Texte en rapport avec mes fic's.
Si vous ne les avez pas lus, lisez les :P
Sinon, sachez qu'il s'agit de Voldemort et de la seule personne qu'il a aimer, ainsi que de leur fille.
Ce jour là, Amour.
Le jour ou Gryffondor et Serpentard on cohabiter, mon amour, tu étais si belle. Tu ne portais pas encore la tenue réglementaire, et tes doux cheveux bruns volait au vent. Tu portais cette jupe que j'aimais temps, même si je n'ai jamais osé te le dire. Tu étais simplement magnifique.
Je me souviens de se jour, ou le directeur est entrée dans le compartiment des Prefets en chef. Tu étais juste derrière lui, baissant le regard. Il ta laissé passé, et je me suis levé.
Je te connaissais bien, tu me haïssais plus que tout. Moi aussi je te haïssais. Mais plus a cet instant. A cet instant, tout ce que je voulais c'était que tu me regardes. Tu étais si belle, Amour.
Tu es entrée, toujours sans levée les yeux. Je t'ai a nouveaux hais pour ça. Pourquoi ne levais tu pas les yeux, Amour ?
Pourquoi ?
Le Directeur nous a laissé seules, et tu t'es assises, dignement, toujours sans me regarder.
J'ai commencé a te parler, a tenté de t'apprivoiser. J'étais, sot, Amour, de crois qu'un ange tel que toi me regarderais un jour.
Mais tu as levée les yeux, Amour. Et tes yeux bleus, presque de couleur acier, mon fixé.
Aujourd'hui, les miens sont rouges, sans pupilles. Mais je revois clairement les tiens, Amour.
Aujourd'hui, je suis laid, et repoussant. Toi, tu étais belle, charmante et inaccessible.
Aujourd'hui, Amour, je vais mourir. Toi, tu es déjà morte.
Mes erreurs ton tué, Amour.
Je n'aurais jamais du t'approcher, ce jour là, poser ma main sur la tienne, et plongé mes yeux dans les tiens.
J'aurais du garder mes distance, au lieu de me raprocher encore, pour te sentir contre moi.
J'aurais du, peut être, te tuer avant, mais je n'en ai pas eu le courage.
Ce sont elles, mes erreurs, qui ton tuée. Pas moi.
J'aurais voulu te garder en vie, Amour, vivre auprès de toi, mais mon âme étais déjà pourris, alors que nous nous aimions dans se compartiment de train.
J'aurais voulu que tu sois heureuse, comme tu le prétendais, Amour, mais tu ne l'étais pas, et le jour ou je les ai tués, Amour, ou j'ai tué cet homme et cet femme,dans le but de rester vivant, en tuant leur enfant, Amour, j'ai su que je t'avais perdue.
Je suis rentré.
Comment ? Nul ne le sait.
Mais je suis arrivé, a moitié mort. Tout se qui me retenait a la vie, c'était toi, Amour.
Pardonnes moi, Amour, Pardonne moi !
Je ne savais pas qu'elles te tuais en silence, sans que tu ne me dise rien !
Pardonnes moi !
Quand je suis arrivé, la maison était vide. Personne.
Je suis monté dans la chambre de notre fille. Personne, tu n'y étais pas, elle non plus.
Oh, Amour, j'aurais temps voulue te revoir !
Mais tu étais déjà loin, Amour.
Tu es morte, cette nuit là, dans la neige. Tu avais confié notre fille a Dumbledore.
Je le sais, Amour.
A l'instant ou la vie a quitté ton tendre corps, je suis mort, moi aussi.
Tout humanité et compassion mon quitté, ce jour là.
Quand je suis revenu a la vie, Amour, je n'avais presque aucun souvenir de toi.
Jusqu'au jour, ou, je me suis souvenu de notre fille.
Une vague de souvenir ma submergé, Amour, et tes yeux me sont apparu.
Mais c'était a nouveau trop tard, Amour.
Pourtant, Aujourd'hui, je pars. Tué par le fils Potter.
Les tués aura été, ma plus grosse erreur, Amour.
Mais je sais, que notre fille l'aime, et qu'il l'aime. Pourtant, je sais qu'elle ne sera plus heureuse.
Pourquoi ?
Je ne sais pas, Amour.
Je te rejoins vite, Amour.
T.E.J.L.V
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