Bonjour, c'est ma première fanfiction sur le fandom. J'espère qu'elle vous plaira. Désolé d'avance pour les fautes d'orthographe.

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Assis sur le rebord d'une des fenêtres de la chambre, un livre fermé reposant sur ses genoux. Une jeune fille âgée de 15 ans, à la chevelure blonde comme le blé et aux habit riche, poussa t-un long soupire. Sur son visage d'ange, une expression triste et maussade, tandis que ses yeux émeraude se perdaient dans la vue que lui offrait l'extérieur. Sa gouvernante non loin de là, ne voyant pas le sourire habituellement rayonnant de sa maîtresse, s'inquiéta et partit s'enquérir de sa santé.

Se rapprochant graduellement de sa dame, elle se mit à lui parlé doucement "Mademoiselle Elizabeth, que ce passe t-il? Vous semblez souffrante." Elle posa sa main d'une manière délicate sur l'épaule de la jeune fille.

La demoiselle, à l'entente de son prénom et au contacte de sa femme de chambre, qu'elle considérait comme amie, tourna son regard vers elle. Bien que ses yeux avait toujours de la tristesse, Elizabeth lui donna néanmoins un petit sourire, et répondit au touché sur son épaule avec sa propre main. Elle se leva, serrant le livre dans ses bras, rompant ainsi leur bref contacte. "Oh, Paula." La jeune fille commença "Comment pourrai-je vous l'expliquez?..." puis se mit à marcher autour de la pièce.

"Ne vous en faites pas Mademoiselle Elizabeth! Je ne suis peut-être pas l'une des plus intelligentes. Cependant je suis sûr que je peux tout de même vous écouter." Dit elle avec un sourire dans une vaine tentative de réconforter sa maîtresse.

La demoiselle lui rendit son sourire "Merci Paula. Mais je vous avoues que je ne sais vraiment pas comment vous l'expliquer..." Puis Elizabeth regarda le livre dans ses mains sans vraiment y prêter attention tout en continuant sa marche.

"Ooooooh, Mademoiselle. Je vous connais pas coeur!" Cette fois c'est elle qui s'assit sur le rebord de la fenêtre. "Il y a peu de chose que vous n'arrivez pas à décrire. Et dans ce peu de chose, je pense savoir qu'il y a un certain jeune homme au yeux bleus." "Enfin à l'œil bleu dans son cas" "Je me trompe?" Disait la gouvernante avec une voix taquine

Le sourire auparavant triste de la jeune fille se transforma en un timide et gênée. "Mais Paula! Que devrais-je faire?" Elle reprit de nouveaux se regard triste, posant le livre qu'elle tenait sur sa table de chevet "Je crois qu'il ne s'intéresse plus du tout à moi. Non! Je crois qu'il ne m'a jamais aimais. Ou pire! Il me déteste!" Puis s'assit lourdement sur son lit à baldaquin.

Paula voyant la réaction négative se rapprocha rapidement, s'installant au côté de sa demoiselle "Voyons, Mademoiselle Elizabeth! Je suis persuadé que vous faites erreur!" Elle pris ses mains dans les siennes la forçant à la regarder. "Comment le Comte pourrait t-il vous détestez. Vous lui apportez tellement de réconfort et de joie rien qu'avec votre présence."

"Alors pourquoi ai-je l'impression du contraire!" Elizabeth se dégagea de son emprise et continua légèrement en colère "Vous voyez comme moi Paula! Lorsque je lui rend visite il est toujours froid et distant. Ma présence à plus l'aire de le contrarier qu'autre chose." Elle se leva pour ce diriger vers un fauteuil Louis XV rose poudré installé près d'un paravent. "Je ne suis rien de plus qu'une gêne pour lui..." La jeune fille avait presque les larmes aux yeux. "Mais cela ne m'étonne pas au fond... J'ai 15 ans mais je me comporte comme si j'en avais encore 11." Elizabeth se leva de nouveaux, et dit d'un ton plus calme "Bien sûr, je pense toujours que me comporter d'une manière enfantine pour que lui ce sente adulte est une bonne chose. C'est une décision sur la qu'elle je pense ne pas revenir avant qu'il ne me dépasse d'au moins une tête." Puis commença à faire les cents pas "Mais je peux comprendre qu'il est envie d'une femme plus mature... Surtout à son âge!" Elle se rapprocha de Paula qui était toujours assise sur son lit et chuchota "J'ai entendue de certaines demoiselles que les hommes était plus propice à vouloir... vous savez quoi, des femmes à cette âge là."

"Oh..." La femme de chambre dit tout bas, cependant elle dit la phrase suivante avec beaucoup plus d'aisance "Sans vouloir vous offusquer, Mademoiselle. Selon mon expérience, les hommes veulent ceci des femmes presque tout le temps durant tout le long de leur vie."

"Oh! Voyons c'est grossier." Elizabeth se rassit à ses côté "Pas tout le temps!"

"Si, Mademoiselle. À chaque heure!"

"Même lorsqu'ils ont finis leur croissance?"

"Surtout lorsqu'ils ont finis!"

"Mais pas tout les hommes, tout de même?"

"Tous, Mademoiselle! Tous! Aucun hommes n'y échappe. Aucun ne sais résister aux charme d'une femme!"

"Mais... Et père... je suis sur qu'il n'a jamais trompé mère!"

"Ah, alors oui! Je pense que cela fait bien longtemps que le Marquis ne vois plus qu'une seule femme... Mais cela ne veut pas dire que les charmes de madame la Marquise ne fonctionne plus sur lui." Paula ricanait.

"Oh, mais enfin!" S'offusqua Elizabeth "Je vous interdit de parler de mes parents dans ces termes..." "Ou du moins pas aussi fort." Finit-elle en rigolant à sa suite.

"Oui! Enfin bon. J'admet que monsieur, est l'un des rares hommes à ne pas être allé butiner d'autre femme que madame votre mère." " En générale plus ils vieillisses, plus ils veulent jeune!"

Puis d'un coup la jeune fille fit comme un petit cris mais inhalé. Et regarda vers sa gouvernante avec effrois "Paula! J'ai compris!"

"Quoi donc, Mademoiselle?" Dit-elle légèrement paniqué.

"J'ai compris pourquoi Ciel ne s'intéresse pas à moi! Je suis trop vieille!"

"Mais enfin. Vous avez seulement un ans de plus que le Comte!"

Elle ne pris pas attention à cette remarque. Et fit à nouveau le tour de la chambre d'un pas nerveux. Continuant à narrer dans sa panique ce que son esprit avait crus comprendre "C'est pour ça qu'il n'aime pas ma présence! Pourtant je fais tout pour faire plus jeune! Ça doit être pour ça aussi qu'il va plus souvent rendre visite à Sullivan! Mais, oui! Après tout, elle est de deux ans plus jeune que lui. Elle est plus petit et ne peut quasiment pas se déplacer par elle même. Cela lui donne envie de la protéger, et donc le fait sentir homme!"

Elle s'arrêta un peu dans sa frénésie. Paula allez en profiter pour lui dire quelque mots qui la rassurait. Mais Elizabeth repris de plu belle "Sans oublier que Sullivan est t'une jeune fille d'une très grande intelligence, et avec un esprit des plus clairvoyant. Puis elle est très mignonne." elle s'alarmé presque.

"Allons! Ça suffit!" La femme de chambre venait d'élever la voix en même temps qu'elle c'était levé. Ce qui choqua quelque peu sa maîtresse. " Ce n'est pas la Elizabeth Ethel Cordelia Midford que je connais. C-elle que je connais respire la joie de vivre. Elle ne pleure pas. Et encore moins si c'est parce-qu'elle pense avoir une rivale. Si il y a un obstacle elle le surmonte avec bravoure." Paula se dirigea vers le dressing de sa dame, celle-ci qui la regardait attentivement. "Alors maintenant, nous allons vous habillez de vos plus beaux vêtements de ville et aller retrouver, ce très cher Comte Ciel Phantomhive." Elle termina son petit discours et regarda sa demoiselle avec un sourire confiant.

Elizabeth à c'est mots rayonné de bonheur, et ne pu s'empêcher de faire l'un de ses plus beaux sourire. Elle allait se changer lorsqu'il y a eu un autre 'Quick' dans le plan selon elle "Attendez! Mais comment allons nous faire pour y aller? Je veut dire... mère voudra sûrement une raison qu'elle juge comme digne, et même si j'arrive chez lui rien ne dit que Ciel ne me diras pas de partir. Parce-qu'il... à du travail." Elizabeth commençait à baisser les bras "Nous ferrions peut-être mieux de-"

"Nous dirons à madame la Marquise que nous partons nous promener en ville!" Stoppa vite Paula. "Elle ne dit jamais non pour ce genre de chose. Madame votre mère vous diras juste de vous comporter en digne Lady." " Et pour monsieur Ciel... Mmmmmh...Vous n'avez cas lui dire que vous avez fait des progrès aux échecs. Il ne refuse jamais une partie!"

"Oh, Paula!" Elizabeth venait de sauter dans ses bras. "Tu avais tord! Tu es l'une des jeunes femmes les plus intelligentes." Elle se sépara un peu d'elle avec un visage concerné "Mais cela fait deux gros mensonges pour une seule journée. Dieux ne va-t-il pas me punir?"

"Je suis persuadé que si c'est au nom de l'amour, le seigneur vous pardonneras."

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Merci d'avoir lu. Bon pour l'instant il n'y a pas encore la romance mais elle va venir ne vous inquiétez pas. J'espère que le premier chapitre vous à plus et que vous lirez et aimerez aussi le prochain.