Disclaimer: Tous les personnages ne m'appartiennent malheureusement pas...
Note de l'auteur: Je me suis amusée à écrire cet OS étant donné l'amour (hum hum...) que je porte à Moira...qui n'aura jamais Charles ! *Part se cacher au lieu de dire des bêtises*
Allez, c'est le grand jour...Courage Moira.
Après avoir prise une grande inspiration, Moira se regarda une dernière fois dans le miroir de la salle de bain de sa chambre et en sortit. Aujourd'hui était un grand jour car elle comptait bien avouer à Charles combien elle pouvait être amoureuse de lui. Elle avait de forts sentiments pour lui depuis l'instant où elle l'avait rencontré dans le bar où il venait fêter son nouvel emploi de professeur de génétique et n'avait jamais trouvé le courage de le lui dire ce qu'elle éprouvait pour lui. Enfin jusqu'à maintenant. C'est donc pleine de courage que l'agente voulut quitter sa chambre mais se heurta a une problème de taille: la poignée de porte était coincée, et donc impossible a ouvrir.
-C'est pas vrai...Saloperie de porte !
Malgré ses efforts désespérés, la poignée resta obstinément coincée, l'enfermant dans sa chambre. Ce qui était très loin de lui plaire étant donné l'urgence de la situation. Et ni ses coups sur la porte ni ses injures envers elle-ne-savait-qui ne lui permit d'ouvrir cette foutue porte bloquée. Qui, comme elle le comprit soudain, n'était pas bloquée quand elle était entrée dans sa chambre. Or, une seule personne avait la capacité de bloquer la porte pour l'enfermer dans sa propre chambre. Personne qui l'appréciait autant qu'elle l'appréciait.
-ERIK LENSHERR !ESPECE D'ENFOIRÉ !
Un sourire sadique accroché aux lèvres, Erik se détacha du mur où il était appuyé et rejoignit en sifflotant la chambre qu'il partageait avec son amant, amant qui abandonna bientôt le livre dans lequel il était plongé pour une activité plus sportive que la lecture. Sa méthode pour mettre Moira MacTaggert hors d'état de lui nuire était peut-être tout ce qu'il y a de malhonnête mais sachant parfaitement les sentiments qu'elle éprouvait pour son adorable cobaye, il ne pouvait pas la laisser sortir de sa chambre. Disons jusqu'au soir où il comptait bien annoncer la relation non platonique qu'ils entretenaient tous les deux. Et le contrôleur de métal mourrait déjà d'envie de narguer l'humaine rien qu'embrassant Charles devant elle...
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