auteur: et oui encore moi !!! Soshite est dans la place !!! XD
disclaimer: Sadie, Dir en grey et The GazettE n'appartiennent qu'à eux pour mon grand désespoire ToT
couple: à découvrir tout au long de la fic ^^
résumé: je part sur le principe de Frankeinstein. Un vieil homme à recueilli trois jeune garçons et à force d'expérience en à fait des 'monstres' d'après les villageois qui en ont peur s'en même les avoir jamais vu. Mais lorsque l'homme meurt, les rumeurs et la peur sont encore plus présente mais une bande de jeune ne comprennant leur parents et cette peur de la diffèrence et du nouveau qui reigne dans le village. Ils décident de se faire leur propore opinion en allant à la rencontre de ces soit disant monstres. Cette rencontre risque de changer leur vie.
Voilà alors comme d'hab c'est du yaoi, bonne lecture.
J'espère que vous aimerez ^^
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Il était une fois, il y a environ 17 ans, dans une petite ville à la campagne, très à l'écart de tout autres signes de vie humain, un vieux manoir en haut d'une coline. Dans celui-ci habitait un viel homme craint par les autres villageois. En effet celui-ci avait recueilli trois jeunes garçons en bas âge, il les avait élevés et fait des expériences sur eux. Il en avait fait des monstres d'après toutes les rumeurs qui circuler dans le village, mais personne ne les avaient jamais vu. Le vieil homme était le seul à sortir de la maison, le plus souvent pour achêter de quoi manger. A chaque fois que celui-ci sortait , la population se terrait chez eux. Seul les enfants avaient du mal à comprendre la situation. Mais maintenant il était mort, aucun villageois ne voulait l'enterré, alors ils le laissèrent à la porte du manoir, enfin pour les plus courageux car l'habitation fesait aussi peur que ses habitants.
Quelques jours plus tard le corps n'était plus là, les autres occupant avaent du s'en charger. Les habitants espérés ne pas voir débarquer les monstres au village, après tout leur réserve de nourriture aller sépuiser non ?
Les rumeurs battaient sans plein mais pourtant elles étaient loin d'être toutes vrai.
A l'interieur du manoir, un jeune homme aux cheveux blond-châtain, des yeux presque blanc, les ongles noires, habillé d'une tenue blanche dont le manches tombé légérement en lambo étant trop grande avec des fils de cuir pendant partout, regarder par une des fenetres de l'étage. Il avait la peau autour des yeux très sombre avec plusieurs faux diaments ancré sous l'oeil lui donnant un regard un peu effrayant.
Soudain une voix se fit entendre derrière lui.
-Hey Ruki qu'est-ce que tu fais là ?
Le dénommé Ruki se retrourna.
Un autre jeune blond ayant un regard sensiblement pareil le regarder. Il avait une tenue moins déchirée, une chemise blanche dont la fin des manches étaient un peu froufroutante, une veste et un pantalon noir, un tissu noir lui entouré le cou. On pouvait voir des morceau de fer dépassé de sous sa lèvre et son arcade droite, il avait aussi deux kanji marqué sur sa peau l'un au front l'autre au dessus du coeur.
-Tu va pas passer tes journées à scruter l'horizon. C'est pas ça qui le fera revenir.
-Ouai je le sais Kyo, mais c'est triste...on est tout seul maintenant...qu'est-ce qu'on va faire ?
-On va pas rester sans rien faire déjà, y'a presque plus de quoi manger, il faut agir. Moi je compte pas rester planté là à attendre !
-Ouai et qu'est-ce que tu veux faire Kyo hein ?! Tu sais très bien qu'on peut pas sortir, ojiisan nous a prévenu, les villageois ne nous aiment pas. Déjà pour lui c'était dur d'aller en ville pour aller faire simplement faire les courses. Alors imagine, nous, qu'ils considèrent comme des montres. D'après toi, qu'est-ce qu'ils pourraient faire ?
Soudain ils entendirent des sanglots derrière eux. A l'encadrement de la porte se trouver un autre garçon blond. Il avait lui aussi des morceau de fer sous la lèvre et à l'arcade gauche ainsi qu'au cou. Le tour de ses yeux était noir fesant ressortir ses yeux gris pâle. Lui aussi avait les ongles noires. Il portait une tenue noir avec des cercles de métal et des ficelles laissant voir quelques parties de son corps. Celui-ci avait des larmes qui coulaient sur ses joues.
-On est des monstres alors ? On va se faire tuer hein ? fit tristement le nouvel arrivant.
-Oh Mao excuse moi j'voulais pas t'effrayer ni te faire pleuré pardon, s'excusa Ruki.
-Oh Mao, aller viens là, Kyo le prit dans ses bras, pleure pas on est là et tu sais je serais toujours là pour te protéger. J'les laisseraient pas te faire du mal.
Mao cessa de pleurer et le regarda les yeux encore embrumés.
-C'est vrai ? Oh merci Kyo, fit-il en se blottissant contre lui. Mais alors...qu'est-ce qu'on va faire ?
-En tout cas je compte pas mourir de faim, j'ai besoin de manger, reprit Kyo.
-On va pas se manger entre nous, nan ? En tout cas je te mangerais jamais Kyo, fit Mao.
-Hey !
-Mais non toi non plus Ruki, je suis pas canibal quand même.
-Encore heureux qu'on le soit pas, fit remarquer le désigné.
-Mais en tout cas toi t'es craquant, annonça Kyo au blondinet se trouvant encore dans ses bras.
-Ah comme une pomme ?
-Mais non banane, dit Ruki le regardant un peu désespérement.
-Ah une banane ? ....mais non attend ça se peu pas ça c'est pas croquant une banane.
-Euh...non oubli se que je viens de dire, c'est pas important, continua Ruki.
-C'était une expression, lui fit Kyo.
-Ah bon mais ça veux dire quoi alors ? demanda Mao.
-Cherche pas...
-Maieuh...gniuuuu...
-Bon ben moi j'y vais, reprit Kyo.
-Euh...où ça ? questionna Ruki.
-Ben en ville aller acheter de quoi manger. Tu viens avec moi Mao ?
-Tu vas vraiment y aller ? s'étonna Ruki.
-Ben oui faut bien faire quelque chose. Alors Mao ?
-Euh...je....ça risque rien t'es sur ?
-Mais je suis là, ils te toucheront pas j'te promet.
-D'accord alors je viens.
-Tu veux pas venir Ruki ? demanda Kyo.
-Non surement pas je sais pas se qu'il y a là bas et je veux pas le savoir.
-Bon comme tu veux.
Les deux plus courageux xommencèrent à descendre la coline sous le regard inquiet du troisième. Celui-ci fit les cent pas de nombreuse minutes, ils étaient toujours pas revenu et si il leur était arrivé quelque chose ?Il hésita quelques secondes puis n'y tenant plus il courut pour descendre de la coline. Il ne suporterait pas de les perdre eux aussi. Il n'avait plus qu'eux après tout. Ruki les retrouva à la sortie du village, Kyo protégé de ses bras un Mao effrayer d'un groupe d'adulte les menaçant de diverses armes : couteaux, épées, fourches...Une fois arriver à leur niveau, il était tellement étonné de cette situation qu'il ne put rien dire.
-J'leur ai rien ffait Ruki j'te le jure, fit Kyo.
-Aller vous en ! crièrent-ils.
-On veux pas de vous ici ! fit une femme.
-Mais on voulait juste acheter de quoi manger, reprit Kyo.
-On s'en fout, vous êtes que des monstres vous auriez jamais du exister ! s'exclamèrent les villageois.
C'était très dur pour nos trois monstres d'entendre toutes ses choses là. Mao, caché derrière Kyo, ne pouvait arrêter ses larmes de couler.
Cacher dans une rue un groupe de jeune hommes regarder ce spectacle, malgrès les recommandations de leur parents. Ils ne les comprenaient vraiment pas, après tout les fameux monstres n'avaient rien fait. L'un d'eux portant un bandeau sur le nez regarder plus particulièrement celui ayant des diament sous les yeux. Mais à force d'insultes et de menace nos trois monstres finirent par retourner au manoir en courant. Les villageois furent soulager, enfin pour certains.
-Heureusement ils sont partis, fit un homme.
-Oui mais si jamais ils revenaient ? s'inquièta une femme. Ils sont bien descendu une fois.
Les discutions continuèrent sur ce sujet, certains imaginant les pires scénarios.
Au manoir, à peine rentré, ils fermèrent la porte à clé. Mao était effondré en larme dans les bras de Kyo. Celui-ci avait mis une mains dans ses cheveux tandis que l'autre carressait doucement le dos pour le rassurer.
-Chut Mao chut, aller calme toi, c'est rien on va trouver une solution.
-Je savais que c'était pas une bonne idée, dit Ruki.
-Excusez moi de vous avoir fait vivre ça pardon Ruki, pardon Mao.
-Non t'excuse pas, tu voulais juste te rendre utile, reprit Ruki.
-Ouai mais à cause de moi les villageois sont encore plus en colère contre nous.
-C'est pas grave, quoi qu'il arrive on restera ensemble jusqu'au bout, fit Ruki en les prenant dans ses bras.
De leur côté notre bande de jeune c'était réuni dans un cabanon un peu à l'écart de la ville.
-Bon il est où encore Aoi ? demanda le bandé.
-Ben chez lui, tu sais très bien qu'il obéi toujours à sa mère Reita et vu ce qui c'est passé tout à l'heure il doit être chez lui.
-Ouai ben c'est un peu énervant Kaoru. Qui veux aller le chercher ?
-Demanda à Uruha, lui il est souvent chez Aoi...
-Die !
-Ben quoi Uru c'est vrai.
Le désigné, qui était l'un des seul châtain, se mit à marmonner les joues rouges.
Soudain la porte s'ouvrit en grand sur un brun essouflé.
-Ey ben Aoi c'ets pas trop tôt, fit Reita.
-Euh excusez moi héhé.
-Bon c'est pas grave aller, continua le bandé.
-Oh y'a pas Kai, Aki, Tsuguri, Kei et Shinya ? demanda l'arrivant.
-Non ils ont pas put venir, lui renseigna un garçon nommé Mizuki.
-Oui mais eux ils ont une excuse au moins pas toi, dit Kaoru.
-Gngngngngn, bouda Aoi.
Cette bande d'amis était un peu les rebels du village. En effet ils en avaient marre d'avoir grandi dans la peur de leur parents pour un manoir et ses habitants.
-Ouai mais comme tu le disait tout à l'heure Die, tu remarquera que quand Kai n'est pas là Shinya non plus, fit Uruha pour se défendre.
-Tu chercherais pas une excuse là, fit un brun.
-Même pas vrai...tu dit n'importe quoi Toshiya, bouda Uru.
Aoi qui était à côté ne comprenait rien pourtant il était concerné.
-Et c'est quoi leur excuse pour pas être venu alor ? demanda-t-il.
-Tsuguri et Aki ont été choisis pour aller chercher du bois avec quelques hommes, commença Mizuki.
-Pour Shinya il aide sa mère à la maison, continua Kaoru.
-Kei, lui il travail avec son père dans les champs, finit Toshiya.
-Et Kai alors ? se demanda Aoi.
-Oh c'est pas grave on lui en veux pas de pas être venu car à chaque fois qu'il viens il emmene un truc à manger, reprit Die.
-Je savais pas qu'on pouvait t'acheter avec de la nourriture toi, fit Reita.
-Non même pas vrai.
-Oui on l'achête avec autre chose, dit Kaoru tout bas.
-OUi on m'achete avec autre chose....Hey ! Mais non !
Tout les autres rigolèrent qu'est-ce qu'il pouvait être crédule des fois.
Puis Die redevins plus serieux et demanda.
-Les gars, la difference ça vous fait pas peur ?
Les autres se regardèrent un peu surprit.
-Ben non tu le sais bien, on critiquerais pas nos parents sinon, commença Reita.
-Ouai c'est pour ça que tu porte ce bandeau, pour être different, dit Uruha.
-Oui sauf en présence de mes parents.
-Ben moi ça dépend...les monstres ça fait peur non ? fit Aoi.
-Aoi, tu les as pas vu t'as pas le droit de les juger, continua le bandé.
-Oui oui je sais oh...tu t'y interresse de près d'un coup toi, ça cacherais pas quelque chose ?
-Euh je...
-Hey ! On peut en revenir à moi ? reprit Die.
-Oui bien sur excuse les, dit Mizuki.
-Ah quand mêm.
-Ben vas y maintenant dis le, fit Toshiya.
-Voilà je voulais vous dire que j'aime Kaoru, finit par dire Die en embrassant le désigné.
Celui-ci se laissa faire, après tout c'était réciproque ils voulaient juste mettre au courant les autres. Aoi était devenu rouge et Uruha le regarda avec des yeux tentés.
-Félicitaion, dirent les autres.
-Merci, répondit Kao en se calant entreles jambes de son chéri.
-Le problème c'est pour le dire à nos parents, eux qui ont peur du nouveau et de la difference, comment vont-ils le prendre si on leur dit ? fit tristement Die en serrant un peu plus l'objet de ses désirs entre ses bras.
-T'inquiète nous on est là pour vous soutenir, dit Reita.
-Ouai bon parlons d'un truc plus interressant, vous l'avez fait ? C'était comment ?
-Toshiya ! s'exclama Mizuki indigné.
-Ben quoi ?
-Mais dit moi je savais pas que tu était interressé, fit Die en rigolant.
-Mais....mais non...même pas vrai, bégaya le désigné.
Les fous rire reprirent et ils continuèrent de nombreux sujet tous, pour la plupart, se raportant au village. A la fin de l'après midi ils durent se séparér, le lendemain ils se retrouvereiant ici.
Au manoir, l'heure du diner était arriver, nos trois monstres regardaient les réserves.
-Vu les réserves, si on se restrein au strict minimum, on devrait tenir deux semaines je pense, réfléchi Ruki.
-Si tu veux je veux bien te donner ma part Kyo, je sais que t'as besoin de manger, dit Mao.
-Non t'as pas à faire ça, il faut que tu manges, je veux pas te voir dépérir, tu en as plus besoin que moi, lui fit Kyo.
-Il a raison Mao tu doit manger, aller venez c'est moi qui fait le repas, reprit ruki.
Une fois le repas prêt et tous à table, Mao regarder son assiette encore remplis.
-Mao, mange s'il te plait...tu n'aime pas ? demanda le cuisinier.
-Si si, tu sais que j'aime se que tu cuisine mais j'ai pas faim...répondit le désigné en jouant avec la nouriture.
-Aller Mao s'il te plait mange un peu...j'vais quand même pas devoir te faire manger, fit Kyo.
-Euh p'tete...
-Mao...., désespéra Ruki, on s'inquiète, te fait pas du mal pour eux, aller mange.
-Bon d'accord, dit Mao.
Il réussi à finir son assiette sous le regard soulagé des deux autres. Ils finirent la vaisselle et décidèrent qu'il valait mieux se coucher tôt après ce qu'il venait de ce passer cette après-midi. Donc dès que la nuit tomba chacun alla dans sa chambre. Dans celle de Mao la lumière de la lampe de chevet était encore allumé et ce dernier était assis sur son lit sa tête poser sur ses genoux replié. Il n'arrivait pas à dormir. Il se leva donc et alla doucement dans le couloir où il pénétra dans la chambre de Kyo.
-Kyo....Kyo....tu dors ?
-Hum Mao qu'est-ce qu'il y a ça va pas ?
-Je...j'arrive pas à dormir...je...je peux dormir avec toi ? demanda-t-il timidement.
Kyo alluma la lumière et en leva la couverture.
-Aller viens...et dis à Ruki de rentrer aussi au lieu de rester devant la porte, fit-il en baillant.
Ce dernier ouvrit la port.
-Co...coment t'a su ?
-Un instinct, aller venez que je dorme en paix.
Ruki se colla du côté droit de Kyo alors que Mao prit le gauche. Ils s'endormirent ainsi quelques temps plus tard. Kyo sur le dos tenat sous son bras gauche un Mao qui avait la tête reposé contre son trose, légèrement en boule. Et son bras droit était tenu par Ruki qui le serrait contre lui.
Qui, en les regardant ainsi, si paisible, si vulnérable oserait les traités de monstres. Eux qui n'asspiraient qu'à des jours meilleurs, pouvoir vivre tranquillement malgrès leur différence. Mais pour l'instant cette différence fesait trop peur aux habitants, pourquoi avoir si peur de la nouveauté et de la difference ? Après tout ils étaient humain, non ?
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Et voilà fin du premier chapitre, j'espère qu'il vous à plut, laisser vos impressions, mes fics sont spéciales je sais ^^''
enfin j'espère que ça vous aura donner envie de savoir la suite
kisu kisu
