Prologue
***-***-***
Mes paupières lourde sont ... Si lourde ... Et ce bleu au-dessus de ma tête. Cette Lumière azuré et soutenue Qui illumine ma vision. J'en oublierais presque le Sang Dans ma bouche. Et la douleur ... Cette douleur acide Qui sourde à mes oreilles ... Difficilement je respire, me semble-t-il. La Souffrance Parcours mes veines. C'Est une brûlure Insidieuse Qui mon parcours être. Elle partie de mon cou, sur la L'Ou m'a infligé cette blessure Dans improbables et se répand Chaque parcelle de mon corps. Je la envoyées, Comme Le Baiser mortel que Pourrait m'infliger des flammes. Mais pas N'a Ca d'importance, plus maintenant.
Le ciel accapare tous lun. esprit. Toute mes pensées. Un bleu sans début ni fin Qui Semble m'entourer de toute sa splendeur. Depuis quand n'avais-je plus Lève les yeux pour l'observateur? Pourquoi n'avais-je plus trouver le temps pour m'arrêter une seconde et me préoccuper de sa présence bienfaisante. C'est toujours au Prémices de la mort que l'on se rend compte de Ces petites choses Qui aurait mérité un peu plus de notre attention ...
Ah, j'ai si mal. Et mes paupière Sont Plomb du Porté à vif. Ma gorge N'est dans pas un état plus agréable, plaie purulente qui me donnerait presque envie de pleurer. Pourtant je n'en fais rien. Lun. Crie est bloqué en un hurlement muet alors que je ne Bouger peut. Je suppose que cela est que du A toute cette drogue qui court Dans mes veines encore ... Quel idiote, peut-être aurais-je poser une Appeler l'aide sans cela ... Mais y at-il UNE SEULE personne Pouvant me sauver? Peut-on seulement cette douleur Arrêter? Je sais parfaitement que non. Le chemin que sur l'emprunter m'a fait de force est Une route sans retour possible ... C'est maintenant seule que je vais vivre mes derniers instants. Solitude dont l'unique compagne será un mal aux nuances rougeâtre ...
Pourtant ...
Pourtant, dans ma douleur sans fin, sous cet azur infini, il me semble apercevoir Quelque chose. Comme une lueur d'espoir. IL N'EST qu'artificiel, je le sais. Créer l'illusion vaine par la drogue. Malgré cela je mit accroche Comme Un naufragé à Pauvre fils radeau. L'opium Une forme bulle dans mon esprit. Une petite bulle de bien-être Qui aurait les couleurs pastels de L'Aurore. Là, je me recroquevillé, y PLI lun. Esprit, Le Tord Dans tout les sens pour Qu'il y entre en intégralité. Je crois perdre Une partie de mon Être dans ce labeur lourd. Une petite parcelle de moi-même que je NE PEUT Protéger de la douleur. Mais qu'importe me voilà sauvée ... C'est Ainsi Que Je meurs. Me semble-t-il. Et c'est toujours De la même manière que je reviens à la vie alors que la lune posent sur moi sa lumière laiteuse. Non que dis-je. Cette lune là à la couleur du sang: écarlate ...
Mes papillonnes paupière. Je bouge le bout des doigts et remue vaguement mon corps. Mes pupilles cramoisis devenu, je m'assois Avec une Facilité déconcertante Dans ce parterre d'herbe fraiche. C'est un incroyable monde que j'observe, Où le moindre détail me semble d'netteté Une improbable. Elle est loin derrière moi l'inconscience de la mort. Lun. aura Sommeil dernier été sans rêve, sans Abysse fond et sans lumière. Mais quel importance! J'ai si soif alors que je me réveille dans mon statue de nouveau vampire. Bien sûr je ne le sais pas encore. Je ne le comprendrais Qu'à la fin de mon premier repas ...
Comme ça me parait loin maintenant, jours ce d'aout 1525 ... Comme la ma Terre, France natale. Comme ma vie. Comme ma mort et mes rêves ...
***-***-***
