Bonjour ou bonsoir à tous et à toutes !
Fanfiction posté sur un autre site i an et demi de cela, j'ai soudain eu envie de le faire ici.
Je pense poster une fois tous les neuf jours afin d'être sûre de ne pas prendre de retard, je hais être trop longue entre deux chapitres.
Enfin, bonne lecture !
L'eau brûlante monte en vapeur transparente s'étendant dans chaque recoin de la salle et occupant tout l'espace s'offrant à elle. Au-dessus d'une bassine située au cœur de la pièce est suspendue une chaise en métal sombre, retenue par un étrange système de poulies.
Sur la chaise, un homme est attaché de sorte à ne pas tomber dû au fait qu'il est plongé dans l'inconscience.
Du sang frais dégouline du front et se prolonge dans son cou, tandis que son torse est marqué par deux profondes entailles d'où sort un liquide noir et poisseux.
Trois personnes vêtues de noir discutent en retrait près de l'unique porte donnant sur un couloir.
Le plus svelte des trois prend la parole d'un ton sec :
- Évitez de le tuer car je garde l'espoir que nous lui soustrayions des renseignements !, lance celui qui semble être le plus âgé en se tournant vers le centre de la pièce. Il en va du sort de la race humaine, rajoute-t-il avant de s'en aller en claquant royalement la porte.
L'un des deux restants -celui qui a des cheveux blonds et des prunelles de miel- s'avance vers le prisonnier et le réveille en lui hurlant dans l'oreille tel un abominable dragon prêt à cracher des flammes plus ardentes que les rayons du soleil.
- Arrête de brailler, veux-tu ?, se moque ouvertement le garçon aux cheveux bleu océan d'une voix faible.
- Co... comment oses-tu ?! Sale insolent, réplique le blond, hors de lui.
Le deuxième (qui n'avait pas prononcé un seul mot) abaissa un levier métallique, ce qui eut pour effet de renverser la chaise dans l'eau bouillante.
Le jeune aux cheveux bleus tenta de remonter mais peine perdue. Jugeant que leur questionné pouvait à nouveau respirer, le second homme releva le levier gris sombre.
- Vous auriez... pu mettre de l'eau tiède, ça aurait suffi, murmura le détenu en constatant la réouverture des blessures sur son buste.
- Même en me suppliant il n'en sera rien. A moins que tu nous donne le code.
- Ça... fait des heures que je répète que je ne sais pas ce que c'est.
- Tu mens excellemment bien mais tu finiras par avouer, répondit-il en se tournant vers son collègue. Fais-le parler, OK ?
Ce dernier hocha la tête de manière affirmative. Puis l'homme aux yeux légèrement caramels sortit sans oublier de fixait méchamment le torturé qui parurent être bien des minutes d'après le destinataire alors que ce n'était en réalité que quelques secondes.
Le dernier aux cheveux sombres essaya d'obtenir des informations cependant l'autre niait la connaissance de ce code.
- Lieutenant ! Lieutenant !
- Oui N°2 ?
- L'automate a... il a disparu !
- De quoi ?! Retrouvez-le !
- Bien.
Une fois son Agent parti, le Lieutenant avança un pion de son échiquier.
- La partie n'est pas perdue sauf si...
Tac
- Échec et mat !
Merci à ceux qui ont lu et à bientôt dans neuf jours !
