Paranoïa

Résum : Un pas dans l'esprit dérangé de Draco Malfoy.

Attention les chapitres de cette fics sont assez particuliers, enfin vous verrez bien dans le prochain... Il se peu que l'issue de ce chapitre vous paraisse prématurée voir brutal mais j'insiste pour que vous jetiez un coup d'œil sur le second chapitre Et là tout vous paraîtra plus clair. Et non, ce n'est pas une song fic.

Encore ses paroles dans ma tête, Répétitions incessante de phrases stupides .Une perte de temps, tout comme cette visite.

If looks could kill wouldn't need all the pills

(Si un regard pouvait tuer je n'aurais pas besoin de toutes ces pilules

But I take what it needs to be easy with

(Mais je fais ce qu'il faut pour être gentil avec le mouton)

The black Sheep now

(Noir maintenant)

J'ouvre les yeux et cette putain de pièce blanche m'aveugle. Trop de blanc, trop de lumière, trop de bonté naissante. « Bonjour monsieur Malfoy, comment on va aujourd'hui ? » Et ces femmes à blouses blanches, débordé de bon sentiment, qui agitent cette énorme seringue. Elles ne sont pas obligées de me parler comme si j'étais demeuré, je comprends parfaitement ce qu'elles disent.

J'entrouvre la bouche pour sortir une de mes fameuses remarques sarcastiques mais il m'est impossible de prononcer quoi que ce soit, Ma langue est beaucoup trop pâteuse pour faire sont travail. Frustré, je me contente de lancer un regard noir et glacial à l'infirmière chef, cette vieille folle qui se vante auprès des stagiaires.

Elles parlent de moi comme si je n'étais pas là, Merde, le respect ça existe ! Ne savent-elles pas qui je suis ? Quelques brides de la conversations me viennent à l'oreille : « surestimation de soi » « délire de persécution » « violent » « hallucinations » Puis, Marie daigne se retourner vers moi .Je dis Marie puisque c'est inscrit en lettres noirs sur son badge scintillant.

Qu'est-ce qu'elle me veut encore cette vieille ?! Elle m'ignore royalement pendant plus d'un quart d'heure et maintenant elle voudrait que nous fassions connaissance. Qu'elle aille se faire foutre, je m'apprête à lui faire un superbe bras d'honneur mais j'aperçois avec horreur que mes bras sont attachés dans une sorte de blouse beige.

Merde mais qu'est-ce qui se passe ? J'ai beau chercher, je n'ai aucun souvenir de mon arrivée ici. « Calmez vous M.Malfoy, nous ne vous ferons aucun mal » je recule instinctivement alors qu'elle approche cette satanée seringue. Je percute le mur, elle semble satisfaite de mon impuissance. Qui aurait cru qu'un jour Draco Malfoy serait aussi faible qu'un béb ?

Ma langue se délie lentement, j'ai horriblement mal au crâne. « Que m'avez- vous fait ? » arrivais-je à peine à articuler. « Nous vous avons soigné, le traitement peu provoquer certains désagréments » Elle appuie sur sa seringue, un liquide jaunâtre gicle un peu partout. Elle sourit en voyant les graduations à une exactitude parfaite. « Vous serez bientôt sur pied »

« Me soigner, pourquoi ? Je me sens parfaitement bien ! » Criai-je le plus fort possible. L'infirmière avançais vers moi avec ce même sourire malsain. « Ne me touchez pas, je veux voir mon père ! » Elle ignore ma remarque, les jeunes filles prennent des notes. « Il est hors de question que vous m'approchiez, je veux voir mon père ! » protestais-je encore plus fort.

Aucune réaction, elle s'approchait toujours. « Ça ne sert à rien, elle ne t'entends pas » Potter se tenait là, juste derrière Marie. « Putain qu'est- ce que tu fou ici le balafré ? » Il sourie à ma remarque, comme si je venais de lui faire un compliment. « Je t'offrais mon aide, si je gène je peu toujours partir » Je me débat et pourtant la vieille parvient à m'enfoncer l'aiguille au creux du cou. Elle est vraiment coriace cette femme. « Ouais, c'est ça, casse toi » criais-je à l'attention de Potter. L'aiguille se retire, le liquide est injecté dans mon corps. Je ne sais pas ce qu'on m'a fait, on s'est encore joué de moi.

Je déteste cet état, l'ignorance totale. « Reposez vous bien M.Malfoy, vous recevrez la visite de votre père dés votre réveil. » Je ne comprends pas immédiatement le sens de cette phrase mais lorsque mes paupières se ferment, je percute enfin : Ils vont encore m'endormir pour me faire je ne sais quoi pendant mon sommeil.

Et à mon réveil, je suis encore plus confus que la dernière fois. J'ai l'impression que mes souvenirs ne remontent pas plus loin qu'une journée : je n'arrive pas a me souvenir ce que j'ai mangé, ce que j'ai bu, ce que j'ai dit... D'ailleurs je ne sais même pas quel jour nous sommes.

Un petit creux dans le mur se forme, tiens je n'avais pas deviné que c'était une porte, tout ici est si uniforme ! Je reconnais le visage de Marie suivit de prés par... Mon père. J'essai de me relever, père m'a toujours dit de faire honneur aux Malfoy, quelque soit les circonstances. Je m'écroule aussitôt, la tête trop lourde et les membres encore endoloris.

« Bonjour père »dis-je d'une voix faible. « Draco » Il hoche la tête et me sourit, un sourire franc ? Il ordonna à Marie de me détacher, elle parue hésiter mais sous la pression de mon père, elle accepta. « Que s'est il pass ? » demandais-je précipitamment. Il fallait que je sache, que je comprenne la raison de mon isolement dans cet hôpital psychiatrique. Il se retourna vers l'infirmière et, d'un geste dédaigneux, lui fit comprendre qu'elle devait partir. Elle quitta la pièce, nous laissant enfin seuls.

Il s'éclaircit la gorge, me fixant d'une façon que je ne lui connaissais pas. Je pouvais presque lire dans ces yeux de la compassion, presque. « Le seigneur des ténèbres a pris énormément d'importance à tes yeux et tu as voulu l'impressionner.. » il marqua une pause pour observer mes réactions, je restais de marbre. « Tu t'en ai pris à Dumbledore, croyant qu'en le tuant tu gagnerais les faveurs du maître. » c'est impossible, jamais je n'ai voulu servir Voldemort, jamais ! Mes yeux affolés lançaient bons nombres de questions.

« Tu n'as pas tué le vieux fous si c'est cela que tu voulais savoir »dit mon père en remarquant mon air ahurit. Il passa sa main froide sur ma joue, un geste qui se voulait paternel et qui me paru pourtant plus étrange qu'autre chose. C'était la première fois qu'il me touchait ainsi, il disait que les sentiments n'étaient que faiblesse alors pourquoi aujourd'hui ferait-il une exception ?

« Ne t'inquiète pas mon fils, tu sortiras bientôt » Il caressa doucement mes cheveux, d'un geste bienveillant. J'avais envie de pleurer, d'enfouir ma tête au creux de ses bras, de sentir ce contact paternel qui m'était inconnu. Et pourtant, j'avais l'impression que tout ceci était faux, que ce n'était qu'une mise en scène ridicule. « Il ment » cracha Potter, accroupit derrière mon père. Je clignais rapidement des yeux pour vérifier qu'il était bien là, que ce n'était pas le fruit de mon imagination car cela semblait être le cas, mon père ne se rendait pas comte de sa présence. Etais-je fou ou tout ceci n'était que manipulation ?

« La mort est certaine, la vie ne l'est pas. » répétait le survivant alors que mon père parlait et que je n'en comprenais pas un traître mots. Mais tu vas la fermer le balafr ?! Je me retenais de lancer des insultes envers lui, de peur d'effrayer mon père qui ne le voyait pas.

« Le traitement est bientôt terminé, il ne reste plus que... » Potter promenait ses mains sur la chemise de mon père, jouant malicieusement avec son stylo. « Draco, tu m'écoute ? »S'énerva Lucius. J'essayait de me concentrer mais s'était impossible, Le survivant ne cessait de m'agacer avec ce foutu stylo. J'avais l'impression qu'il voulait me faire passer un message, qu'il tenait absolument à ce que je dérobe cet objet.

Agacé, je fis ce que je n'aurais jamais osé faire de toute ma vie : j'enlaçais mon père ou plus précisément je m'effondrais dans ses bras. Je le sentis se redire et j'en profitais pour m'emparer du stylo. Il resta immobile quelques secondes, ne sachant pas comment réagir puis ses mains me pressèrent contre lui.

Jamais je n'avais été aussi proche de mon père qu'a cet instant et pourtant, je n'étais pas bien. Je sentais un immense vide au fond de moi, comme si une partie importante de ma vie venait de m'être volée, remplacé par un énorme mensonge. Je cachais le stylo dans ma manche droite et lentement les larmes chaudes coulèrent sur mes joues. « Père, j'ai si peur ... Je crois que ma santé mentale m'a abandonn » sanglotais-je.

J'ignore combien de temps nous restâmes ainsi mais, lorsqu'il me quitta, je su que c'était la dernière voit que je le voyait. La lourde porte se referma derrière lui, m'encrant encore plus dans ma solitude. « Tu n'es pas seul Draco » Je sursautais, ne m'attendant pas à l'apparition du brun. « Tu as fait ce que je t'ai demand ? »Continua-t-il. J'hochais la tête tel un vulgaire elfe de maison.

« Très bien, maintenant écoute bien mes instructions.. » sa voix douce me berçait, m'enchantait. J'avais l'impression qu'il contrôlait chacun de mes mouvements, que je ne pouvais pas lutter contre ses ordres.

« When the water seems too deep(Quand l'eau semble trop profonde) The shadows always wait beneath(Les ombres attendent toujours derrière) But laughing loud we brave the role of black sheep(Mais en riant fort nous bravons le rôle de mouton noir) »

Incrédule, je le regardais chanter ces paroles qui hantaient mon esprit quelques heures plus tôt. Putain, je suis vraiment fou et l'apparition de Potter n'est qu'une invention de mon esprit tordu !! J'avais l'impression d'être une brebis égarée au milieu d'un champ, impuissante et terrifiée, seulement soulagé par l'appel de son maître.

« Qu'est-ce que tu m'veux ? » réussissais-je à dire. Il me lança un regard qui me fit froid dans le dos, un regard que j'aurais juré avoir vu ailleurs, sur une autre personne : Lord Voldemort. « Impossible » marmonnais-je. En l'espace d'une seconde, il retrouva se visage bovin, cet air niait qui définissait à merveille ce crétin prématuré. Mais étais-ce réellement Potter, Voldemort ou mon imagination ?

« Poses pas de question, agis »une voix douce pour des mots si durs. Comment osait-il me parler ainsi ? Il n'en avait aucunement le droit ! Jamais un Malfoy obéira à un Potter: jamais.

« Tu l'a pourtant fait »me nargua-t-il. Le fait qu'il puisse lire en moi aussi facilement que dans un livre m'enragea. Si j'en avais la force, je le frapperais sur le champ. « Qu'est-ce que tu m'veux ? »Répétais-je tout en essayant de garder mon calme. « T'offrir mes précieux conseils » dit-il en croisant les bras.

« Qui te dis que j'en ai besoin » sifflais-je. Un refus catégorique. Un Malfoy n'a besoin de personne, encore moins d'un demeuré mental tel que Potter.

Soudain, il éclata de rire. Je roulais des yeux, ne comprenant pas la cause de son hilarité. Et il continuait toujours, cet air moqueur sur son visage. « Pourquoi ris tu ? Il n'y a rien de drôle ! » Je commençais à perdre patience.

« Si, toi » il avait repris son calme et me fixais avec amusement. Il continua sans me laisser le temps de répondre. « Tu n'as aucun souvenir de ces dernières semaines et toi, tout ce qui t'intéresse c'est de rejeter mon aide » Je fronçais les sourcils, en savait-il plus que moi ?

« Tu ne sortiras jamais d'ici » me cracha-t-il. « Quoi ? Mon père m'a dis que.. » Potter ne me laissa pas le temps de finir, sa questions fut des plus évidentes. « Depuis quand crois-tu ton père Draco ? » Il connaissait tellement de choses sur moi que ça en était aberrant. Ce ne pouvait pas être Potter en face de moi ... Qui alors ?

« Tu ne te poses pas les bonnes questions Draco, concentre toi sur ce qui est important. » Il s'approcha et me murmura à l'oreille « Vois au delà des apparences. » Je sursautais et approchais ma main de ce visage que je haïssais tant. Il fallait que je sache si mes pensées étaient justifiées, Potter recula, refusant tout contact.

« Tu n'es pas réel, n'est-ce pas ? » dis-je le plus calmement possible, à mon grand étonnement. Il ignora ma question. « Tu en sais trop Draco, tu ne sortiras pas indemne d'ici » Je le fusillais du regard. « C'est une menace ? » grommelais-je. « Non Dray, c'est un fait »

Je ne comprenais toujours pas, que voulait-il dire par en savoir trop ? Ça ne peu plus être mon cas puisque je ne me souviens de rien. « Là tu touches un point sensible. » je grognais, jamais je ne m'habituerais à ses intrusions dans mon esprit. « Quand je disait que tu n'en sortirais pas indemne, je ne parlais pas de ton corps... » Je ne réagissait toujours pas, Il fallait que je sache, que je comprenne son point de vus et.. Sa solution.

« Tu ne vois donc pas ? » s'énerva Potter comme si s'était évident. « Ils te transforment déjà, tu ne penses presque plus par toi-même. Regarde toi, merde ! Bientôt tu servira Voldemort en petit toutou bien élev »Mais qui était-il ? Un résidu de ma conscience égarée, peut être ?

« Comment ? » dis-je, une lueur d'incompréhension sur mon visage. J'essayais de comprendre mais c'était encore beaucoup trop flou. « Tu ne vois donc pas tout ces souvenirs qu'ils t'enlèvent ? Ils te rendent faible, Draco, Ils veulent que tu perdes cette indépendance, cette conscience du monde qui te fait répugner n'importe quel maître » Potter avait raison, ils m'on rendus plus fragile qu'un nourrisson, si facilement manipulable. Et je me suis laissé avoir comme un putain de Griffondor !

« Comment je fais pour sortir d'ici ? » Il baissa les yeux. « La mort » QUOI ? « Il y'a sûrement une autre solution, je n'ai pas envie de mourir maintenant ! »Il souri faiblement. « Tu n'a pas le choix, pas plus que les autres » Non, je ne vais pas baisser les bras comme ça, pas aussi facilement ! « Non, je veux te voir gagner la guerre, je veux voir l'empire de Voldemort s'effondrer, je veux voyager autour du monde, je veux ... »

« Le monde est comme il est. On se bat et on meurt. Un vœu ne peut rien y changer. » Alors, ils avaient gagnés ? Ils avaient extrais ces informations de ma tête et maintenant je devais fermer ma gueule, m'effacer à jamais du monde ? « Mieux vaux ça que de vivre comme un pantin. On se souviendra de toi comme un héro, celui qui a sacrifié sa vie pour le monde » Je pleurais, je ne sais pas exactement pourquoi mais ces larmes ne cessaient de couler sur mes joues. « Et si je ne veux pas être un héro ? »

« Tu préfères qu'on se souvienne de toi comme un mangemort ? » En voyant mon étonnement, il m'ordonna de relever ma manche droite. J'exécutais son ordre et découvrit avec horreur cette marque sur mon bras, la marque des ténèbres. Encore un pas dans ce gouffre, dans se mensonge inventé par mon père. Jamais je n'avais rejoins le Lord, plutôt mourir avais-je dis ce jour là... Je ne croyais pas que ça arriverait aussi tôt.

« Comment une misérable action peut elle changer le monde ? » demandais-je, les yeux embrumés par les larmes. « Une infime petite goutte peu parfois faire déborder l'océan »me rassura-t-il. « Comment je fais ? » dis-Je, la voix enrouée par les sanglots.

J'avais toujours imaginé mourir autrement, au milieu d'une guerre, en luttant pour une juste cause. Là, je me sentais plutôt lâche. Abandonner avant même d'avoir essayé. « Fais semblant de dormir, contre ce mur. » exigea Potter. « Pourquoi ? » je m'allongeais sur le ventre et enfoui ma tête entre mes bras. « Ils nous surveillent, à travers la vitre » rétorqua- t-il.

« Reste quelques minutes comme ça et puis, quand tu te sens prêt, enfonce le stylo dans ta gorge, tout en gardant cette position. » Cette nouvelle me fit un choc, je me suiciderais de cette façon, Comme un malade mental désespér ! C'est peut-être ce que j'étais après tout...

«Don't look now, we're stranded here as black sheep

(Ne regarde pas maintenant, nous sommes marqués comme mouton noir)

Swallowed whole and out of reach – the black sheep

(Tous avalés et hors d'atteinte- le mouton noir)

Unsafe enough for now

(Pas assez menacés pour le moment)

We're shepherded from higher ground

(Nous sommes gardés par un berger d'un niveau plus élevé)

But drowned all out we save the role of black sheep

(Mais tous noyés nous sauvons le rôle du mouton noir) » Chantonna-t-il, m'accompagnant dans la mort. Je n'aurais jamais cru que Potter serais la dernière personne que je verrai, qu'il m'aiderait même à mettre fin à mes jours.

Lentement, j'approchais le stylo de mon cou et appuyais légèrement contre mon cou.Ce n'était pas évident de décider de mourir et encore moins d'appliquer cette idée. J'aurais pu choisir un moyen plus facile comme de m'étouffer avec un drap, ça aurait été beaucoup moins douloureux que ce que je m'apprêtais à faire. Je préférais écouter les conseils de Potter, il ne fallait pas que je me rate, sinon j'étais foutu.

Brutalement, j'enfonçais le stylo au niveau de l'artère, il suffisait uniquement de la toucher. J'essayais de ne pas crier ma douleur, d'ignorer tout ce sang se déverssant de moi. Puis je retirais l'objet du crime, les mains tremblantes, je le laissai tomber.

Je ne pouvais plus retourner en arrière, maintenant c'était trop tard. Je luttais contre mon besoin de stopper l'hémorragie en me rappelant tout ces souvenirs heureux. Toutes ces petites choses que j'ais aim : le chuchotement du vent derrière mon dos, la texture du coton doux et si moelleux, le goût du chocolat fondant dans ma bouche, le doux rire de ma mère... Oh Narcissia, la seule personne qui m'a aimé et qui es morte pour ses convictions. Elle s'est pendue pour ne pas donner un autre fils à Lucius, un fils que serais digne de son nom, de sa succession, de sa fortune, de son amour.

J'interroge Potter du regard, il s'est accroupit a quelques centimètre de moi. Est-ce qu'il y'a une vie après la mort ? « La vie et la mort sont deux choses invivable »marmonne-t-il comme simple réponse. Merci Potter, pour une fois tu auras fait quelque chose d'utile dans ta misérable vie. Je rends mon dernier souffle. Regarde moi disparaître, car, à ce rythme là, ce sera bientôt ton tour.

Voila, fin du chapitre 1.J'aimerais bien avoir votre avis même si je sais que je continuerais quoi que l'on dise. -) Par contre,je supportes pas le fait que Word s'amuse à manger les lettre plus précisément les accents.. Quel capricieu celui la!

PS : Les paroles sont extraites de la chanson « Black Sheep » de Sneaker Pimps.