Note : Le début de la romance entre Shiguré et Akito telle que j'aime l'imaginer.
Attention cette fic contient un max de SPOILERS donc vous êtes prévenus !
Et Fruits basket ainsi que les personnages ne m'appartiennent pas, dommage !
Akito : 15 ans
Shiguré : 23 ans
Environ 4 ans avant les évènements du manga
Prologue :
Shiguré n'avait jamais pensé qu'il oserait faire cela, mais après tout on ne vit qu'une fois, alors... Il soupira, ça faisait un moment qu'il n'avait pas vu Akito, mais entre les cours, les examens et le travail, même avec la meilleure volonté du monde cela aurait été impossible. Shiguré en avait parlé à Hatori, il craignait que la jeune fille ne lui en veuille, mais ce dernier lui avait dit qu'elle comprenait, après tout elle ne lui avait fait aucune réflexion. Seulement il avait conscience qu'Akito malgré son discours d'adulte avait besoin de la présence de ceux qu'elle aimait auprès d'elle. Il se dirigea vers la demeure principale, à cette heure de la nuit tout était calme, il faisait très doux pour un mois de septembre et un vent léger faisait bruisser les feuilles des arbres. Akito... elle lui manquait. Il ne pouvait pas s'empêcher de penser à elle à chaque heure du jour et de la nuit. Et ça aussi c'était un devenu un problème. Tant qu'elle avait été enfant il s'était contenté de la serrer dans ses bras, de rire avec elle, de lui caresser les cheveux... En bref, d'agir comme un grand frère envers sa jeune sœur. Mais maintenant qu'elle avait grandi il voulait plus. Plus que ces étreintes innocentes, que ces légers baisers d'enfants. Il avait envie d'elle. Et Akito avait compris que quelque chose avait changé entre eux, bien sûr elle venait encore se blottir dans se bras mais moins souvent qu'avant. C'était aussi pour ça qu'il évitait de lui rendre visite.
Mais ce soir, Shiguré avait décidé de tenter sa chance, de lui faire comprendre à quel point il tenait à elle. Il aperçu ses fenêtres, inspirant pronfondement il posa le sac qu'il tenait à la main contre un arbre. Après tout, il n'en aurait peut-être pas besoin, songea-t-il. Il allait se relever quand il entendit un craquement près de lui, il sourit, il connaissait cette odeur...
