Je n'en revenais pas, sérieusement, j'avais déjà vu Mokoto dans des beaux habits blanc, et j'avais déjà vu Hibiki, une de ses autres personnalités, dans de beau habit, mais c'était bel et bien la première fois que je voyais Hibiki habillait de blanc. Je devais bien avouer qu'elle était tout simplement magnifique, elle avait également un petit chapeau de paille. Le résultat était certes assez classique et cliché, mais cela lui allait tellement bien qu'on aurait pu dire que la tenue avait été inventé pour elle. Je restais comme ça, sans voix devant elle, me demandant ce que je pouvais bien dire alors que la seule chose qui me venait en tête était « woah ».

D'un certain côté, je devais avouer que ma situation avec Mokoto était assez particulier, je veux dire, Hibiki était bien sur une autre parti de Mokoto, mais le fait de sortir aussi avec elle me donnait l'impression d'être avec deux personnes différant. Je ne parvenais pas avoir Hibiki que comme une extension de la personnalité de Mokoto, pour moi c'était une personne à part entière. Pour moi c'était donc comme si j'étais en couple avec deux personnes et avec l'accord des deux personnes. J'étais un peu triste en sachant que tôt ou tard Hibiki risquait de disparaître.

- Alors, comment tu me trouve ?

- Euh … tu … tu es très belle Hibiki.

Je rougis fortement, et mon rougissement ne fit que s'aggraver quand de joie elle s'accrocha à mon bras, sa poitrine se pressant contre ce dernier. Elle commença alors à me tirais. En même temps je m'attendais à ce que ce soit elle qui dirige le rendez-vous d'aujourd'hui, c'était Hibiki après tout. Elle m'entraina faire les magasins. Elle avait bien changé depuis que je la connaissais, avant elle ne vivait que pour ce battre, maintenant on dirait presque une jeune fille normal, C'était par ailleurs elle que j'avais embrassé en première, avant même Makoto, mais cette dernière ne le savait pas.

La nuit commençait à tomber quand notre rendez-vous pris fin. J'étais essoufflé d'avoir couru partout tandis qu'elle n'était même pas fatiguée, mais c'était quelque chose d'habituelle. Lentement la jeune femme s'avança près de moi, se penchant légèrement elle déposa ses lèvres contre les miennes. Dans ses moments-là elle savait faire preuve de douceur.