Cet Os est écrit dans le cadre d'une nuit d'écriture du FOF, selon le thème « consommation ».

La vente est un art. Oui, surtout lorsque l'on s'appelle Forge et Gred Weasley, car il l'on travaillé à un point tel que l'on achètera quelque chose d'inutile, de moche et qui prend une place pas possible au lieu d'acheter ce pourquoi nous sommes sorti de chez nous, c'est-à-dire du PQ magique 2 feuilles absorbantes et multicolores (ceci est une nouveauté chez les sorciers).

Bien sur les Weasley ce sont en parti inspirés des moldus, histoire de voir comment ceux-ci faisaient pour vendre des choses inutiles sans aucun sort de compulsion. Franchement, il n'y a qu'à regarder les jeux visuels ! Ca nous bouffe le temps, ça nous isole et ça rend con, regardez Dudley ! Et pourtant ça se vend par millier. Non ya pas à dire mais ya un truc qui marche chez les modlus, et ce quelque chose devrait bien pouvoir s'adapter aux sorciers mal gré leur mode de pensée très moyenâgeuse.

Après étude de l'espèce homo sapiens sapiens moldus, Les deux farceurs en avaient conclu que certaine choses étaient parfaitement transposable au monde sorcier.

C'est ainsi qu'ils entamèrent une étude de la consommation possible, déterminant que même si les enfants et les étudiants allaient être attiré par les produit, ils devaient proposer des éléments utilisable par tous. De ce fait, en fonction du climat actuel du monde sorcier, et du manque flagrant d'intelligence chez le personnel du ministère britannique, les jumeaux se virent en train de créer des produits à but utile.

Ce fut les débuts d'un nouveau genre, car l'on pouvait voir, aux côtés des marais portables, des feux d'artifices ou encore des lunettes chantantes colorées (pour voir la vie en rose), des produits comme les bagues protego, les poudres obscure et autre objet utile pour les « temps paisibles » des années 90.

Bien sûr cela n'empêche pas la création des boules de poils de compagnie, qui peuvent changer de couleur selon leurs humeurs. Et l'on peut dire que le magasin de farce et attrape n'a jamais mieux marché qu'avec l'arrivée des cintres mous gueulant lorsque l'on tente d'y suspendre quoique ce soit.