Bonjour cette fan-fiction contient du lemon. Donc si il me demande de la retirée je le ferais sur le champ. SI vous n'aimez pas le yaoi, cette lecture ne vous est pas conseillée. Je m'excuse d'avance pour les fautes d'orthographe

J'aimais cet homme avec qui j'ai vécu mon premier amour. Même si dans ces pupille je pouvais voire les enfers. Je savais qu'il n'était pas net, qu'il n'était pas tout seul dans sa tête. Mais je pense que c'est pour ça que j'avais des sentiments pour lui. Son coter imprévisible fessait battre tellement mon cœur maintenant solitaire.

Mais un jour il s'est engueuler avec ces parents et il a pris un couteau. Le soir même il m'a appelait avec une voix toute tremblent et en me demandent de l'aide. C'était la premier et la dernière fois qu'il me demander de l'aide. Je me suis alors empresser d'aller chez lui et là j'ai découvert le carnage qu'il avait causé. J'étais aveugler par mes sentiment et je l'ai assisté pour faire disparaitre tout ça en fessant tout bruler. Puis je l'ai fait partir loin d'ici. Sans le savoir je venais de lâcher un fauve dans la nature, sans surveillance constante.

De puis il a disparu. Enfin j'ai entendu des rumeurs se l'on qu'on il y a un tueur en série qui se cacherai en forêt. Je sais pas si c'est lui, mais ce qui est sûr c'est qu'il doit faire attention à lui. Quant à moi je viens de finir mes études et je pars a la capital chercher du travail. Mais aussi pour quitter ce foutus petit village perdu au milieu de nulle part.

Alors que le soleil commencé à se lever j'étais en train de dire en revoir à ma seule famille, ma tante. J'étais à la fois heureux de partir d'ici et à la fois déçus de l'abandonner. Mais vus tout ce qui s'est passée ici j'ai besoin de tourner la page. Car depuis sa disparition ils n'ont pas arrêté de me martyriser, me faire souffrir. Il m'avait laissé tranquille juste qu'à son départ car il les fessait fuir avec son regard et son sourire démonique. Du coup une fois évaporer j'ai était la cible parfaite pour leurs moqueries et leurs crise de naire à répétition.

J'ai pris la veille voiture qui appartenait à mon oncle avant son décès. Et puis j'ai pris les petites routes qui sont plus belle et plus calme. Le trajet se passée bien quand soudain un énorme bruit est sortie du capo de la voiture et elle s'est arrêter brusquement. Je la poussa avec l'aide d'un conducteur qui passée à ce moment-là. Il téléphona au dépanneur le plus proche de la est-il du partir. Alors il me laissa planter là a rien faire. Le réseau ne passait pas et il commencer à faire nuit. Je m'approchai de la voiture pour me coucher dedans, quand soudain je sentie un lourd objet s'abattre sur ma tête.

Je me dis que mon moment a moi était venus que le tueur en série a dû me voir et ces dit cool une pauvres cible sans défense, qui n'est même pas sur ces garde. Je suis à ca merci comme ça, dans les vapes.

J'entrouvris les yeux et sentie qu'elle que chose de froid me couler sur les poignets. Puis je sentie quelque chose qui me retenter asie. Et seulement quand j'eux ouvris les yeux en entier je remarquai que j'étais asie sur une chaise les mains menotter dans mon dos a une chaise, ainsi que mes pied au pied de celle-ci. Il me fallut encore quelque minutes avant de m'habituer a la peigne ombre et que je le remarque lui qui avais disparut, évaporer dans la nature asie dans un coin de la pièce presque vide. Quand il remarqua que je commencer à m'agiter il se leva et posas son bouquin. Puis il s'approcha de moi, pour s'arrêter brusquement. Il me regarda longuement et il esquissa un petit sourire.

-« tu n'as pas changé d'un pouce, tu es encore super beau ».

-« merci, toi aussi ».je préfère rester prudent pour l'un ce tant je ne sais pas encore ce qu'il a prévus de me faire.

Il s'asie sur mes genoux et me smacka.

-« tu ne peux pas s'avoir à qu'elle point tu m'as manqué, ainsi que le toucher de nos lèvres et aussi celle de notre peau qui s'efflore ».

-« moi aussi tu ne peux pas savoir à quel point j'étais inquiète ».

-« alors pourquoi ta pas voulus venir avec moi ? ».

-« je suis désoler mais j'ai trouvé et je trouve toujours qu'il y a une trop grand barrière qui nous sépare et j'avais peur que à cause de cas on ne puis plus jamais se voir si je me rater en voulant escalader la barrière ».

-« tu aurais dû essayer, au moins tu ne te serais pas fait harceler ».

-« oui peut être que tu as raison ».

-« j'ai toujours raison ! ». dit-il avec un grand sourire.

Il se levas et allumas la lumière, si qui m'aveuglas quelque second avant que je voile une genre de caves entièrement bétonner. Il y avait un canapé lit, un petit frigo/congélateur, une énorme armoire, moi sur ma chaise au milieu de cette salle et une caméras pauser à ma droit de telle magnier à ce que l'on voile toute la pièce dans l'objectif. Il alluma la caméra et venu s'assoir à nouveau sur mes genoux.