Bonjour, bonsoir alors voilà, je poste pour la première une fiction, car même si j'ai déjà écris une ou deux collaborations, et quelques petits one shoots ou commande pour des amies, je n'ai jamais posté de fiction, à proprement parlé. Donc je fais ce soir le grand pas, soyez indulgents j'accepte tout commentaire justifié, et non comme je m'en suis déjà pris exagéré et plus bas que terre, car je sais répondre gentiment à ces sortes de messages. Bref, bonne lecture.
L'ombre et la lumière
Prologue :
Le soleil se couchait encore une fois, pourtant cet adolescent ne le voyait pas ou plus, tout lui paraissait flou, sombre, noire comme toujours. Il ne cherchait même plus ce qui était bon ou mauvais, un coup s'abattit sur lui, un de plus encore… Un léger hématome apparut parmi tous les autres. Enfin, cela lui importait peu. Bientôt ses yeux lourds, se baissèrent pour le laisser aller aux pays des songes….
Un jour, de plus au soleil sur le terrain de baseball de Seidou, Miyuki Kazuya, le receveur titulaire de seconde année, rattrapait les balles d'un des lanceurs de l'équipe première, le lanceur de relève précisément, Kawakami Nori, qui malgré ses airs avait un timing excellent pour contrer les batteurs, même si certains les renvoyaient parfaitemeznt. Ces deux là s'entendaient plutôt bien même si ce n'était pas la batterie principale. En effet, son équipier, se trouvant faible au niveau de l'endurance, faisait des tours de monticule pour progresser sur ce point. Accompagné par Kuramochi Youichi en course, car ce dernier tenait à garder son poste à la fois de premier batteur et de troisième base, sans oublier son titre de joueur rapide. Bref, une journée de plus tranquille sans aucune ombre de problème aux alentours. Shirasu Kenjirou en tant que joueur de champs, bien que discret, se devait lui aussi de travailler son physique, alors que ce dernier faisait quelques tours avec eux.
Une journée où le coach s'était absenté pour un petit moment, rare était les fois où cet homme partait même pour une petite durée de son lieu de travail. Personne n'en savait vraiment la raison, cependant le fait que leur entraineur les laissait seul, était une marque de confiance en eux, ce qui les touchait et les rendait fiers en même temps.
Les pétales de cerisier s'envolait, bien qu'il n'y ait que peu d'arbres dans cette immense ville, le petit enfant ne pouvait toute fois détourner le regard de ce spectacle grandiose, pourtant beaucoup plus beau et présent chez lui. Seulement, voilà pour certaines raisons, ce petit garçon ne pouvait pas rentrer alors, tranquillement, les cheveux aux vents, les yeux fermés, profitant de l'air malgré les fumés de voiture, il attendait quoi, qui, nul ne savait vraiment, même pas lui-même.
Bien merci d'avoir lu, le prochain chapitre arrive dans peu de temps.
