Coucou revoilà la folle. !!
Bon. Par où commencer.
NEVILLE ET LES AUTRES ILS SONT PAS A MOI ! ! ! ! [ sauf harry Potter, que j'ai inventé de toutes pieces et je peux dire , sans me vanter que j'ai vraiment fait du bon travail et que je mérite plein plein de rewiew. comme ça « je mens » bien sur que je ne mens pas. je ne mens jamais moi.'mon nez s'allonge. Bizarre bizarre.' peut- être que j'ai un tout petit peu menti, mais de toutes facon, JKR elle s'en sert plus du petit potter. je peux le prendre. Ah non ? je le prends je le torture et je le rends ? bon, Bon d'accors.. Mais c'est seulement parce que c'est vous ! ( et que je suis d'une gentillesse sans égal sur cette terre 'Aïe ! ça fait mal ! qui m'a giflé ???' )]
Et si pour une fois, vous croiyez en moi.
CHAPITRE 1 : un trou au milieu du c?ur.
Neville Londubat. Il s'appelait Neville Londubat. Mais, qui pouvait le savoir ?.
C'était ça dernière année à poudlard et pourtant, il était sûr que la moitié de ses compagnons Gryffondor ignorait son existence. Même ces « amis » ne semblait pas se soucier de lui. Hermione, Ron, Harry, Ginny, Dean, Seamus, Fred, George... Et tout les autres. Même Malfoy ne se souciait plus de lui. Pourtant, il aurait voulait être insulté, méprisé par tous les Serpentards, juste pour se sentir vivant. Juste pour être sûr qu'il n'était pas un fantôme, comme pour savoir qu'il n'était pas une simple imagination de son propre esprit.
Il s'apellait Neville Londubat. Mais qui voulait le savoir ?
Cette question pénétrante et tranchante comme la lame du couteau le plus affuté hantait son esprit, depuis tant de nuits déjà qu'il n'était plus sûr d'en connaître le sens. Elle lui faisait mal. Plus mal que toutes les autres réunies. QUI voulait le savoir ? Qui ?
Qui pouvait se douter des secrets qui se cachaient en lui ? Qui aurait pu se douter des secrets qui se cachaient en lui ? Réponse : tous ceux qui l'écoutent. Mais voilà. Personne ne s'en doutait.
Tout le monde préférait se soucier des malheurs d' Harry Potter. Bien sur, il été le Survivant. Bien sur, il serait bientôt le Sauveur. Mais ce n'était pas pour ça que Neville lui en voulait. C'était de l'attitude des autres envers lui que Neville était jaloux. A Harry on disait toujours :
« Ce n'est pas trop dur. ne jamais avoir connu ses parents, n'avoir aucuns souvenirs d'eux ? »
Mesquine ironie du sort. Neville,lui, aurait préféré ne garder aucun souvenirs de mes parents. Il aurait préféré qu'ils soit morts tous les deux. Il aurait préféré savoir qu'ils n'avait pas connu d'autre douleur que celle de leur cher enfant arraché à leur c?ur.
Et pourtant. Et pourtant, Lord Voldemort leur avait fait subir le sortilège Doloris. A tous les deux. Au début le Seigneur des Ténèbre avait confié cette tâche à quatres de ses fidèles Mangemorts. Mais Le plaisir n'était pas assez fort. Pas assez exitant. Alors, il avait fait venir devant le couple d'Aurors, et les avait torturé. jusqu'à ce que mort s'en suive ? Non. Voldemort est bien trop cruel pour ça. La mort était, selon le Seugneur des Ténèbres, un chatiment trop doux pour deux personnes qui avaient, non seulement refusés de s'allier à lui, mais qui essayaient de le tuer. Ou du moins, de l'empêcher de nuire. De l'empêcher de détruire tant de familles. Comme celle d'Harry Potter.
Les souvenirs de Neville n'étaient que trop clairs, il n'arrivait pas à effacer ces horribles images de sa tête.
Sa mère, habillé en moldue multicolore, parlant au miroir. Essayant en vain de lui faire dire quelque chose. Comme si elle lui apprenait à parler.
Son père, muni pour seule arme d'une Gazette du Sorcier roulé, lancant des sort inexistant.
Il entendait encore la voix de son père résonner dans sa tête.
« plis mordicus ! villilatum ! perlumata ! »
Tous ces souvenirs qui composaient pour Neville pire qu'une réelle crainte ; une terreur.
La peur de sombrer dans l'oubli. Dans un royaume où même les morts ne sont jamais arrivés. Car si, même ses parents ne pouvaient plus se souvenir de lui, qui le ferait ? Qui penserait à lui le jour de sa mort.
Même s'il ne voulait pas se l'avouer, neville Londubat était jaloux. Jaloux d'Harry Potter, a qui tout le monde songeait avec peine. Il connaissait la raison de cette peine. Une cicatrice ; Une simple et fine petite cicatrice en forme d'éclair. Neville aussi avait une cicatrice. Une bien plus grande, une bien plus grave, Neville avait une cicatrice au milieu du c?ur.
Oui oui je sais que c'est cour je le sais bien.
Je sais pas si il y aura une suite. mais si vous êtes très très très très très très. ect. gentil. à peu près autant que moi.' Aïe ! deuxième baffe mais bordel c'est qui ???' et que vous m'envoyez plein plein plein plein plein plein plein plein plein plein plein plein plein plein plein. de rewiew. je continuerai à martyriser les pauvre personnages de JKR. Hésité pas à m' envoyer une rewiew pour me dire que c'est nul à chier. merci. !!!
Bon. Par où commencer.
NEVILLE ET LES AUTRES ILS SONT PAS A MOI ! ! ! ! [ sauf harry Potter, que j'ai inventé de toutes pieces et je peux dire , sans me vanter que j'ai vraiment fait du bon travail et que je mérite plein plein de rewiew. comme ça « je mens » bien sur que je ne mens pas. je ne mens jamais moi.'mon nez s'allonge. Bizarre bizarre.' peut- être que j'ai un tout petit peu menti, mais de toutes facon, JKR elle s'en sert plus du petit potter. je peux le prendre. Ah non ? je le prends je le torture et je le rends ? bon, Bon d'accors.. Mais c'est seulement parce que c'est vous ! ( et que je suis d'une gentillesse sans égal sur cette terre 'Aïe ! ça fait mal ! qui m'a giflé ???' )]
Et si pour une fois, vous croiyez en moi.
CHAPITRE 1 : un trou au milieu du c?ur.
Neville Londubat. Il s'appelait Neville Londubat. Mais, qui pouvait le savoir ?.
C'était ça dernière année à poudlard et pourtant, il était sûr que la moitié de ses compagnons Gryffondor ignorait son existence. Même ces « amis » ne semblait pas se soucier de lui. Hermione, Ron, Harry, Ginny, Dean, Seamus, Fred, George... Et tout les autres. Même Malfoy ne se souciait plus de lui. Pourtant, il aurait voulait être insulté, méprisé par tous les Serpentards, juste pour se sentir vivant. Juste pour être sûr qu'il n'était pas un fantôme, comme pour savoir qu'il n'était pas une simple imagination de son propre esprit.
Il s'apellait Neville Londubat. Mais qui voulait le savoir ?
Cette question pénétrante et tranchante comme la lame du couteau le plus affuté hantait son esprit, depuis tant de nuits déjà qu'il n'était plus sûr d'en connaître le sens. Elle lui faisait mal. Plus mal que toutes les autres réunies. QUI voulait le savoir ? Qui ?
Qui pouvait se douter des secrets qui se cachaient en lui ? Qui aurait pu se douter des secrets qui se cachaient en lui ? Réponse : tous ceux qui l'écoutent. Mais voilà. Personne ne s'en doutait.
Tout le monde préférait se soucier des malheurs d' Harry Potter. Bien sur, il été le Survivant. Bien sur, il serait bientôt le Sauveur. Mais ce n'était pas pour ça que Neville lui en voulait. C'était de l'attitude des autres envers lui que Neville était jaloux. A Harry on disait toujours :
« Ce n'est pas trop dur. ne jamais avoir connu ses parents, n'avoir aucuns souvenirs d'eux ? »
Mesquine ironie du sort. Neville,lui, aurait préféré ne garder aucun souvenirs de mes parents. Il aurait préféré qu'ils soit morts tous les deux. Il aurait préféré savoir qu'ils n'avait pas connu d'autre douleur que celle de leur cher enfant arraché à leur c?ur.
Et pourtant. Et pourtant, Lord Voldemort leur avait fait subir le sortilège Doloris. A tous les deux. Au début le Seigneur des Ténèbre avait confié cette tâche à quatres de ses fidèles Mangemorts. Mais Le plaisir n'était pas assez fort. Pas assez exitant. Alors, il avait fait venir devant le couple d'Aurors, et les avait torturé. jusqu'à ce que mort s'en suive ? Non. Voldemort est bien trop cruel pour ça. La mort était, selon le Seugneur des Ténèbres, un chatiment trop doux pour deux personnes qui avaient, non seulement refusés de s'allier à lui, mais qui essayaient de le tuer. Ou du moins, de l'empêcher de nuire. De l'empêcher de détruire tant de familles. Comme celle d'Harry Potter.
Les souvenirs de Neville n'étaient que trop clairs, il n'arrivait pas à effacer ces horribles images de sa tête.
Sa mère, habillé en moldue multicolore, parlant au miroir. Essayant en vain de lui faire dire quelque chose. Comme si elle lui apprenait à parler.
Son père, muni pour seule arme d'une Gazette du Sorcier roulé, lancant des sort inexistant.
Il entendait encore la voix de son père résonner dans sa tête.
« plis mordicus ! villilatum ! perlumata ! »
Tous ces souvenirs qui composaient pour Neville pire qu'une réelle crainte ; une terreur.
La peur de sombrer dans l'oubli. Dans un royaume où même les morts ne sont jamais arrivés. Car si, même ses parents ne pouvaient plus se souvenir de lui, qui le ferait ? Qui penserait à lui le jour de sa mort.
Même s'il ne voulait pas se l'avouer, neville Londubat était jaloux. Jaloux d'Harry Potter, a qui tout le monde songeait avec peine. Il connaissait la raison de cette peine. Une cicatrice ; Une simple et fine petite cicatrice en forme d'éclair. Neville aussi avait une cicatrice. Une bien plus grande, une bien plus grave, Neville avait une cicatrice au milieu du c?ur.
Oui oui je sais que c'est cour je le sais bien.
Je sais pas si il y aura une suite. mais si vous êtes très très très très très très. ect. gentil. à peu près autant que moi.' Aïe ! deuxième baffe mais bordel c'est qui ???' et que vous m'envoyez plein plein plein plein plein plein plein plein plein plein plein plein plein plein plein. de rewiew. je continuerai à martyriser les pauvre personnages de JKR. Hésité pas à m' envoyer une rewiew pour me dire que c'est nul à chier. merci. !!!
