Disclaimer : Les personnages appartiennent à JKR
Béta : Tania-Sama (fidèle au poste)
Genre : UA - un peu d'humour et beaucoup de romance yaoi
Couple : Harry/Draco
Rating : M (mais soft)
Résumé : Harry craque totalement pour Steve MC Queen. Il n'en revient pas de tomber un soir sur un homme qui a les mêmes cheveux blonds et le même sourire que son idole. Commence alors une histoire… chaotique.
TITRE : Le sourire de Steve Mc Queen
Chapitre 1
Harry Potter, sans vraiment savoir comment, se retrouvait installé dans un confortable fauteuil de cuir avec, dans les mains, un verre rempli d'une douteuse substance rose. Son ami Ron l'avait informé que ce cocktail « délicieux » était la spécialité du bar gay dans lequel il l'avait entrainé avec la complicité de sa petite amie Hermione.
Ils s'étaient connus au collège et étaient devenus rapidement inséparables, surnommés le trio d'or, par les autres élèves. Harry était orphelin et vivait chez son oncle et sa tante qui le détestait. Ron avait une famille géniale mais nombreuse… trop nombreuse… beaucoup trop nombreuse pour la taille de leur maison où il était impossible d'avoir le moindre moment de calme. Hermione étouffait sous la surprotection de parents dont elle était l'unique enfant et ils lui avaient coupé les vivres lorsqu'elle avait annoncé son intention de quitter leur domicile. C'est pourquoi, une fois le bac en poche, ils s'étaient installés, pour finir leurs études, dans un appartement en colocation qu'ils finançaient en cumulant plusieurs petits boulot. Ils avaient beaucoup travaillé et les occasions de s'amuser avaient été rares.
Alors en ce grand jour, où Harry et Hermione avaient été acceptés comme avocats stagiaires chez Dumbledore et McGonagal, avec, cerise sur le gâteau un salaire à peu près décent, ses deux amis avaient décidé qu'il devait faire la fête toute la nuit et succomber aux plaisirs de la chair. C'était, soi-disant pour son bien, mais Harry pensait plutôt qu'ils avaient envie de s'installer ensemble puisque ça faisait quand même trois ans qu'ils étaient en couple, et qu'avant, ils voulaient le caser pour s'en aller l'esprit en paix. Ils avaient scrupule à le laisser seul malgré le nombre incalculable de fois où il leur avait assuré qu'il était parfaitement capable de se débrouiller sans eux.
Harry s'ennuyait fermement pendant que Ron et Hermione se trémoussaient avec la grâce de canards sortant de la mare sur la minuscule piste de danse où résonnait une chanson de la période disco de Sheila. Pitoyable. Hermione avait décrété que puisqu'il était gay et incapable de se remuer le cul pour trouver quelqu'un, il devait fréquenter des endroits où il serait sur de trouver chaussure à son pied. Ron avait trouvé cette idée géniale mais il faut dire que depuis l'adolescence, il avait la fâcheuse tendance de prendre tout ce qui sortait de la bouche d'Hermione pour parole d'évangile. Harry n'en revenait pas qu'ils osent lui faire des reproches alors qu'ils avaient mis dix longues années pour comprendre qu'ils étaient fous l'un de l'autre.
Harry savait très bien qu'il ne trouverait pas chaussure à son pied dans ce bar. La seule chose qu'ils avaient en commun était d'être des hommes qui préféraient les hommes, mais la plupart d'entre eux ne cherchaient qu'un coup d'un soir et ce n'était pas… plus… ce que voulait Harry.
Il avait découvert son homosexualité à 14 ans, en même temps que Steve Mc Queen dans « Au nom de la loi », un vieux feuilleton des années 60. Dés qu'il était apparu sur l'écran, il avait été fasciné par sa blondeur, ses yeux clairs et limpides (même si c'était impossible d'en connaître la couleur puisque le feuilleton était en noir et blanc), ses traits impassibles et surtout le sourire narquois qui transformait son visage et donnait une envie immédiate de le faire disparaître en posant ses lèvres dessus.
Tout son corps avait frissonné et le désir l'avait terrassé pour la première fois. Ce jour là, il avait décidé qu'il partagerait un jour sa vie avec un homme qui lui ferait ressentir la même chose. Un homme avec le même sourire que Steve Mc Queen.
Il avait 25 ans et les exigences corporelles étant ce qu'elles étaient, il avait expérimenté plus d'une fois, n'en déplaise à Hermione, les coups d'un soir. S'il en était satisfait pendant la nuit, il se réveillait le matin avec un profond dégoût de lui-même et la sensation de tromper son homme idéal. Il avait donc pris la décision ferme et définitive d'arrêter.
Il était donc intimement convaincu qu'il allait passer toute sa soirée dans son confortable fauteuil, à siroter le cocktail qui était finalement assez bon, tout en calculant le temps qu'il devrait rester pour que ses amis le laissent tranquille. D'ailleurs, il était prêt à se teindre les cheveux en rose s'il couchait avec quelqu'un ce soir.
C'était ce qu'il pensait jusqu'à ce que son regard tombe sur une magnifique chevelure d'un blond pâle qui ornait la tête d'un inconnu assis de dos à quelques tables de lui. Il essaya d'en détourner les yeux et de replonger dans la contemplation de ses deux amis toujours aussi ridicules. Mais quelque soit la volonté qu'il mettait à regarder ailleurs, il dût s'avouer rapidement vaincu. Cette chevelure d'or pâle l'attirait irrésistiblement et il aurait volontiers donné un bras pour voir le visage qui allait avec.
« Harry… HARRY ! »
Il lui fallut plusieurs secondes pour réaliser que ses deux amis, rouges et échevelés, étaient de retour à leur table et qu'Hermione essayait désespérément d'attirer son attention.
« Oui » répondit-il à en ramenant à regret les yeux vers son amie qui lui souriait tendrement.
« Qu'est-ce qui te rend aussi rêveur ? »
Harry se sentit rougir, il fallait absolument qu'il cache sa fascination à Hermione parce que sinon elle allait se débrouiller pour le forcer à parler à cet homme et c'était hors de question. Il n'avait pas envie de se ridiculiser car il était accompagné par un type absolument magnifique, de ce que pouvait en voir Harry. Grand, la peau sombre, de magnifiques yeux noirs en amande, un air sur de lui… Enfin bref, le genre de type en face duquel il n'avait aucune chance.
« Je suis juste un peu fatigué, Hermione. Tu sais avec les examens, l'idée de commencer un nouveau boulot dans une semaine et tout ça… »
Hermione le regardait fixement avec l'air de ne pas le croire du tout et Ron, en voyant l'embarras de son copain se hâta de détourner son attention.
« Au fait, ma puce, lorsque j'ai été voir mes parents pour leur dire qu'on dormait chez eux ce soir parce que c'était plus près de l'aéroport, les jumeaux m'ont proposé de nous emmener en voiture. Ça nous évitera de payer un taxi »
« Tu es sur qu'on peut compter sur eux ? Tu sais à quel point Fred et George sont immatures, même s'ils ont deux ans de plus que toi »
« Ils se comportent les trois quart du temps comme des sales gosses mais on peut leur faire confiance lorsqu'ils promettent quelque chose. Ils ne nous ont jamais fait faux bond, que je sache ! »
Le ton de Ron montrait son agacement face à la méfiance de sa petite amie. Harry comprenait Ron pour qui la famille était sacrée et c'était vrai qu'ils pouvaient toujours compter les uns sur les autres, mais il comprenait aussi Hermione qui avait du subir les farces des jumeaux qui voulaient vérifier qu'elle était digne de leur frère. Il décida donc sagement de ne pas se mêler de cette conversation, ce qui n'empêcha malheureusement pas Hermione de s'attaquer à lui.
« Dis-moi, Harry, puisque tu as l'appartement pour toi tout seul cette nuit, pourquoi ne pas aller inviter cette magnifique tête blonde que tu perces de ton regard concupiscent depuis tout à l'heure? » dit, avec un sourire sadique, la peste qui servait de meilleure amie au pauvre Harry Potter qui ne put que penser, merde, elle m'a grillé.
Harry lui fit son plus magnifique œil noir qui voulait clairement dire qu'elle n'avait pas intérêt à se mêler de ça sous peine de représailles musclées et que sa suggestion, digne d'une grande perverse, n'avait aucune chance d'être retenue.
« Je voulais dire à danser, Harry… puisque tu n'as pas besoin de rentrer avec nous, tu peux rester plus longtemps et l'inviter à danser… » répondit Hermione au regard noir, d'un ton innocent qui sous-entendait, je ne vois vraiment pas ce que tu as pu imaginer d'autre!
Harry renonça. La peste avait l'avantage de naissance d'être une fille et les filles étaient beaucoup trop douées pour lui au jeu du chat et de la souris. Il finissait systématiquement dans la peau de la souris. Il se contenta d'un soupir dédaigneux pour bien montrer qu'il ne s'abaisserait pas à rentrer dans ce petit jeu débile et se renfonça dans son fauteuil tout en ne pouvant pas s'empêcher de continuer à jeter des regards furtifs à la tête blonde.
Il le savait pourtant qu'Hermione ne renonçait jamais lorsqu'elle s'était mis une idée en tête, pourtant il mit deux bonnes minutes à comprendre lorsqu'elle se leva d'un bond quelques minutes plus tard en hurlant, « vite Ron, prend les verres, moi je prends l'empoté ».
Elle attrapa le bras d'Harry pour le tirer sans ménagement vers une table qui venait de se libérer et elle le jeta dans un fauteuil encore chaud des fesses qui l'occupait même pas une demie seconde avant.
C'est seulement lorsqu'il vit Ron s'asseoir en transportant avec précaution leurs trois cocktails qu'il réalisa que son fauteuil était placé juste derrière celui de la chevelure blonde parfaite et que son cœur s'emballa, ce qui eut comme effet secondaire de faire sortir une idiotie de sa bouche.
« Je ne suis pas un empoté et je n'ai pas besoin de toi pour draguer! »
Evidemment, il avait parlé trop fort.
Evidemment, Hermione leva les yeux au ciel en prenant une mine désespérée.
Et évidemment, il prit la teinte d'une tomate bien mure, qui empira encore, ce qui semblait a priori impossible, lorsqu'il sentit un mouvement dans son dos. Pour stopper la combustion spontanée de ses joues, Harry se concentra sur l'idée qu'il ne devait à aucun prix se retourner et que de toute façon, le visage qui accompagnait la chevelure blonde n'allait surement pas lui plaire.
Sa résolution ne tint que le temps de sentir quelqu'un tapoter son épaule.
Il se retourna au ralenti, le cœur battant à cent à l'heure, pour tomber sur des yeux gris aciers qui se plantèrent résolument dans les siens, un nez droit légèrement pointu dans un visage triangulaire mais néanmoins masculin qui ne laissait filtrer aucune émotion.
M.A.G.N.I.F.I.Q.U.E.
Mais le point de non-retour fut atteint par Harry au moment où un des bords de la mince bouche rosée se tordit en un sourire ironique à la Steve Mc Queen.
Il était foutu et il le savait. Fait comme un rat. Livré pieds et poings liés à un inconnu sans possibilité de reprise ou d'échange.
« Je suis partant pour devenir votre preuve à charge… » dit le blond en levant un sourcil suggestif.
Harry était totalement sous le charme de cette voix sensuelle et, parti dans son petit monde, sortit une réplique parfaitement intelligente et spirituelle.
« Hein? »
Il se mit immédiatement à rougir de son éloquence parfaite mais le blond ne sembla pas s'en formaliser.
« Je suis volontaire pour prouver à votre amie que vous n'êtes pas un empoté et que vous pouvez draguer tout seul ».
En temps normal, un type aussi suffisant et fringué avec des vêtements de marque aurait tapé sur les nerfs d'Harry qui l'aurait immédiatement envoyé promener.
Mais voilà, ce blond avait le sourire de Steve Mc Queen, alors…
« Chez toi ou chez moi? » répondit-il avec son plus beau sourire charmeur.
Le blond éclata de rire et c'était la plus jolie chose qu'Harry n'ait jamais entendu. Plein de petits papillons multicolores se mirent à danser la samba dans son ventre. Son sourire s'élargit encore un peu plus.
Le blond se rapprocha et colla sa cuisse contre celle d'Harry qui se mit à picoter et à frissonner. Il tendit la main avec l'intention manifeste de se présenter mais Harry posa un doigt sur ses lèvres. Il ne voulait pas apprendre que son fantasme sur patte s'appelait François Pignon. Ils auraient tout le temps de faire connaissance plus tard, pour l'instant, il voulait juste préserver la magie de cette rencontre.
« Chut. Pas de nom… Juste du désir »
Les yeux aciers s'assombrirent et les lèvres s'entrouvrirent juste assez pour qu'une langue coquine vienne toucher l'index envahisseur qui se retrouva en un instant léchouillé et mordillé alors que les yeux aciers devenaient franchement lubriques. Et la sexy voix rauque chuchota, « chez toi ».
En trente secondes chrono, Harry était debout et entrainait son amant blond, enfin très prochain amant blond, vers la sortie.
« Tu ne dis pas au revoir à tes amis? »
« Quels amis? » répondit Harry sans se retourner alors qu'Hermione le regardait partir avec un grand sourire aux lèvres.
A peine arrivés sur le parking, le blond l'attira contre lui et planta ses yeux, devenus argentés à la lueur blafarde des réverbères, dans les siens comme en attente d'un accord. Mais Harry était bien incapable de parler, il était ravagé par un désir incontrôlable, jamais il n'avait autant voulu un homme. Son odeur l'enivrait, ses yeux le paralysaient, il était une souris hypnotisé par un serpent et il fit la seule chose qui lui sembla sensée à cet instant en goutant au fruit défendu. Il venait de sacrifier sa place au paradis pour gouter la pomme que lui tendait cet irrésistible serpent. Il accrocha ses mains à la taille du blond pour le rapprocher de lui puis il posa ses lèvres sur les siennes pour enfin succomber à leur goût inimitable.
Tandis que leurs langues jouaient ensemble, il retrouva ses esprits juste le temps de se demander si ses yeux verts s'accorderaient avec des cheveux roses.
Le trajet jusqu'à son appartement resta assez flou dans l'esprit d'Harry. Il remarqua à peine que le blond avait une superbe voiture du même gris métallisé que ses yeux mais il serait bien incapable d'en dire la marque. Il gardait les yeux fixés sur le conducteur qui se concentrait tant bien que mal sur la route. Il n'avait jamais autant désiré quelqu'un, il en arriverait presque à croire au coup de foudre.
A peine la porte refermée, ils s'étaient jetés l'un sur l'autre comme deux assoiffés sur une oasis en plein désert. Pour étancher sa soif, il s'abreuvait directement aux lèvres de sa conquête tout en le conduisant maladroitement vers sa chambre.
Ils firent une première fois l'amour sauvagement, puis une fois la passion assouvie, ils recommencèrent avec plus de tendresse, en prenant le temps de découvrir le corps de l'autre. Chaque courbe, chaque point sensible.
Et pour la première fois depuis ses quatorze ans, Harry s'endormit sans une pensée pour Steve Mc Queen et avec la ferme intention d'apprendre à connaître son magnifique amant et d'approfondir leur relation. Il se redressa brusquement pour lui demander son prénom mais il dormait déjà, alors Harry se contenta de déposer un baiser léger sur ces lèvres qui lui avait donné tant de plaisir. Ils auront tout le temps de faire connaissance demain.
A son réveil, Harry se sentait heureux, comblé et prêt à voir la vie en rose. Il tendit un bras pour trouver l'être merveilleux auquel il devait un si bon réveil mais son bras ne rencontra que du vide. Pris d'un horrible doute, il se releva d'un coup et ouvrit les yeux pour découvrir que son lit était désespérément vide. Un coup d'œil circulaire et rapide dans la chambre lui apprit qu'elle était tout aussi vide de toute présence d'un blond platine.
Il voulut se lever rapidement mais perdit quelques secondes à se dépêtrer des draps dans lesquels il était entortillé puis il courut dans les autres pièces, y compris les toilettes, mais elles étaient toutes vides. Le blond était parti.
Il s'assit essoufflé et désespéré à la table de la cuisine en essayant de se persuader qu'il y avait une explication logique à cette absence, il savait avec certitude que le blond avait autant apprécié cette nuit que lui. Peut-être qu'il était parti acheter des croissants… Cette idée lui donna de l'espoir et il leva les yeux pour tomber sur un carré rose collé sur le frigo.
Un post-it.
Il était certain qu'il n'était pas là hier mais sa myopie l'empêchait de distinguer ce qui était écrit dessus. Un sourire vint éclairer son visage à l'idée que le blond lui avait laissé son numéro de téléphone et qu'il était parti à cause d'un rendez-vous urgent qu'il ne pouvait pas rater. Le cœur battant, il arracha le petit papier rose, et là son cœur se brisa en mille morceaux.
Il est préférable d'en rester là.
Même pas merci pour cette nuit que je n'oublierai pas ou toute formule qui aurait pu adoucir le choc.
Pouvait-on tomber plus bas? L'homme qui l'avait conduit au septième ciel, celui qui lui avait fait croire au coup de foudre, celui qu'il avait pris pour l'homme de sa vie… venait de le larguer par post-it.
Existait-il une façon plus cruelle de rompre? Même un SMS, on pouvait y répondre et faire passer sa frustration. Non, décidément rien ne pouvait être aussi cruel et dédaigneux que le post-it. Un petit carré rose qui détruisait tout espoir. Qui vous rappelait que vous étiez un moins que rien qui ne méritait pas d'être aimé.
Harry se dirigea comme un automate vers sa chambre et se roula en boule dans son lit sans même réussir à pleurer pour se soulager. Il attrapa son vieux lapin en peluche, seul souvenir des jours heureux où ses parents étaient vivants et dont il ne se rappelait même pas. Mais même son doudou, qui l'avait réconforté plus d'une fois quand le manque d'amour était trop dur à supporter, ne pouvait rien faire pour soulager l'immense douleur qui l'avait envahi.
Il voulait juste dormir… dormir longtemps pour ne plus ressentir.
A suivre
Le bonus de Tania (qui a très mal pris l'attitude de Draco!)
Un sourire vint éclairer son visage à l'idée que le blond lui avait laissé son numéro de téléphone et qu'il était parti à cause d'un rendez-vous urgent qu'il ne pouvait pas rater. (J'y crois pas non plus malheureusement ! trop horrible !)
Il est préférable d'en rester là. (enflu***** le salo***** sale merd**** *%µ$£¤& !)
Même pas merci pour cette nuit que je n'oublierai pas ou toute formule qui aurait pu adoucir le choc. (Grave ! la brute épaisse, sans cœur ! mister glaciaire ! homme des cavernes !)
l'homme de sa vie… venait de le larguer par post-it. (trop cruel ! je m'en va te lui dire ma façon de penser a ce malotru !)
A suivre (j'espère que harry va le retrouver et lui foutra le magistral et digne coup de poing qu'il mérite l'autre rustre des cavernes !)
Rendez-vous la semaine prochaine pour voir si le vœu de Tania se réalise…
