monsieur… je… Percy! Percy, écoutez moi, je…
Une telle colère a soudain embrasé ses prunelles d'un vert glacial que je me suis tus sans même m'en rendre compte. D'un geste lent, il a levé la main vers moi, bras tendu.
-Mon nom est Persée, a il dit lentement. Persée Jackson.
Derrière lui, la porte à double-battant a alors commencé à tremblé sur ses gonds, de plus en plus fort. Par toutes ses interstices, de l'eau s'infiltrait dans la pièce et coulait jusqu'aux pieds du fils de Poséidon. Et soudain, j'ai compris ce qu'il comptait faire.
Avec un bruit terrifiant, la porte a explosé en une myriade de copaux de bois pour livrer le passage à une immense vague qui a déferlé dans la pièce en rugissant.
En quelques secondes l'eau a envahit la cafétéria et submergé tout ce qui s'y trouvait, la vague m'a heurté avec la force d'un jet lancé à pleine vitesse et engloutit tout entier. J'ai ouvert la bouche dans un hurlement muet, et l'eau salé s'y est engouffré aussitôt, brulant impitoyablement mes poumons. Balloté par les flots, je ne savais plus où était le haut, où était le bas, mes membres s'agitaient frénétiquement dans une tentative désespérée pour remonté à la surface. Mais il n'y en avait pas. La panique m'a envahi jusqu'au plus profond de mon être. La cafétéria entière était devenue une sorte d'aquarium dans lequel je suffoquais sans espoir de pouvoir retrouver une quelconque terre ferme, impuissant. Dans ma terreur, j'avais vaguement conscience que les tables de la cafétéria flottaient mollement autour de moi dans un étrange ballet. Persée, lui, n'avait pas bougé. Toujours au sol, il me regardait perdre lentement tout mon oxygène, indiffèrent, les pans de son long manteau noir flottants autour de lui. Il ne semblait avoir aucuns problèmes pour respirer, aucunes émotions ne transparaissaient sur son visage de marbre. Dans une tentative parfaitement désespérée d'aspirer un souffle d'air, j'ai rouvert la bouche, presque malgré moi. Les dernières bulles d'oxygènes se sont échappées d'entres mes lèvres. Mon sang battait follement à mes tempes tandis que mes poumons tentait vainement encore et encore de puisé de l'oxygène là où il n'y avait plus que de l'eau. À chaque instant mes pieds remuaient un peu plus faiblement. Toute mon énergie me quittait peu à peu.
J'allais mourir dans une cafét' transformée en aquarium. Comment j'en étais arrivé là ? C'est la dernière chose à laquelle j'ai pu penser alors que la vie achevait de me quitté. Les évènements de la journée sont repassés dans mon esprit comme un film passé à toute allure tandis que je perdais lentement conscience. Tant de choses…
