Bonjour à tout le monde. Voici une ancienne histoire que je n'avais pas terminé et qui est maintenant achevée. Bien sûr les personnages ne sont pas les miens. Juste l'histoire. Il y a des anachronismes mais comme je ne l'ai reprise que aujourd'hui, j'ai changé quelques petits choses.
Je préviens également qu'il y a des scènes assez dures et des scènes DM/HP rating M mais qui sont OC.
Cette histoire est sous deux parties. Je publierais demain ou après demain en fonction du temps que j'ai la suite.
Je m'excuse pour les fautes qui doivent êtres nombreuses. J'espère tout de même que l'historie vous plaira.
Bonne lecture
Le soleil était éblouissant et la chaleur insupportable. Mais Harry devait terminé le sillon qu'il avait commencé. Si jamais il s'arrêtait ou qu'il se plaignait il ne donnait pas cher de sa peau. Esclave depuis sa naissance il était assigné aux champs et si il faisait correctement son travail peut-être qu'un jour il pourrait devenir responsable. Mais il ne fallait pas trop espérer les Égyptiens ne prêtaient pas attention aux esclaves comme lui. Au mieux si il arrivait à se démarquer il serait obliger de se reproduire pour donner de bons esclaves, rien de très réjouissant.
En attendant il s'activa et en une heure supplémentaire il arriva à terminer tout son travail. Enfin !
Admirant son œuvre il se dit qu'il avait mérité un petit plongeon dans le lac. A cette heure il n'y avait personne et il pourrait profiter des meilleurs endroits.
Tout sourire il rangea ses outils et prit la direction de l'étang.
A des milliers de kilomètres de là, il ne se doutait pas que des yeux mercures le regardaient intensément.
- Encore à regarder ton humain ?
- Que veux-tu...je dois être sûr qu'il est digne de ma progéniture.
- Lui ou un autre de toute façon.
- Non. Les humains sont tous différents et celui-là l'est tout particulièrement.
- En quoi ? Ce n'est qu'un esclave, ce n'est pas comme si tu avais des vues sur un roi.
- Je ne serais l'expliquer mais celui-là semble très particulier et me correspond parfaitement.
- Comment s'appelle t-il ?
- Je n'en sais rien et ça n'a aucune importance, tout ce que je veux c'est le féconder.
- Comment vas-tu t'y prendre ?
- Je n'en sais rien encore.
Les deux hommes fixaient la brume qui laissait voir l'humain en question. Ce dernier se déshabillait, un sourire aux lèvres.
- Au moins il a un beau corps, tu pourras en profiter un minimum.
- Mm. Je vais y aller maintenant. Je veux être le premier à mettre ma marque sur lui avant qu'un autre le fasse.
- Que veux-tu, quand un humain se montre apte à porter nos enfants, tout le monde lui saute dessus.
- Et cette fois-ci je serai le premier.
Harry sauta dans l'eau. C'était réellement agréable, l'eau était chaude et la légère brise légère le rafraîchissait. Après avoir fait quelques brasses il se mit sur le dos et admira le ciel. Tout semblait si calme, qui aurait pu penser qu'à des kilomètres de là des personnes mourraient et que d'autres profitaient de la vie tranquillement. C'était injuste mais que pouvait-on faire ? Plonger dans ses pensées, il se sentit soudain tirer dans l'eau. Quelque chose de très puissant lui avait enserrer la taille et l'entraînait vers le fond. Sous le coup de la surprise Harry avait laisser échapper un cri, très vite étouffer par l'eau qu'il avala. Étouffant à moitié il se dit que son heure était venu quand il émergea soudain à la surface. Toussant et crachotant il inspira de longues bouffées d'air frais. Que s'était-il passé ? Regardant autour de lui il se rendit compte qu'il était sous terre et la chose qui l'avait tiré l'avait maintenant lâché. Effrayé et surpris il regarda autour de lui. Cet endroit était très surprenant, des lumières bleu étaient dispersées un peu partout rendant la grotte resplendissante.
Harry nagea jusqu'au bord, se demandant comment il allait sortir de cet endroit. Alors qu'il allait se hisser hors de l'eau il se figea en voyant deux pieds juste devant lui. Avec stupeur il releva lentement la tête et vit deux jambes très blanches et fines, puis en relevant plus la tête il vit le corps d'un homme...nu. Cette dernière constatation fit monter le rouge aux joues d'Harry. Se rejetant en arrière pour s'éloigner de l'inconnu, il aperçu que ce dernier était très beau. Des chevaux blonds, des yeux d'un gris incroyable et des traits très fins.
- Approche humain.
Remis de sa stupeur, Harry se rendit compte que l'homme s'adressait à lui. Ne bougeant pas Harry regardait avec des yeux ronds l'homme le toiser. Voyant que le jeune homme ne bougeait pas le blond disparu soudain et Harry poussa un cri de peur. Qu'était cet homme ? Comment avait-il fait ça ? Mord de peur Harry nagea le plus vite possible vers le bord de l'eau. Mais avant d'avoir pu faire quoique se soit il sentit quelque chose de long s'enrouler autour de ses chevilles, ses poignets et son torse. Hurlant de peur il fut projeté contre la rebord de l'eau, le haut du corps écrasé contre la berge, ses jambes à moitié dans l'eau et ses fesses exposé à l'air libre. Hurlant de peur il se débattit comme un beau diable mais les tiges qui le tenaient étaient si solide qu'il ne put que se blesser. Il hurla encore plus de peur en sentant une présence derrière lui.
- ARRETEZ PITIEZ !
- Calme toi humain, je ne te veux pas de mal.
- Libérez-moi. Hurla t-il.
- Pas avant de t'avoir marqué
- Mais qu'est ce...
Mais une des tiges s'enroula autour de sa bouche pour le faire taire. Mais elle n'étouffait pas ses hurlements de peur.
- Silence, je ne veux pas t'entendre.
Ne se calmant pas Harry se débattit encore plus. L'homme posa une main sur son dos exposé et Harry sentit une douleur fulgurante le traverser des pieds à la tête lui coupant le souffle.
- Ne m'oblige pas à recommencer. Si tu te tais et que tu restes calme je ne te punirais pas, autrement...
Il reposa sa main et la douleur revint. Après quelques minutes de se traitement Harry laissa les larmes couler le long de ses joues, mais il garda le silence.
Satisfait du calme de son prisonnier, l'homme toucha doucement son dos, sans lui faire mal, puis glissa jusqu'à ses reins, ses cuisses, puis remonta jusqu'à ses fesses. Il les écarta et inséra un doigt dedans. Harry ouvrit démesurément les yeux. Que faisait cet être ? Il ne pouvait pas être humain, ça il l'avait bien compris. Il sentit le doigt aller et venir en lui, écartant ses chaires. Puis un deuxième fit la même chose et s'en suivit un troisième. C'était extrêmement désagréable. Pourquoi ce fou lui faisait-il ça. C'était dégoûtant.
Puis les trois doigts disparurent . Harry tourna légèrement la tête pour voir se que faisait son bourreau et si possible il eut encore plus peur. La créature qui était derrière lui avait le haut du corps d'un humain et le reste était constitué d'eau comme celle dans laquelle il se trouvait tous les deux. Mais ce qui effraya encore plus Harry, était le sexe que tenait l'homme dans sa main, prêt à lui mettre …. Il n'allait tout de même pas faire ça ! Recommençant à hurler et à se débattre, Harry essaya de faire à comprendre qu'il n'était pas une femme et que ce n'était pas à lui qu'il fallait faire ça. Mais une fois encore l'homme toucha son dos et la douleur qu'il avait sentit quelques minutes avant revint. Paralizé par la douleur, il ne pu rien faire quand il sentit le sexe forcer, pousser et déchirer son entrée. La créature poussait en lui pour rentrer totalement, ne le laissant pas reprendre son souffle ni s'habituer à sa présence. Il entama des vas et viens puissants qui faisaient décoller le corps d'Harry malgré les attaches. Ce dernier souffrait le martyr non seulement dans son postérieur mais aussi dans tout son corps. Le calvaire dura longtemps à ses yeux puis il sentit la créature se contracter derrière lui et quelques chose de très chaud, voir même bouillant se répandit en lui. Avait-il joui en lui ? Certainement, mais pourquoi Harry sentait-il cette chaleur jusque dans ses doigts ?
Après plusieurs minutes ou rien ne bougea, la créature se retira. Une très grande quantité de sperme coula le long des cuisses d'Harry, jusqu'à ses cheville.
- Cela est bientôt terminé humain.
Il reposa une main sur son dos et Harry sentit quelque chose le brûler. Il ne pu s'empêcher de crier de douleur mais il ne pouvait rien faire contre le traitement qu'il subissait. Puis tout cessa.
- C'est terminé.
Et il s'évanouit.
Ses cultures poussaient bien, Harry était très content. Il était même en avance par rapport aux autres. Peut-être aurait-il une récompenses ? Il ne faisait que rêver mais cela lui faisait du bien. Surtout depuis ce qui lui était arriver. Il n'était plus retourné au lac. Il allait plus loin chercher l'eau qu'il avait besoin, évitant de toucher l'eau et récupérant ce dont il avait besoin le plus rapidement possible. Il essayait de ne pas repenser à ce qui s'était passé. Il s'était réveillé chez lui le corps douloureux, surtout ses fesses. Et une étrange marque était apparue sur son dos. Deux ailes croisées. Il avait essayé de la retirer mais c'était comme retirer une brûlure. Impossible. Il avait mis deux jours à se remettre de ce qu'il avait vécu, les marques sur ses poignets et ses chevilles pour leurs part étaient parties la semaine suivante. Que s'était-il passé ? Pourquoi cela était-il arrivé ? Et surtout qui était cet...homme...ou créature ?
Il ne ressemblait pas aux dieux qu'ils avaient l'habitude de prier, ni même aux monstres qu'on lui avait appris à craindre. Alors qu'était-il ? Pas un humain vu ce qu'il pouvait faire. Et pourquoi lui avoir fait ça ? Pour s'amuser avec un pauvre mortel ?
Beaucoup de questions et très peu de réponses. Le seul avantage était qu'Harry ne se séparait plus de son petit couteau, prêt à s'en servir au moindre problème, enfin il doutait que cela soit d'une réel aide mais ça le rassurait.
Quand le soleil se coucha il décida de rentre chez lui. Il avait mérité une bonne nuit de sommeil. Il rentra donc dans sa petite cabane composée d'une pièce, ou sa couche composé de paille l'attendait. Un petit repas composé de bouillie et hop au lit. Il resta cependant habillé pas question de s'exposer à nouveau.
- Bonsoir humain.
Sursautant de peur, Harry se tourna immédiatement et sauta sur son petit couteau. Il menaça l'inconnu. Ce dernier regarda son arme
- Pose ce jouet il n'aura aucune utilité contre moi.
- Jamais.
- Très bien.
Les yeux gris se mirent à briller et aussitôt le couteau devint brûlant. Harry essaya de le garder dans sa main mais quand la lame devint rouge il dut le laisser tomber au sol. Il se précipita alors sur un morceau de bois, dont il se servit encore pour se défendre. Une fois encore les yeux de la créature brillèrent et le bois s'allongea et s'enroula autour des bras d'Harry. Poussant un cri il essaya de le lâcher mais cette fois-ci c'était lui qui était tenu. Il finit au sol les bras attachés dans le dos.
- Pourquoi les humains doivent-ils toujours tout compliquer ?
- QUI ETES VOUS ET QUE ME VOULEZ VOUS ?
- Cela me semble logique. Je veux la même chose que la dernière fois.
- Non, pitiez, je ne vous ai rien fait.
- Comment le pourrais-tu ? Tu es totalement démunis face à moi.
- Qui êtes vous ?
- Je suis ce qu'on pourrait appeler un dieu. Pas vos dieux que vous priez inlassablement mais je m'y rapproche.
- Et pourquoi êtes vous là ?
- Je me lasse de tes questions et je ne suis pas là pour ça je te l'ai dis.
Il s'avança alors, et Harry tenta tant bien que mal à reculer, mais déjà d'une main il fut soulevé. Le présupposé Dieu regarda sa couche avec dédain.
- Est ce là que tu reposes ?
Harry ne put qu'acquiescer.
- Il faudra s'en contenter pour l'instant. Il poussa Harry jusqu'à la paille et l'allongea dessus.
- N'essayes pas de te débattre ni hurler comme la dernière fois sinon je serai encore obliger de sévir. Est ce clair ?
- Pitiez ne me faites pas de mal.
Mais l'homme l'ignora. Il serra son poing quelques instants puis découvrit une petite fiole. Regardant autour de lui il se releva et prit un petit bol en terre cuite ou se trouvait un peu d'eau. Il versa le contenu de la fiole et retourna prêt d'Harry. Lui redressant la tête il approcha le bol de ses lèvres.
- Bois.
Harry essaya de fermer les lèvres mais l'homme lui appuya sur la mâchoire. Un bruit se fit entendre et Harry comprit qu'il le lui avait cassé. Ne pouvant ni hurler ni fermer la bouche il sentit le liquide lui couler dans la bouche. L'homme lui reprit la mâchoire et un autre bruit sec se fit entendre.
- Si tu obéissais tout simplement, les choses seraient plus simple.
Se redressant sur ses genoux il commença à se dévêtir.
- Je vais t'expliquer ce que j'attends de toi. Je suis ici pour te féconder, tu porteras mon enfant dans les prochains mois. Il existe quelques rares humains pouvant porter notre descendance et tu en fais partis. Je t'ai marqué la dernière fois pour faire comprendre à ceux de mon espèce que tu étais réservés, maintenant je vais mettre ma semence en toi et créer mon enfant. Je devais te prendre régulièrement pour que l'enfant se nourrice de mes pouvoirs et qu'il ne devienne pas un demi-dieu. J'attends donc de toi que tu te laisses approcher et féconder.
Harry était abasourdi. Il avait l'impression d'être une jument qu'il fallait monter pour qu'elle donne des petits. Il n'eut cependant pas le temps de s'émouvoir sur son sort car le « dieu »avait finit de se déshabiller et s'attachait maintenant à lui retirer le bas de ses vêtements.
- Vous faites erreur, je ne suis pas un de ces humains. Ne faites pas encore ça !
- Un dieu ne se trompe jamais, et si il s'est avéré que je me sois trompé aucun enfant ne se développera en toi.
Le bas du corps exposé, Harry tenta de donner des coups de pieds au blond mais le bois qui lui tenait les bras s'allongea et lui tint les chevilles. Sa position ne pouvait pas le rendre plus vulnérable. Les bras attachés le long du corps et les jambes pliées, remontées, exposant son intimité.
- Puisque tu ne veux pas rendre ça agréable, tu te contenteras de cela.
Il appuya alors son sexe sur son anus et poussa. Harry avait presque oublié la douleur de la précédente pénétration mais il se rappela très vite son intensité. Comment les femmes pouvaient-elles faire ? C'était atrocement douloureux.
Le dieu s'activa au dessus de lui mais son visage ne semblait pas exprimer le moindre sentiment alors qu'il venait et ressortait de lui, encore et encore. Les larmes coulaient le long des joues d'Harry. Pourquoi n'avait il pas eu une vie normal ? Rencontré une gentille fille ? Aurait eu un enfant d'elle ? Et non pas de lui-même ! Pourquoi lui ?
Les coups de rein devinrent plus fort et le corps au dessus de lui arrêta sa besogne. Se retirant le dieu se retira et se rhabilla.
- Je reviendrais chaque jours de la semaine pour te féconder. N'essayes pas de fuir, de te blesser, de nuire à l'enfant ou de m'échapper d'une quelconque façon. Je te voies qu'importe l'endroit ou tu te trouves.
Puis il disparut sans laisser de trace et Harry fut libérer.
Loin d'ici, quelques part en enfer.
- Draco mon ami !
- Blaise.
- Alors cet humain ?
- C'est fait, il porte ma progéniture.
- Était-ce plaisant ?
- Je dois avouer que l'accouplement avec les humains ne nous fait pas ressentir grand chose. Et l'humain ne se laisse pas faire.
- Et pourquoi ?
- Je suis obligé de l'attacher à chaque rapprochement. Il n'accepte pas l'accouplement.
- En même temps, c'est un mâle, ils ne sont pas censés porter les enfants ni recevoir un sexe en eux.
- La nature l'a fait porteur, je n'y suis pour rien si ses croyances divergent.
- Peut-être le temps arrangera t-il les choses.
- Il s'y fera c'est certain. Je compte le prendre chaque jour pour être certain du résultat. J'espère simplement qu'il n'essayera pas de m'échapper, même si cela peut- être très amusant.
- J'espère pouvoir avoir un porteur un jour, m'amuser avec les humains semble si plaisant.
- Surtout de les voir effrayé face à nos pouvoir.
Harry marchait à travers la foule, il avait abandonné sa maison et se cultures pour échapper au Dieu qui lui courrait après. Il était revenu deux fois et l'avait violé à chaque fois. Et peu importe combien Harry se défendait il le neutralisait avec une grande facilité et le prenait sans aucun mot. Et le pire c'est qu'Harry commençait vraiment à croire qu'il allait porter ses enfants. Pourquoi reviendrait-il sinon ? Il pourrait avoir n'importe qui, et consentant en plus. Alors pour essayer de ne plus subir cela il avait tout abandonné et se mêlait à la foule. Le dieu n'allait sûrement pas le violer devant tout le monde.
Une capuche rabattue devant le visage il marchait rapidement pour pouvoir arriver au couches communes où il pourrait dormir avec les vagabonds et les pauvres. Après tout il faisait un peu parti de cette catégorie maintenant.
Il voyait la porte se dessiner au bout du chemin mais il se figea en voyant un homme blond le fixer intensément. Non ! Il ne pouvait pas être là !
Tournant immédiatement les talons, il courut en sens inverse. Arrivé à une intersection une main lui saisit le poignet et il fut projeté contre un mur. Le souffle coupé il sentit un corps se coller au sien.
- Crois-tu réellement pouvoir m'échapper humain ?
Harry allait hurler mais sa voix resta muette.
- Ne vas pas alerter tes congénères.
Harry se débattit mais ses jambes étaient collées aux murs.
- Tout pourrait être si plaisant si tu ne luttais pas en vain.
Le dieu remonta sa cape et déchira le tissu au niveau de ses fesses. Oh non ! Pitiez par encore. Les passants ne semblaient pas les voir, personne ne s'interrogeait de voir deux silhouettes collées l'une à l'autre.
- Ils ne nous voient pas pour le moment. Je préfère être au calme pour faire ça.
Et tout recommença encore. Encore et encore. Ne pouvant rien faire Harry attendit le postérieur en feu, sentant ce sexe venir encore et encore en lui. Le dieu ne parlait pas, ne faisait pas un bruit. A croire qu'il s'activait sans savoir ce qu'il faisait. Ce dernier s'arrêta derrière lui.
- Mon corps astral ne ressent rien, je ne peux ni connaître la douleur ni le plaisir. L'accouplement ne me procure donc aucunes sensations. Il me faudrait prendre le corps d'un humain pour cela.
Voilà qui expliquait beaucoup de choses. Il lui semblait que des heures étaient passées mais au bout d'un moment il sentit la sensation devenue familière de l'éjaculation.
Le dieu se retira et les vêtements d'Harry se réparèrent tout seul. Se retournant Harry fut surpris de voir que le dieu n'avait pas disparu.
- Je vais t'emmener dans un endroit sûr, où des personnes de confiances prendront soin de toi et s'assureront que mon enfant se porte bien.
- Pas question. Vous pouvez me contraindre à subir vos viols mais pas à vous suivre.
Le dieu ne se formalisa pas. Il lui saisit le bras et aussitôt Harry se sentit faible. Il tomba au sol, sans pouvoir bouger, mais conscient de ce qui l'entourait.
- Tu ne bougeras pas. Affirma t-il.
Ils restèrent là de longues minutes puis des hommes vêtus de noirs, le visage cachés, arrivèrent devant eux. Ils s'agenouillèrent devant le dieu et rampèrent vers lui en murmurant des « seigneurs ».
- Amenez le dans un endroit sûr et enfermez le.
- Oui seigneur.
Une énorme silhouette se dirigea vers Harry et le souleva sans peine. Le hissant sur son épaule il suivit ses compagnons dans l'obscurité.
Harry avait été déposé dans une petite pièce, composé d'un lit, d'une table ou reposait un bol d'eau et un sceau pour ses besoins. Les hommes en capuchons n'avaient pas prononcé un mot depuis qu'ils étaient arrivés. Ils l'avaient déposé puis étaient repartis sans prononcer la moindre phrase. Sûrement des adeptes de ce dieu. Ne l'avaient-ils pas appelé seigneur ?
Allaient-ils le garder là indéfiniment ? Il fut coupé dans ses pensées par l'ouverture de la porte. Un homme torse nu entra. Son visage était dissimulé sous un voile noir et seul ses yeux marron étaient apparent. Il s'arrêta au milieu de la pièce et fixa Harry. Mal à l'aise celui-ci se tassa un peu plus dans son coin. Qu'allait-il encore se passer ? L'homme sortit un sabre et à sa vue Harry prit peur. Allait-il le tuer ? Mais l'homme retourna le sabre contre lui et se transperça avec. Harry hurla. Mais le corps de l'homme au lieu de tomber se convulsa et se transforma. Son torse se muscla de le lui même. Sa peau blanchit et son corps s'agrandit. Figé dans son coin, Harry regarda avec stupeur l'homme se relever et examiner son corps. Il retira son voile et des cheveux blond apparurent. Le cœur d'Harry s'arrêta quelques instants. Ce ne pouvait pas être...
A demain ou après..
