Bonjour, bonjour !
Bon sang, j'ai l'impression que ça fait des lustres que je n'ai pas ouvert de traitement de texte ! Quand ai-je posté Boy's Memories ? Aucune idée, ça doit bien faire un mois et demi, tout ça...
Bon, l'inspiration n'était pas trop là. Enfin, si, justement, j'ai trop d'idées, c'est bien ça, mon problème. Trop de passages sans histoires... Un OS ne suffit pas toujours, malheureusement. Et écrire une histoire complète qui, je le sais, ferait pas mal de chapitres, ça me décourage assez.
En parallèle, j'ai mon foutu BAC, qui m'a pris pas mal de temps. Je sais, j'avais que Français et SVT, plus jeudi, l'oral de Français, mais c'est d'un chiant... En plus, comme je suis une des organisatrices des Fanfictions Harry Potter Award (lien sur mon profil), j'ai peu de temps à consacrer à l'écriture. Ô damnation...
Hem, si certains aiment ça, je vais bientôt faire une co-écriture avec la seule, l'unique, la belle, la grande, la splendide, la resplendissante, l'incroyable Onirybrius, une fanfiction « Facebook ». x) Moi je les aime bien, je vois pas ce que tout le monde a contre ça... La dernière fois j'avais lu « Parchemess », qui est vraiment trop bien. C'est pas une « Facebook » spécialement, mais c'est le même genre, quoi.
Je vais aussi entamer une co-écriture avec notre chère, notre magnifique Emma. D ! Elle se nommera « Speed-Dating ».
Bref, assez de blabla, place à l'histoire.
Tous les personnages appartiennent à la talentueuse Joanne Kathleen Rowling, l'histoire est uniquement à moi, par contre. Oh, et c'est un Univers Alternatif.
P.S. : J'ai lu une fiction, cette nuit, elle s'appelle « Coup d'un soir, ou presque », et je vous la conseille vraiment très vivement ! Elle est tout simplement géniale... Je sais pas ce que j'ai, avec les UA, en ce moment.
P.P.S : Bon, au final, je pense que ça sera une fiction. Une autre, ouais, j'devrais plutôt me suicider, je sais. Mais en fait, au départ c'était un OS que j'ai décidé de couper parce que trop long ( 22 pages, héhé! ), et puis j'ai eu d'autres idées, donc... La deuxième partie arrivera le 16 juillet, puisqu'elle est déjà écrite.
Les Parents Malfoy
« Draco, je veux rencontrer tes parents. »
Draco Malfoy, ce jeune garçon de vingt-et-un an aux cheveux blonds, presque blancs, étudiant en fac de droit depuis maintenant deux ans, relève la tête de l'épais livre qu'il était, quelques secondes auparavant, en train de lire, et plonge ses yeux bleu pâle dans ceux vert émeraude de son petit-ami, Harry Potter.
Ils sont tous les deux assis à l'ombre d'un arbre, sur la pelouse en face de la fac dans laquelle ils étudient, respectivement, le droit et l'économie. Le soleil tape fort en ce mois de mai inhabituellement chaud, pour un pays comme l'Angleterre, et Harry a revêtu un t-shirt blanc cassé en col V et un simple jean, tandis que Draco porte une chemise à manches courtes bleu ciel et un pantalon clair.
Depuis quelques jours – depuis qu'Harry a présenté son petit-ami à son parrain, en fait – le brun exprime le désir d'être, à son tour, présenté à la famille de Draco. Étrangement, celui-ci est loin d'être d'accord, et ils se chamaillent souvent à cause de ça – mais rien de bien méchant, si cela peut vous rassurer. Là encore, le blond soupire et pose son livre de droit sur ses jambes croisées, fixant le brun.
« Tu sais très bien ce que j'en pense, Harry...
- Non, je ne sais pas. » Il se redresse. « Tu esquives toujours la question, tu soupires, tu râles, mais jamais tu ne m'expliques.
- Pour la simple et bonne raison que c'est impossible parce que –
- Tes parents sont des vieux cons, le coupe Harry, ouais, je sais, je connais la chanson, tu me la chantes à chaque fois. »
Draco lève les yeux au ciel et, redressant son livre, il se replonge dedans. Il ne comprend cependant pas grand-chose de ce qu'il lit, et se surprend même à relire la même phrase plusieurs fois sans en saisir le sens. Abandonnant, il se fait plus doux, pose définitivement le livre à côté de lui, et attire Harry plus près de lui.
« Tu as honte de moi ? demande le brun, ses yeux s'assombrissant quelque peu sous la tristesse que lui procure cette idée. Tu trouves que je ne suis pas assez bien pour toi ?
- Ne dis pas n'importe quoi, Harry. Je n'ai pas honte de toi, je te signale que je t'ai quand même suivi jusque chez ton parrain, pour que tu me présentes, et que j'ai subi ses blagues douteuses sur notre vie sexuelle et ton passé de débauche pendant tout le repas. Si j'avais honte de toi, franchement, je ne serais même plus là...
- Alors quoi ?
- Harry..., soupire Draco.
- Je veux savoir.
- Tu veux toujours tout savoir. »
Le brun esquisse un sourire et s'assoit sur ses cuisses, en tailleur, ses mains posées sur les hanches de son petit-ami.
« Tu me gâches le soleil, Harry, plaisante le blond.
- Je croyais que c'était moi, ton soleil ? s'indigne le dit Harry.
- Je devais être bourré quand j'ai dit ça – Aïe ! » s'écrie-t-il quand son petit-ami lui met une claque sur la tête.
Ils se mettent à rire, et Draco croit qu'Harry at abandonné l'idée d'être présenté à ses parents.
Cela fait désormais un an et demi qu'ils sortent ensemble, et leur relation va pour le mieux, malgré les nombreuses disputes. Ils sont un couple plus ou moins fusionnel, et surtout, complémentaire. L'un ne va pas sans l'autre, et leurs amis le leur fait souvent remarquer. Chaque dispute les fragilise mais, paradoxalement, les rapproche également. Ils sont très proches et se connaissent presque par cœur, ce qui se révèle parfois agaçant. Mais l'amour est tout ce qui compte, pour eux.
« S'il-te-plaît, Draco. Je veux savoir pourquoi tu ne me présentes pas à tes parents. Je ne comprends pas. »
Il esquisse une moue boudeuse qui fait littéralement fondre le blond.
« En quoi est-ce important ? tente-t-il une dernière fois.
- Je veux savoir, c'est tout.
- Mes parents sont des vieux cons. Oui, tu le sais, dit précipitamment Draco en voyant Harry ouvrir la bouche pour répliquer, mais il faut que tu le saches, parce que c'est la vérité. Ils acceptent difficilement le fait que je préfère ce qu'il y a entre tes jambes plutôt qu'une belle paire de seins. Je leur ai déjà présenté Colin, mon ex, si tu te souviens...
- Je m'en souviens, réplique Harry, mécontent.
- Ça s'est... plutôt mal passé.
- Pourquoi ?
- Quand Lucius a remarqué qu'il ne pouvait rien contre le fait que je sois gay, il a décidé de faire avec. Pour autant, il s'obstine à vouloir me trouver ce qu'il appelle « un bon parti ». Autrement dit, Harry, aux dernières nouvelles, tu n'es pas fils de banquier. Pour mes parents, tu es un bien piètre parti et –
- Pour toi aussi, je suis un piètre parti ? le coupe Harry.
- Bien sûr que non ! Mais pour mon père, si.
- Et il faudrait que mes parents soient quoi ?
- Banquiers, directeurs de marque, j'en sais rien... Ils doivent se situer à un niveau respectable de la hiérarchie, en somme. »
Harry soupire et fixe Draco d'un air suppliant.
« Peut-être qu'ils m'aimeraient bien ? » Draco hausse les épaules. « Peu de chance. Ce qui les intéresse, c'est ta notoriété, Harry. Simplement ça. Ils se fichent que tu sois bien éduqué, étudiant en économie, beau à tomber, ou ex champion de basket...
- Je suis beau à tomber ? sourit le brun.
- J'ai jamais dit ça, » répond son petit-ami de la même manière.
Ils rient tous les deux et Harry se penche pour quémander un baiser, que Draco lui cède. Le brun pose ses mains sur le cou du blond, approfondissant le baiser, tandis que l'autre les glisse sur ses hanches. Lorsqu'ils se détachent, Draco prend la parole :
« Je suis désolé, Harry. Je n'ai juste pas envie que aies à te confronter à mes parents. Ils vont te bombarder de questions inutiles qui viseront uniquement à te cibler, te cataloguer. Pas envie que tu sois blessée par leur attitude ridicule. »
Et Harry en est touché. Bien sûr, il n'abandonne pas l'idée que ses parents pourraient sûrement l'apprécier pour ce qu'il est, et non pour la notoriété qu'il n'a pas. Cependant, il n'en dit rien à Draco et le laisse penser qu'il a abandonné.
Foi d'Harry Potter, il rencontrerait les parents de Draco, vieux cons ou pas !
~Drarry~
La lourde porte d'entrée claque violemment lorsque Draco Malfoy, fils de Lucius et Narcissa Malfoy, célèbres banquiers d'Angleterre, rentre chez lui ce soir-là. Son sac en bandoulière pendant sur son épaule, il traverse le hall rapidement et monte les escaliers en colimaçon – en vernis blanc, s'il-vous-plaît - ne souhaitant pas croiser ses parents pour le moment. Il traverse un énième couloir aux murs blanc cassé, habillés de cadres en tout genre et d'appliques murales ornementées, et pénètre finalement dans sa chambre. Bien trop grande pour une seule personne, si vous voulez mon avis. Les murs sont tous aussi blancs que le reste de la maison, mais ici, ils sont vêtus de grands portraits, de poster et de décorations en tout genre. Au centre de la pièce trône un grand lit deux places, et de larges fenêtres font pénétrer la langoureuse lumière du soleil. A gauche, Draco a fait installer un large bureau sur lequel un ordinateur portable est ouvert mais éteint, ainsi que ses nombreuses affaires de cours. Sur ce mur-là, le blond a scotché pas mal de photos mettant en scène Harry, son meilleur ami Blaise, Ron – celui d'Harry - Pansy, Théo et Hermione.
Un peu gamine pré-pubère amoureuse de son mec, quoi.
Draco jette son sac dans un coin de la pièce et se dirige vers son immense bibliothèque, contre le mur droit de la chambre. Il laisse courir ses doigts sur les livres et en choisit un au hasard. Il ne veut pas travailler, ce soir... Il aura tout le temps de s'y mettre demain, non ? Procrastination, quand tu nous tiens...
Shakespeare.
Au hasard, vous êtes sûr ?
Souriant, il quitte ses chaussures et s'allonge dans son lit, à moitié allongé, son dos appuyé contre les oreillers.
Cela doit faire plus d'une heure qu'il lit tranquillement, quand son portable dans sa poche se met à vibrer.
« Blaise a encore fait une connerie, à tous les coups. Allô ? fait-il en décrochant et en mettant le cellulaire à son oreille.
- J'ai pas envie de travailler, »lui répond une voix lasse.
Il rit.
- Et c'est pour ça que tu m'appelles, Harry ? Comme tu ne veux pas travailler, tu m'empêches moi de le faire ?
- Oh je peux toujours raccrocher...
- Je plaisantais, se rattrape le blond avec un sourire aux lèvres.
- T'as intérêt, Malfoy.
- Un souci, Potter ?
- Oui.
- Que vous arrive-t-il, princesse en détresse ?
- Espèce de connard, va. C'est toi la princesse. Je suis présentement sur Internet.
- Et donc ?
- Je pensais que ça t'intéresserait.
- En quoi ça pourrait m'intéresser ? A moins que tu ne regardes encore un de ces films vulgaires dans lesquels des gars même pas aussi bien foutus que moi baisent de la manière la moins naturelle qui soit, dopés au viagra ? » Un petit rire lui répond. « Harry, t'es quand même pas en train de mater un autre mec que moi, là ?
- Pas un, Draco. Deux. Je crois même que je vais en regarder trois, c'est plus excitant...
- Bon, j'arrive.
- Qu'est-ce qu'il faut pas inventer pour te faire venir...
- Quitte ce site.
- Et si j'en avais pas envie ?
- T'es si en manque que ça ?
- T'imagines pas.
- 'Ry, on l'a fait samedi, sans déconner.
- Ouais, il y a cinq jours, quoi. C'est long, hé, j'ai des besoins, moi !
- Même pas foutu de satisfaire son propre mec ! rit une une voix d'homme à côté d'Harry.
- J'y crois pas, Potter, tu mates un film de cul gay avec ton meilleur pote.
- Peut-être, mais il a raison.
- J'peux pas venir maintenant.
- Dommage...
- Désolé. Tu sais comment est mon père.
- Malheureusement, ouais... »
Draco soupire et s'appuie plus confortablement contre ses oreillers. La lumière a largement baissé, dans la pièce, et il est bientôt vingt heure. Comme pour confirmer ses pensées, une voix s'élève dans les escaliers, le priant de descendre dîner.
« Harry. Je dois aller manger. Tu m'en veux ?
- On se parle plus tard, alors ?
- Bien sûr. Je t'aime.
- Moi aussi. »
Il raccroche, pose son téléphone sur son bureau quand il se lève, et descend dans la grande salle à manger. Ses parents sont déjà attablés ; le jeudi soir est un des rares repas pendant lesquels ils font un point d'honneur à manger tous ensemble.
Il s'assoit en face de sa mère, alors que son père est en bout de table. Divers mets sont disposés sur la table, et Draco se sert un morceau de poulet.
« Alors, Draco. Tu t'es enfin trouvé un parti convenable ? demande son père en enfournant sa fourchette dans sa bouche avec élégance.
- Allons, Lucius, je suis persuadée que notre fils a trouvé ce cher Aaron tout simplement parfait pour lui, n'est-ce pas, chéri ? » intervient Narcissa. Lucius émet un rictus ironique. « S'il avait choisi de se mettre avec Aaron, Narcissa, il nous l'aurait présenté sans attendre. J'imagine que tu t'es trouvé un énième bâtard de sous-classe ?
- Surveille un peu ton langage, Lucius.
- Harry n'est pas un bâtard de sous-classe », réplique Draco sans le regarder, découpant minutieusement sa viande pour ne pas s'énerver.
Lucius hausse un sourcil moqueur, fixant son fils et son visage bien trop lisse pour qu'il ne ressente rien. Oh, il le connaît, maintenant, et il sait qu'il le met en colère.
« Et qui est Harry, si je puis me permettre ?
- Vous permettre, Père ? Vous le faites sans demander. Harry est mon petit-ami, je vous l'ai déjà dit.
- Il est dans la même fac que toi ? demand sa mère.
- Oui, et ça fait deux ans que c'est le cas.
- Que font ses parents ?
- Mère, ça fait plus d'un an et demi que nous ensemble, répond Draco en levant les yeux vers sa mère.
- Ça ne change rien au statut de ses parents, réplique Lucius en coupant un morceau de viande fumante.
- Il n'a plus de parents depuis qu'il a un an.
- Pauvre garçon, soupire Narcissa, faussement compatissante. Et pourquoi ne nous le présentes-tu pas, si cela fait plus d'un an et demi que vous êtes ensemble ?
- Pour la simple et bonne raison que je sais que vous allez le passer au crible, comme Colin. Et j'ai pas envie qu'il me quitte, comme Colin. »
Lucius lève les yeux au ciel.
« Ne sois pas mélodramatique, Draco. Nous voulons juste que tu te maries avec un bon parti. Si Crivey t'a quitté, c'est simplement parce qu'il était stupide.
- Non, il était amoureux de moi, rétorqu son fils en serrant un peu plus ses couverts dans sa main.
- Tout ceci est ridicule. Nous inviterons... Harry, » Lucius esquisse un rictus de dégoût. « demain soir.
- Mais –
- Fin de la discussion. »
Draco se retient de pousser un grognement de frustration et s'acharne sur sa viande pour évacuer sa colère.
Plus personne ne parle jusqu'à la fin du repas. Tous les jeudi se déroulent de la même manière, de tout façon. Lorsque le blond sort de table et retourne dans sa chambre, il soupire : Harry aura ce qu'il veut, en fin de compte, il va rencontrer ses parents.
Récupérant son téléphone, il compose le numéro de son petit-ami et se jette sur son lit, couché en travers, ses jambes pendant au-dessus du vide.
« Allô ? répond Harry au bout de quelques secondes.
- T'as gagné, tu vas rencontrer mes parents.
- Quoi, sérieusement ? s'extasie le brun à l'autre bout du fil. Mais c'est génial !
- Absolument fantastique, répond Draco, l'ironie suintant dans sa voix.
- Arrête d'être rabat-joie. Peut-être qu'ils vont m'apprécier ! Je suis quand même pas si pauvre que ça, je te rappelle, je peux la gagner, leur notoriété, si c'est ça qu'ils veulent ! Oh et puis j'suis quand même assez bien éduqué. Il faut que j'amène quoi, un bouquet de fleurs ? Quelle variété ? Non parce qu'il faut que je m'y prenne à l'avance. Et –
- Harry. Je ne veux pas que tu me quittes.
- Quoi ? Mais pourquoi je ferais ça, voyons ! C'est quoi, le souci, le bouquet de fleurs ? Je peux toujours amener une bouteille de vin.
- Ils vont te mitrailler de questions. Presque te torturer.
- Arrête d'être mélodramatique, rit son petit-ami. Ce ne sont pas des monstres, non plus.
- Presque.
- Ce sont tes parents. Moi je n'en ai plus, je te signale, alors respecte-les, au moins. Au fait, quand est-ce que je suis invité ?
- Demain soir. Tu... tu voudrais dormir chez moi, après ?
- Ça ne dérangerait pas ?
- Si je te le propose, Harry.
- J'aimerais beaucoup ! Merde, mais attends, demain soir ?! Tu aurais pu me le dire plus tôt ! »
Draco secoue la tête avec un petit sourire en sentant l'excitation de son petit-ami. Il ne se rend pas compte de ce que cela implique, d'être le petit-ami de Draco Malfoy. Surtout devant ses parents. Ces derniers ne plaisanteront sûrement pas sur leur vie sexuelle, comme l'a fait Sirius, le parrain d'Harry.
« Draco ? T'es toujours là ?
- Oui, oui. Tu ne devrais pas ramener ce bouquet de fleurs, Harry, il risquerait d'attérir dans la poubelle dès ton arrivée. Peut-être même qu'il ne passera pas le portail de sécurité.
- A ce point ? s'étonne le brun.
- A ce point. Tu ne me quitteras pas après ce fiasco ?
- Je suis sûr que tout va bien se passer, Dray. Tu te fais du souci pour rien, va. Tu sais bien que je t'aime.
- Mh. Moi aussi... » Il baille. « Je vais aller me coucher. On se voit demain ? Tu as cours à quelle heure ?
- Dix heures. Et toi ?
- Onze. On se retrouve pour manger, si tu veux ?
- Comme d'habitude ?
- Comme d'habitude, sourit le blond.
- D'accord. Bonne nuit...
- Bonne nuit, je t'aime. Et éteins-moi ce film de cul. »
L'autre rigole au bout du fil, et Draco, après avoir quitté ses vêtements, s'endort avec le sourire aux lèvres. Cette nuit-là, il rêve d'un étrange dîner pendant lequel ses deux parents sont transformés en tueurs à gage...
~Drarry~
Voilà le « premier chapitre » de ce qui devait être un OS. Je m'étonne un peu, ce n'est pas tellement mon genre, mais soit ! J'espère que vous aurez apprécié ce petit bout de fanfiction.
N'hésitez pas à me laisser une petite review pour me faire part de vos remarques, impressions et critiques. Oh et, des critiques constructives, bien sûr, nous ne sommes que des auteurs amateurs :')
Bonne soirée/journée à vous, merci d'avoir lu, en tout cas !
HiMaboroshi.
Onirybrius, je te dédie ce putain de chapitre. Parce qu'on est complémentaires, fusionnelles, que chaque disputes nous éloignent tout en nous rapprochant, paradoxalement, et que je t'aime fort fort. Ah, et que je t'affiche, là. Tu as honte de moi, c'est ça ? Héhé. Bref. Je te le dédie, quoi.
Avec tout mon putain d'amour.
EDIT DU 21/12/13 : je suis vraiment désolée pour tout ce temps sans update ! J'espère me rattraper très vite, je vous adore et merci pour toutes vos reviews !