Kiss me

Disclaimers : les personnages de fruits basket ne m'apartiennent pas... je ne le dis maintenant et j 'éviterais je pense de le redire parce que ça me fout assez les boules comme ça. S'ils étaient à moi... je changerais quelques trucs...

Cette histoire contient des spoilers (des révélations des chapîtres de Fruits basket pas encore traduit du japonais), pas mal d'ailleurs mais ne prenait tout de même pas tout à la lettre, ceci est une histoire de mon invention alors je fais ce que je veux.

Et AKITO EST UNE FEMME, ça c'est la vérité et les sentiments de Shiguré à son égard semblent en forte concordance avec le fil de l'histoire..... enfin j'arrête de tout révéler.

Et Kureno et Akito couchent vraiment ensemble alors ne m'envoyez pas des reviews du genre « wouah même pas vrai d'abord ! ».. ben si. Si quelqu 'un a besoin de preuve sur tout ce que je dis, je lui envoie des images.

Cela fait maintenant plusieurs années que je n'ai pas touché à cette histoire et en la relisant, j'ai voulu l'améliorer et la continuer. Biensûr le manga est terminé maintenant, j'ai donc du faire quelques changements afin de coller au derniers chapître.
La fic se passe après les épisodes du chapître 97 (donc Akito est une femme) et le chapître 101 -- ShigureXAkito et KurenoXAkito
Je ne change pas les autres pairings, pas pour cette histoire en tout cas.

Heureuse d'être de retour!

Enjoy!

Désolé de ne pas avoir continuer plus tôt, je voudrais m'excuser au près des personnes qui me lisaient.


Kureno POV

Elle est là, devant moi, à genoux sur le tatami de sa chambre sombre. Une fois encore elle a refusé que les servantes ouvre les fenêtres. Malgré l'obscurité, je distingue ses doigts fins crispés sur le couverture, sa tête penché en avant et ses mèches noirs cachant se yeux. Je m'approchais d'elle, conscient de son aspect de poupée de porcelaine brisée et je tends la main vers sa joue. Elle est si froide, si froide.

« Akito » je murmure doucement. Elle ne me répond pas. Elle reste dans sa position, recroquevillée, les yeux dans le vague. Sait-elle que je suis là ? Elle ne semble pas être consciente de ma présence. Je glisse mes bras autour de sa taille et l'attire vers moi.

Ses mains lachent le dessus de lit, elle pousse un petit cri de surprise et lève les yeux vers moi. Elle me voit enfin, elle sait que je suis là. J'ai besoin de son regard, de son intention. Je refuse qu'elle m'ignore.

A genoux sur le sol, je colle son petit corps tendre contre le mien. Elle a l'air si fragile dans son yukata, si petite. Je la pose facilement, trop facilement sur mes jambes pliés, de sorte que même ses pieds ne touchent plus le sol. Là, sa tête enfouit dans mon cou, son corps pressé contre moi, je sens ses bras enlacer mon torse. Je la soutiens avec une main et de l'autre, je lui saisis la cheville. Un de mes actes possessifs, qui lui font peur, qui me rassure. Je plonge mon visage dans ses cheveux et la serre. Si douce ! elle est si douce ! J'embrasse ses mêches noirs et respire la senteur de jasmin qui émane d'elle.

Elle me serre si fort .

Je sens son souffle tiède qui caresse ma gorge.

Mes mains commencent à parcourir son corps, doucement, amoureusement. Je la sens répondre à mes étreintes, elle frissonne.

Je l'attrape par les hanches et la repositionne, désireux de lui montrer mes manifestations de tendresses. Je la pose sur mes genoux en plaçant une jambe de chaque côté de mes reins. Je colle mon front contre le sien, savoureux le contact intime de son bassin contre le mien.

J'embrasse son cou, dépose les baisers tendres. Je parcours chaque point de sa gorge avec ma langue, affamé par les vibrations des battements de son coeur sur mes lèvres.

Elle est passive, timide sous mes caresses.

Cela ne m'arrête pas .

Je la veux, je veux sa peau, ses soupires, ses plaintes sensuelles et charnelles .

Je tire sur l'encolure de son kimono révèlant une épaule frêle et délicate. Je la mordille, la suce , laisse des marques d'amour sur sa chaire.

Ma poupée de porcelaine prend vie et placent ses mains blanches sur mon torse, déboutonne ma chemise doucement, palpe ma chair .

Je l'écarte doucement, et enlève le yukata de ses épaules. Mes lèvres savourent sa petite poitrine, mordillent les mamelons durcis sous ma langue. Mes mains dans son dos pour la soutenir, elle, les jambes écartées autour de moi, courbée en un arc parfait, la tête relachée en arrière, elle soutient mon visage contre ses seins de ses deux mains .

Encouragé par ses plaintes délicates, je l'allonge sur le sol. Mon corps couvrant le sien, mes lèvres sur les siens, je l'embrasse profondément, ma langue caressant la sienne.

Je me relève, et me met à genoux . J'ôte ma chemise qui tombe au sol. Akito se lève devant moi, s'approche. De ses yeux fièvreux, passionnés elle m'observe. Attrappant la ceinture retenant encore son kimono, elle débarrasse du tissu encombrant qui glisse le long de ses hanche sur le sol.

Nue devant moi, à genoux devant sa beauté, je la vois sourire, innocente, peut-être intimidée par mon regard, par mes yeux qui parcourent ses courbes délicates.

« C'est ça que tu veux ? » me demande-elle voluptueusement, sa main glissant sur sa poitrine et son ventre.

Je ne répond pas. Elle sais bien que je la veux.

Elle sourit à mon silence et me tourne le dos pour retourner à son futon. Elle s'y allonge sur le dos, une jambe légérement pliée et tend gracieusement le bras vers moi en une supplique silencieuse, les yeux étincelants.

« Alors prends moi ! »

Je me débarrasse de mon pantalon et la rejoint sur le matelas, et l'embrasse, enflammé par le contact de sa peau, ses mains sur mon dos. Je la sens onduler sous moi, se tordre, m'exiter par les mouvements de ses hanches contre moi.

Je l'embrasse avec avidité et passion, dévore ses lèvres . Mes mains dessinent ses courbes délicieuses. Avec audace, je glisse mes doigts entre ses jambes, découvrant la chaleur de son sexe. Je la caresse. Akito ouvre la bouche dans un cri étouffé tandis que mes doigts pénétrent son intimité. La température de son corps augmente. Elle devient moite et chaude, offerte, pour moi. Ses hanches se lèvent comme portés par ma mains. Aletante, elle me dit :

« Arrête, arrête je te veux en moi toute de suite. Je t'en pris Kureno. »

Je retire ma main et écarte ses jambes. Je me place entre ses cuisses chaudes et douces.

Je rentre en elle. Elle gémit, soupire. Je m'arrête, planté profondément en elle, conscient de la douceur de son corps autour de moi.

Posant mes lèvres sur les siens, j'entreprends de la marteler, doucement, adaptant le rythme à ses soupirs. Le plaisir monte en moi, tandis que je lui saisis les épaules pour la pénétrer plus profondément. Elle m'emprisonne de ses jambes et de ses bras, dans une prison parfaite où j'aimerais mourir. J'aimerais pouvoir lui dire : « C'est comme ça que je t'aime, quand tu es douce et tendre, quand je sens que tu as besoin de moi, quand je sens que je ne pourrais pas vivre sans toi » ...

Mais il y a cette fille,... Arisa.

Frisonnant, troublé, j'enfouis ma tête dans son épaule la serre contre moi en donnant les poussées plus profondes, plus fortes. « non pas elle, ne me laisse pas penser à elle. Je veux rester avec toi, ma princesse, je ne veux pas te quitter, Ne me laisse pas penser à elle, ne me laisse pas l'aimer ! »

Elle commence à crier, de plus en plus fort, des gémissements passionnés, poussés à chacunes de mes pénétrations, l'emmenant vers l'extase.

La tête rejetée en arrière sur l'oreiller, les mains griffant mon dos, elle se courbe pour m'accueillir tandis que l'orgasme survient dans son corps tremblant.

Je ne tarde pas à la suivre, le plaisir accélérant mes va et viens entre ses cuisses. Je me répand dans son ventre. Epuisé, je me laisse tomber sur son corps, heureux de sentir ses bras se refermer sur moi.

Elle tremble. Ou bien est-ce moi ?

Je ferme les yeux, mon front contre le matela, ses cheveux me caressent la nuque. Sa respiration est profonde, je sais qu'elle s'est endormie. Me hissant sur les coudes, je la contemple et lui susurrement doucement ses mots que je ne peux lui dire lorsqu'elle peux m'entendre:

« Je t'aime ».

J'embrasse une dernière fois, goûtant la fièvre sur ses lèvres sucrées et plonge à mon tour dans le sommeil.


J'espère que cela vous a plu.