Attention ! Cette histoire contient de l'inceste, ou 'twincest' entre Fred et George. Si cela vous dérange, arrêtez de lire. Sinon, continuez ! Et commentez !

Disclaimer : Cette fic n'est pas ma propriété, elle a été écrite par une magnifique auteur anglophone, gunshotSilence. (Thanks for letting me do this !) Je ne fais que la traduire. Je lui transmettrais les commentaires que vous postez Si vous comprenez l'anglais, je vous recommande de lire ses autres fics u
Et, bien entendu, tous les personnages sont la stricte propriété de JK Rowling... Et tout le bla-bla habituel...


J'avais déjà regardé le soleil se lever au dessus du Terrier auparavant, mais pas de cette manière. Il y a un je-ne-sais-quoi dans le fait de rester éveillé toute la nuit, et enfin de voir le résultat - une magnifique toile orange et rose, qui s'étend peu à peu sur le ciel découvert. Je l'entends respirer à coté de moi, une berceuse douce et subtile. Ses lèvres sont entrouvertes, inspirant doucement. Ces superbes yeux bleus sont fermés, et derrière eux, il est perdu dans ses rêves.

Quand je suis à ses cotés, j'ai comme l'impression de flotter. De flotter, de m'éloigner vers un pays étrange et merveilleux, où nous sommes ensemble. Seuls, avec notre amour. Personne ne peut nous dire que nous avons tort, personne ne peut nous dire que c'est un péché. Nous faisons seulement ce que nous savons, ce que nous pensons être bien. Comment notre amour pourrait-il être quelque chose de mal, quand il est si pur ?

Il remue à coté de moi, et il entrouvre les yeux, en battant des cils. Oh, ces beaux yeux bleus, leur étincelle malicieuse, cette tristesse cachée que moi seulement peut déceler. Ses lèvres s'entrouvrent, comme s'il allait dire quelque chose, mais aucun son ne sort. Il me sourit juste, comme s'il cachait un secret que lui seul connaît.

Je m'allonge à coté de lui, tellement proche que nos nez se touchent. Je peut compter une à une toutes les taches de rousseur sur son nez, chaque ravissante marque, qui sont le reflet des miennes. Mes lèvres forment en silence ces mots 'Oh, Fred', et ses lèvres si douces esquissent un sourire.
'Oui?' dit-il. Je sens son souffle, et il sent la menthe et la vanille, et tous les parfums interdits que l'on puisse imaginer.

Je ne sais pas quoi dire ensuite, tout ce que je peut faire, c'est respirer cette odeur. Je le sens m'embrasser, et je devine quel goût je dois avoir, parce qu'il a exactement le même. Comme une petite friandise, qui est enfermée dans un placard, à l'abri des regards indiscrets et des mains curieuses des autres. Un goût que nous seulement pouvons partager, parce qu'il n'appartient qu'à nous.

Je sens sa langue sur ma peau nue, qui crée un frisson formidable le long de ma colonne vertébrale. J'adore quand il m'embrasse, quand ses doigts effleurent ma peau nue. J'adore quand nous sommes seuls tous les deux. Personne n'est dans les parages. Personne ne peut nous entendre.

Avant même que je m'en rende compte, il est sur moi, passant sa chemise de nuit par dessus sa tête. Exposant sa chair pale et sans défauts. Il sait qu'il me fait enrager. Je le sais à cause de ce sourire quasi-diabolique qui se forme sur ses lèvres. Je tend les bras et caresse sa chair nue et chaude.
Je l'attire vers moi, mes lèvres se saisissent des siennes.

Nos mains cherchent, à tâtons. Je prend enfin sa verge dans mes main, et commence à la caresser doucement. Je ne veux pas qu'il se fâche, et qu'il me dise que je vais trop vite. Il ferme juste les yeux, et ses lèvres s'entrouvrent. Il laisse échapper un petit gémissement.
Je le caresse un peu plus fort, jusqu'à ce qu'il devienne dur sous mes mains.

Il ouvre ses magnifiques yeux bleus, et les lève au ciel, dans une expression de pur plaisir. Ses lèvres s'entrouvrent à nouveau, pour laisser s'échapper un gémissement, mais cette fois-ci il prononce mon nom, 'Oh George', murmure-t-il, 'George'
Je souris, satisfait. 'Qui a-t-il, Fred ?', je lui susurre à l'oreille. 'George, je t'aime tellement.' dit-il, en écarquillant les yeux. Il pousse son sexe dans ma main resserrée, et je me mord la lèvre, attendant son orgasme.
J'adore son expression.
Comme si je venais de lui faire vivre le meilleur moment de sa vie.

Il donna un dernier coup de rein. Le liquide poisseux jaillit, éclaboussant un peu partout. Il gémit de plaisir, et leva la tête pour me sourire. 'Oh, George' dit-il, posant sa main sur ma joue. Nous nous embrassâmes à nouveau, nos corps enlacés. Sans défense et silencieux.

Il est allongé tout près de moi, mes bras l'enserrant.
J'embrassais sa nuque, le goût de sa transpiration sur mes lèvres.
Je l'entends murmurer, 'Tu sais que quand on partira pour l'école, on ne pourra plus faire ça.'
Je ferme les yeux, et réalise que c'est vrai. Je ne pourrais plus l'avoir.
Le serrer si près de moi.
Les gens nous regarderaient, nous jugeraient.

Le soleil s'est finalement levé.
Le ciel a reprit son habituelle teinte bleue.
C'est une journée ensoleillée, et j'entends les oiseaux chanter juste devant notre fenêtre.
'Tu les entends ?' dit-il, 'Ils chantent rien que pour nous'
Je souris, et le serre plus fort.
'Comme ça doit être bien, de ne pas avoir à se soucier du monde. De s'envoler quand on en a envie.'
Dit-il d'un air rêveur. Son souffle devient plus doux, et je réalise qu'il s'est endormi.

Je murmure à son oreille à quel point je l'aime, en espérant qu'il m'entend lui parler dans ses rêves.