Auteur : Yoruhime
Titre : Défie destiel
Couple : Destiel
Série : supernatural
Disclamer : les personnages ne m'appartiennent pas, mais l'histoire oui.
Note importante :
Ce recueille regroupera plusieurs O.S. Je ne sais pas combien, il n'y aura pas de publication régulière. Ça dépend de ma motivation...
Ces O.S que je présente sont le fruit de défit des filles qui suivent mon blog destiel. Vous pouvez aussi me défier si cela vous dit. Il suffit juste de me donner entre 5 et 10 mots qui seront présent dans l'O.S. C'est autant une difficulté pour moi qu'une aide. Si vous souhaitez me défier et voir ce que je peux faire de ses mots. Il vous suffit de me le dire dans une Review. Je me laisse le droit d'accepter ou non. Mais aussi d'écrire dans l'ordre que je le souhaite les défis proposer !
Sur ceux. Je vous souhaite bonne lecture.
P.S : N'oublie pas que je suis dyslexique et dysorthographique. Je me corrige moi-même avec Word et un site en ligne. J'arrive à peu près à tous les voir. Mais il peut encore en resté. Merci d'être indulgent ou de me donner un médicament contre cette amour qu'on les fautes pour mes textes !
Ma défié : xHui – Skyrock.
Mot : maman (V) / ecrivain (V) / perdu (v) / suicide (V)/ malheur.
O.S 1 : Le jeune écrivain.
Voilà l'état actuel de la situation pour le jeune journaliste Castiel Novak. L'homme d'une trentaine d'années était dans son appartement, en présence d'une femme. Cette dernière avait le teint pas, caché sous une chevelure corbeau. Son visage reflétait l'inquiétude et tenait contre elle une enfant de 3 ans.
-Ma fille ? Demanda le journaliste.
-Je... Oui.
-Tu comptais me le dire quand ? Demande-t-il, légèrement... Attrister.
-Écoute. Quand on sortait ensemble, je ne prenais pas la pilule. Je croyais être infertile alors je t'ai fait croire que je la prenais pour te rassurer, mais aussi pour ne pas... Te dire la vérité. C'est assez frustrant. Mais visiblement, mon médecin ne s'est pas lire des analyses. Quand j'ai sus que j'étais enceinte. On n'était plus ensemble, on n'avait pas gardé contacte. Et J'ai la seule fautive.
-Mais je suis le père !
-Oui. Mais tu venais de commencer ta carrière, un enfant aurait tout reporté à plusieurs années. La possibilité de te reconstruire aussi. J'ai préféré prendre en charge Anna, mais... Je suis malade. Je... On va me retirer l'Anna et je ne veux pas la laisser en famille d'accueil.
Castiel ne savait pas comment réagir face aux nouvelles. Elle n'avait rien dit de très ... Précis... Sur son état de santé, mais on devinait aisément qu'elle devrait subir des traitements lourd pour continuer à vivre. Et si c'est une hospitalisation pour plusieurs mois, la petite sera séparée de sa mère. Il comprenait la jeune femme ainsi que ses motivations, mais n'était pas un homme à ce défilé.
-Je prendrais sois de notre fille aussi longtemps qu'il le faudra. Assure-t-il.
-Tu dois savoir qu'il se peut que je ne survive pas...
-J'en ai conscient. Je vais la reconnaitre comme ma fille.
Deux ans s'étaient écoulés depuis cette rencontre. La mère d'Anna était morte, ce suicidant un jour de janvier. Les traitements faisaient de moins en moins d'effet. Elle avait perpétuellement mal, ses sautes d'humeur devenaient fréquentes. Passant du fou rire incontrôlable à envie de meurtre. Elle n'avait pas pu revoir sa fille bien qu'elle la sût en de bonnes-mains. Tous ses soins étaient honneur et empiétait sur le budget qu'elle avait économisé pour les futures études de sa fille.
Elle le voyait, les médecins la rassurent. Lui demander de se battre, mais elle se savait mourante. Sans aucun remède. L'argent qu'il restait sur le livret aiderait Castiel avec la petite, car depuis 2 ans, Anna vivait au frais de Castiel. Elle ne savait pas s'il s'en sortait, il ne lui disait jamais rien quand il venait la voir. Alors, elle fit son testament. Léguant tout à Castiel.
-Cet argent lui permettra de faire des études, ou de se lancer dans la vie... Avait-elle dit.
-Je comprends. Assura Castiel. Mais, tu es sur de toi ?
-Le suicide est une lourde décision que j'ai pris il y a déjà plusieurs moi. Je sais que ça semble lache, mais je suis trop fatigué pour continuer à vivre. J'espère qu'Anna le comprendras quand elle sera plus grande. Surtout, n'hésite pas à prendre déçu si tu en as besoin.
-Ne t'inquiète pas. J'ai fait des demandes pour avoir des aides de l'Etat sous le conseil d'un de mes frères.
-Oui c'est bien. Ça couvre ses frais ? Demande-t-elle soucieuse.
-Bien sûr que non mais ce n'est pas un problème.
-Vraiment.
-Oui, la famille l'accepter tout de suite. Michel et Lucifer la gardent de temps en temps. Ils l'adorent. Et puis, ils ne peuvent pas avoir d'enfant, l'adoptèrent même pour un couple marié est dure. Encore plus pour un couple Gay. Alors ils la prennent un peu comme leur enfant.
La mère de la petite, dans son lit d'hôpital, sourit. Michel était le grand frère de Castiel. Il était depuis le lycée en couple avec un petit voyou qui s'était rangé. Lucifer, c'était un ancien motard de gangue. Le genre d'homme musclé, grand et une tête assez impressionnante. C'était un homme à femmes, jusqu'à rencontrer Michel. Ils s'étaient rencontrés dans un bar si ses souvenirs étaient bons. Une bagarre avait éclaté. Michel, bien que plus petit, avait mis à terre le motard étant un judoka. Par la même occasion, il s'en était fait un ami. Lucifer apprécié les nouvelles têtes, aussi butées sont telles. Et de fil en aiguille, le motard c'était adoucis. ****
Voilà maintenant 3 ans, c'était écouler depuis la mort de la mère d'Anna. La petite fille n'était pas très loquace mais souriante. Elle trimballait avec elle son petit ours en peluche qu'elle ne lâchait que dans de rare occasion. C'était un cadeau de sa mère. Castiel n'avait encore jamais abordé le sujet de la disparition de sa mère. Voilà maintenant 3 ans, c'était écouler depuis la mort de la mère d'Anna. Lui posant la question.
-Elle est où ma maman ?
-Ta maman est partie rejoindre tes grands-parents ma puce.
-Pourquoi ?
-Parce qu'elle était malade. Gravement. Elle... La maladie la fatiguait énormément, elle dormait beaucoup. Elle a fini par partir, emporté par son sommeil.
Avait-il dit à sa fille qui avait à présent 8 ans. Castiel était un journaliste plutôt connu, il travaillait à présente dans le monde des romans. Devenant critique de livre et jouait en même temps les écrivains en herbes. Les histoires étaient à la base pour sa fille, elle aimait les comptes remplis de guimauve. D'amour et de promesse d'amitié. Alors pour lui faire plaisir, il avait commencé à écrire des histoires. Ils les avaient envoyés à un éditeur qui avait été emballé. Ses histoires étaient douces, montrait l'aspect parfois blessant des enfants les uns envers les autres. Il montrait les sentiments de chaque personnage, les causes et conséquences. Il y avait toujours une belle morale à la fin, mais pas aussi présente que dans d'autres livres pour enfant. Elle était presque sous-entendue
-Tu devrais peut-être penser un peu à toi.
-Je ne comprends pas Michel...
-Castiel, bons dieux ! Tu ne nous demandes jamais de garder la petite pour sortir, faire de nouvelles rencontres. Entre avec ta petite amie. C'est toujours pour le boulot. Faut prendre du temps pour toi mon vieux ! Réplique Lucifer.
On était vendredi soir, Anna avait été récupérée après l'école par l'ancien motard puis ramener dans la maison de lui et Michel. C'était un rituel, passé ses vendredis soir avec ses oncles que la puce s'avait déjà qu'elle aurait le droit à de délicieux cookie faire par son oncle. Michel était un très bon cuisinier et faisait profiter toute la petite famille. Et justement, ce dernier cuisiné son jeune frère Castiel pour lui faire lâcher prise. Entre sa fille et son travail, il n'avait plus de vie. Sentimental ou sexuel. Parfois, il allait dans un bar et trouvé une charmante jeune femme pour la nuit, mais c'était au prix d'une lourde bataille entre lui et son frère. Castiel faisait toujours passer sa fille avant lui.
-Mais ... C'était un rituel, passé ses vendredis soir avec ses oncles que la puce s'avait déjà qu'elle aurait le droit à de délicieux cookie faire par son oncle. Parfois même des mercredis entiers. C'est vous qui n'allez plus avoir de vie ! Proteste le père d'Anna.
-Ouais enfin, nous on a une vie. Dit Lucifer. Et puis si vraiment, on a un empêchement, il y a toujours Gabriel ou Balthazar pour s'occuper d'elle. Maman est aussi là en cas de besoins. Tu veux que j'allonge la liste ? Non parce qu'il y a Uriel, Samandriel, Rachel, Ingrid, Gadreel...
-Merci j'ai compris. Bougonna Castiel de mauvaise foi. Je vais essayer de faire des rencontrers ... Dit-il de mauvaise grâce.
C'était peut-être dis sous le ton de la contrainte, mais au moins il allait faire l'effort. Et si vraiment ça ne marchait pas seul, Michel contacterait tous ses frères et sœurs. Il avait 8 frères et sœur. Ils allaient bien réussir à caser ce foutu petit frère qui aider les autres et ne pensais jamais a sois. On ne pouvait pas dire qu'il était égoïste aux moins.
Castiel avait bien tenté de faire de nouvelles rencontres. Mais c'était vouer à l'échec. Soit, les femmes qu'ils rencontraient prenaient la fuite quand elle savait qu'il avait un enfant de 8 ans. Sois, elle n'était pas à son goût. Il faisait donc chou blanc. Et en ce début de matinée alors que sa fille était à l'école. Il vit un autre problème pointé le bout de son nez. Sa fille qui avait attrapé une mauvaise grippe lui avait fait prendre du retard, car il était resté avec elle, le temps de sa convalescence. Sa fille qui avait attrapé une mauvaise grippe lui avait fait prendre du retard, car il était resté avec elle, le temps de sa convalescence. Lui qui était toujours en avance n'avais pas pu rattraper son retard. C'est pour cela qu'il aimait avoir de l'avance. Car en cas de problème tel que sa voiture, il aurait eu moins de soucis à se faire.
-Oui bonjour, ma voiture refuse de démarré.
-Je vous amène tout de suite une dépanneuse. Dit une voix rauque.
-Serait-il possible d'avoir une voiture en remplacement pour 2 heures. Je dois apporter quelque chose d'urgent à mon travail.
-Mm… Sembla réfléchir son interlocuteur. Dean va s'occuper de ramener votre voiture au garage et va vous conduire à votre lieu de travail. Vous en avez pour long ?
-Non, c'est l'histoire de quelque minute. Je dois déposer quelque chose à l'accueil mais c'est urgent.
-Bien. Dean arrive tout de suite.
Le fameux Dean n'avait pas tardé venir. Sortant de la dépanneuse, il salua chaleureusement Castiel d'une tape amicale dans le dos. Ce qui perturba Castiel n'était pas habituer au contact avec d'autre personne que sa famille ou ses amantes. Le garagiste semblait avoir son âge, vêtu d'un jean un peu délavé et d'un T-shirt Ver kaki, mis la voiture de Castiel, après l'avoir rapidement regardé, sur le plateau de la dépanneuse. Castiel scruta l'autre homme sans comprendre pourquoi son regard était attiré par ses fesses. Par ses muscles visibles ou son torse imaginable sous se haut moulant.
Mais bien vite, il dut arrêter son observation pour venir s'installer sur le siège passager. Dean les conduisit jusqu'au garage où il déposa la voiture du brun avant de prendre le volant d'une Chevrolet Impala de 67 dont semblait très fier Dean.
-Belle voiture. Commente Castiel.
-Tu la dis ! Hein baby ! Réplique Dean en s'adressant ensuite à sa voiture.
Le trajet bien qu'en silence fut instructive pour Castiel. Ce denier noté que l'homme aimait le rock, un peu vieux et démoder il l'aimait. Sa vieille voiture avait une vieille radio avec cassette audio intégrée d'époque. Il avait d'ailleurs tout un carton de musique. Derrière le siège de Castiel.
-N'est-il pas préférable de revoir votre installation audio ? Les cassettes ne doivent pas être pratiques et vous ne pouvez pas écouter de nouveaux groupes. Avait-il demande une fois à l'arrêt.
-Ouais, mon frère Sammy me le dit souvent…. Mais ça perd de son charme je trouve. Je fais vieux, comme les grands-pères qui préfèrent les livres en papier à ceux informatique.
-Vous préférez l'authentique donc.
-En quelque sort. Au fait, tutoie-moi ! Ça me rajeunira un peu.
-Bien. Je reviens.
-Pas de problème Cas !
Castiel sortit de la voiture sans montrer sa surprise. Cas ? Sa famille lui avait donné beaucoup de surnoms, mais c'était la première fois qu'il entendait celui-là. Étrangement, lui qui n'aimait pas être trop proche de personne qu'il ne connaissait pas ne voyait pas le problème avec Dean. Son petit surnom lui faisait même chaud au cœur. Drôle de réaction d'ailleurs. Pour si peu, en faire tout un plat…
Après la panne de sa voiture, Castiel était resté en contact avec Dean. Ils étaient vite devenus amis et lors d'une soirée improviser autour de la télévision, Anna entre les deux hommes à manger des bonbons, Gabriel fit son entré. Il devait rendre quelque chose à Castiel. Le grand frère de Cas avait donc rencontré Dean dont Castiel lui avait tout un éloge. Et vie, rien qu'à la façon dont son petit frère le regardait, qu'il était amoureux du garagiste. Ce dernier était souriant, le regard vert pétillant de gaité. Il faisait sourire, rire Castiel ce qui n'était pas plus mal. Mais la réserve avec lequel agissait Castiel par apport à cet homme lui fit dire qu'il y avait un problème.
-Tu craques pour lui ! Dit-il quelque jour plus tard, en tête à tête avec son cadet.
-Possible….
-Et tu ne nie pas ! Mais que fait tu, fait-lui du rentre-dedans !
-Il est hétéro…
-Comme toi je te signale et pourtant tu es amoureux de lui.
-Laisse tomber.
Depuis sa rencontre avec Dean Winchester. Castiel Novak n'était plus le même. Il était plus joyeux et prenait plus soins de lui. Laissant sa fille pour faire des sorties avec Dean au cinéma. Ils étaient très proches et Castiel tenta sa chance. Ses frères l'avaient fortement encouragé. Alors, il décida de se faire un ciné de finir la soirée chez lui avec quelque bière. Et de se déclaré à ce moment-là à Dean.
La soirée s'était bien passée. Ils étaient là, sur le canapé à se remettre d'un fou rire. La situation semblait propice alors Castiel se déclara.
-Je…. Mec… Désolé j'suis pas gay. Dit Dean légèrement gêné.
-Je comprends.
-Je vais partir.
Dean pensait que malgré sa réponse négative, Castiel est plutôt bien vécu la situation. Il semblait triste, mais restait calme. Il lui avait même sourire en lui souhaitant bonne nuit. Mais ce qu'il ne savait pas, c'était qu'une fois Dean entré dans sa voiture. Castiel, qui était toujours devant la porte à attendre un possible changement de situation s'effondra. Son cœur se brisa comme s'il ne prit conscience que par le départ de cet homme aux yeux incroyablement verts que plus rien n'était pareil. Il glissa le long de sa porte, le dos contre le bois et se replia contre lui-même. Il retient difficilement les sanglots qui finirent par éclater et briser le silence de la pièce. Il avait mal, il n'aurait pas dû écouter sa famille. Dean ne voulait pas de lui, malgré ce rapprochement qui c'était fait entre eux. Si Castiel partait de la vie de Dean, c'était à peine si ce dernier s'en apercevait. C'était le message qu'avait compris Castiel et sa faisait mal. Savoir que partir de ce monde laisserais probablement Dean que dans un moment passager de tristesse. Verserait t'il ne serait-ce qu'une larme pour lui ? Castiel n'en était pas sûr.
-Dean ! Interpella la voie d'une petite fille de 9 ans.
Ce dernier leva la tête qui était plongé dans le moteur d'une voiture. Il regarda surprit la petite fille qu'il n'avait pas vue depuis près de 3 mois. Depuis que Castiel lui avait déclaré ses sentiments, Dean ne l'avait pas recontacté. Il n'avait plus vu Anna depuis ce qui lui paraissait une éternité.
-Tu t'es perdu ? demanda-t-il gentiment.
-Papa… Dit-elle sens pouvoir continuer, elle était à bout de souffle.
-Quoi ? Qu'est-ce qu'il y a ? Demande Dean soudain inquiet.
-Il a …. Il a disparu enfin…
La petite fille, sous le coup de l'émotion s'était mise a pleuré. Dean la fit se calmer et l'installa sur une chaise qui traînait. Elle lui raconta que Castiel l'avais confié à ces grands-parents et devait la reprendre il y a déjà 3 jours de cela. Son père voulait s'isoler pour faire le point.
-Tout ça, c'est de ta faute ! Cria la petite fille en recommandant a pleuré. Tu as abandonné papa. Il t'aimait, tu sais ? Il souriait plus… Il ne dormait pas très bien aussi. Il s'est beaucoup disputé avec Michel et Lucifer. Tu aurais juste pus rester avec lui… En tant qu'ami. Il aurait moins pleuré, plus sourit et aurai fini par oublier.
-Je…
-Tu m'as enlevé mon papa ! Sembla réaliser la petite fille.
Anna frappa le torse du mécanicien a lui en fait mal aux mains. Ses yeux se noyaient de larme et pourtant, elle continuait de frapper Dean en le suppliant de lui rendre son père. Les coups étaient moins violents, mais continuaient à s'abattre sur l'homme aux yeux vert. Ce dernier vie tout le malheur qu'il avait provoqué. Oui, il n'aurait pas dû fuir. Il avait peur car en fait, même s'il n'était pas homo, il aimait Castiel. Mais Dean ne c'était jamais attaché à quelqu'un a part son frère et Bobby son patron qu'il considéré comme son père. Lisa était l'exemple parfait, il n'avait pas pu rester plus d'un an avec elle. Inconsciemment, il avait peur de reproduire ce schéma avec Castiel.
Il n'avait pas envie de construire sa vie avec cet homme et de finir par ouvrir les yeux un beau matin comme il l'avait fait avec Lisa. De se rendre compte qu'elle n'était rien alors qu'il avait cru l'aimait.
Mais la peur de perdre Castiel pris le pas. Bien plus que le jour ou Lisa avait disparu une semaine, se rendant chez sa mère sans prévenir Dean et en ayant oublié son portable. La peur qu'il ressentait en ce moment était plus intense, lui faisait un nœud dans l'estomac qui lui aurait fait vomir ce qu'il avait mangé à midi. Si bien sûr monsieur c'était arrêter de travailler à 12 heures. Car pour oublier Castiel, le mécanicien c'était d'avantage investi dans le travail et faisait en sorte de n'avoir aucun temps libre. Ainsi, son esprit oubliait Castiel, mais cela ne marchait pas. La simple vue d'un trench-coat dans les rues de New York, chose courante, ravivait des souvenirs.
-Je vais te ramener ton papa. Promis Dean avant de lever, de prévenir Bobby et de partir à bord de sa voiture.
Dean réfléchis à vive allure avait de ce souvenir que Castiel lui avait parlé de son lieu de refuge quand il voulait être seul. Il n'était connu que de lui, et a présent du Winchester.
Dean avait mis plusieurs heure pour se rendre dans l'état d'à côté. Il se gara devant une cabane de chasseur après avoir pris une petite route desservi par une grande route qui traversait une forêt. Coupant le contact, il s'avança vers la cabane discrètement. Une fois sur le perron, il regarda à la porte avant d'essayer d'ouvrir la porte. Cette dernière n'était pas verrouillée. Il entra dedans et regarda l'intérieur en faisant attention où il mettait ses pieds. Il découvrit bien vite des cadavres de bouteille jonché le sol ce qui le fit haussé un sourcil. Castiel n'avait pas pour habitude de boire, c'était lui l'alcoolo dans l'histoire.
-Dean ? Demanda une voix un peu trop rauque.
-Castiel ?
- Que viens-tu faire ici ?
-Ta fille te cherche. Je viens te ramener.
-Sans façon.
Castiel était à même le sol, contre le mur du salon. Il avait une bouteille a la main, la cravate était retiré et sa chemise ouverte a plusieurs boutons.
-Quoi ? Je suis si pitoyable que ça ? demande Agacé Castiel.
Il voulait faire fuir Dean, qu'il le laisse en paix. Après tout, il avait fallu qu'Anna se mêle de la situation pour que monsieur jour les chevaliers servants. Il y en avait vraiment que pour la femme et les gamines aussi. Et il était jaloux. Parce que pour sa fille, il avait fait tous ses kilomètres, pas pour lui. Ça faisait encore plus mal de faire cette triste constatation. Une gamine de 9 ans avait plus de poids pour Dean que lui. Et puis quand il aurait ramené Castiel chez lui, il allait faire quoi ? Partir à nouveau.
-Ta fille te réclame ! Ne fait pas l'égoïste.
-Et bien si. J'ai toujours fait en fonction des autres. M'accordant à leur souhaite, leurs désirs. Maintenant, je veux faire en fonction de moi. Agir égoïstement et sa passe par le fait que je reviendrais quand je l'aurais décidé.
-Et si tu ne reviens pas ? Demande Dean.
-Elle n'est pas seule. Elle a mes frères, mes sœurs et mes parents.
-Tu vas la faire souffrir.
-Je sais, au moins, elle et ma famille pleurera ma disparition.
Dean reçu se reproche à peine voilé en plein cœur. La fuit n'avait pas plus à Castiel qui laissait transparaitre ses émotions. Il était abattu, a boue. La colère, l'amertume et le désespoir se lisait dans son regard bleu. Et l'homme aux yeux vert se fit la promesse que cela ne se reproduise plus. D'un pas assure, il vient embrasser Castiel qui tenta de résisté a Dean, a son désir de continuer cette douce expérience. Il finit par céder. Peut-être la seule chance d'être plus proche de Dean. Car dans son esprit torturé, l'homme allait partir….Encore.
-Je suis désolé Cas, j'étais trop con sur ce coup. Je t'aime et je …
-Arrête ta pitié. Tu n'es pas homo et tu le fait pour rendre heureuse ma fille. J'ai compris et je n'ai pas besoin de ça, tu n'as donc aucune pitié pour mes sentiments ? Coupe l'écrivain.
-Tu te trompes. Je t'aime, même si je ne suis pas gay. Tu ne me fais pas pitié… Cas je n'aime pas te voir comme ça, ça me brise le cœur. Quand tu m'as dit que tu m'aimais, je pensais faire taire mes sentiments pour toi mais si je pars et je te laisse là, ou même si je te raccompagne chez toi. J'aurais toujours des regrets et la peur d'apprendre que tu as finir par mourir.
Comme pour prouver ses dires, Dean embrassa Castiel avec tout l'amour qu'il avait pour le jeune homme. Le sentir si près de lui était si bon. C'était… Comme revivre, recevoir à nouveau de l'oxygène dont on vous avait privé depuis de si long mois.
-Je t'aime vraiment Cas et je ne te laisserais plus partie.
Mot de l'auteur : Voici donc le premier O.S de ce recueille d'O.S Destiel. J'en ai possiblement 6 autres qui seront publié ici. Si tu veux aussi participer et me défier, je rappelle qu'il suffit simplement de me le dire et de me donner entre 5 et 10 mots. J'espère sincère que ça vous a plus. Et que vous en voudrez que ce recueille s'enrichisse de nouvelle O.S et que vous aimez le concept. J'attends vos avis avec impatience !
