Bonjour, chers fans de moi ! (ne me regardez pas avec ce regard plein de sous-entendus !) Voici une nouvelle fic, sortie des fin fonds de mon ordinateur ! Elle porte sur le cirque.
Disclaimer: Les personnages ne sont pas à moi... quel dommage... mais le numéro de Fye est à moi ! Dit d'abord !
Note à l'attention des lecteurs !
Je tenait à remercier tout les lecteurs, de toutes mes fics, même ceux qui n'ont jamais reviewé. Je suis désolée, mais à chaque fois, j'oublie de répondre aux reviews, alors voilà, je prend un peu de place pour remercier chacun très chaleureusement, du mieux que je peux, pour supporter mes fics, pour les lires, et pour parfois laisser des reviews ! Je remercie tout ceux qui m'encouragent, tout ceux qui m'aident, tout ceux qui me donnent des idées. Bref, je remercie tout le monde !
Bonne lecture !
Le cirque tsubasa
Chapitre un: Une arrivée assez mouvementée...
Le cirque tsubasa était de retour dans la ville de shura depuis bientôt une semaine. Toute la ville était en liesse. Le cirque Tsubasa était le plus vieux cirque que l´on connaissait. Aussi vieux que la patronne, Yuko, qui d´ailleurs ne faisait pas son àge. Chaque année, il revenait avec de nouveaux spectacles, et restait un mois à Shura. On ne parlait plus que de ca, et tout les soirs le spectacle annoncait complet. C´était une réussite totale.
Dans la rue principale, personne ne faisait attention aux deux personnes qui marchaient d´une démarche mal assurée en direction du grand chapiteau coloré, tenant chacun une malette dans les deux mains. Pourtant, ils n'étaient pas invisibles. On donnerait au plus vieux 18 ans, tandis qu´à la plus jeune on en donnerait 8 de moins. Tout deux étaient blonds, et si la plus petite avait de beaux yeux noisettes, le grand en avait des bleus azur, défiant l´imagination, mais l'un d'eux était caché par un bandeau. La petite fille prêtait une oreille distraite aux conversations, les yeux rivés sur le chapiteau du cirques.
La petite fille: Fye nii-san... Il y a un cirque en ville.
Fye: Oui. C´est pour ca qu´on est là, Tchii.
Tchii: Non ! Tu m´avais promis qu´on irait plus !
Tchii avait tiré le bras de son grand frère, qui s´agenouilla et lui ébouriffa tendrement les cheveux. Il lui montra les roulottes aux couleurs vives.
Fye: Tchii... Tu trouve que celui-ci ressemble à celui où on était ?
Tchii:...
Fye: Ne t´inquiète pas. Si ils ne sont pas gentils, on partira tout de suite, d´accord ?
Tchii:...Voui.
Fye: Bien ! Tu verras, je suis sûr que ce sera très bien. Et puis, il faut qu´on gagne un peu d´argent.
Ils se mirent en route vers une des barrières qui annoncait: "Interdit au public, accès réservé aux artistes". La mallette de Fye lui parût soudain peser des tonnes, mais il sourit, pour faire bonne figure, et passa la barrière d´un bond. Ensuite il prit sa petite soeur par les hanches et la mit sur ses épaules. Elle se mit à rire, d´un petit rire cristallin. Qui s´arrêta quand elle vit l´air pas vraiment accueuillant de l´homme en face d´eux. C´était un grand homme qui devait avoir 25-30 ans maximum. Il était baraqué et ses cheveux noirs étaient hérissés en pics. Son torse nu laissait voir une musculature parfaite sous une peau bien bronzée.
Homme: Oh, vous savez pas lire ? C´est marqué interdit au public !
Fye: Ben on est pas du public...
Homme: Alors z´êtes qui ?
Fye: On se présente avant de poser cette question, non ? Mais comme c´est si gentillement demandé... Moi c´est Fye.D Flowright et voici ma petite soeur, Tchii Flowright. Et toi, c´est ?
Il avait fait un grand sourire, un de ces faux sourires dont il avait la spécialité et qui trompaient tout le monde. L´homme le regarda d´un air colèrique. Fye se rendit compte alors qu´il avait des yeux rouges sang. Il réprima un tremblement en agrandissant son sourire. l'homme le toisa avant de lacher dans un grognement:
Homme: C´est Kurogane Suwa, et je crois pas t´avoir autorisé à me tutoyer.
L´air de Fye se fit plus dur. Tchii sentit le changement d´humeur et se mit à trembler, sous l´air interrogateur de Kurogane. Il eut vaguement l'impression que son oeil changeait de couleur, mais ce devait être la lumière.
Fye: Parce qu´il faut te dire s´il te plait ? Et toi aussi, tu me tutoie à ce que je sâche...
Tchii: Fye nii-san !
Kurogane: Je me fous de ta politesse. Tu va virer sur le champ.
Fye, avec un sourire ironique: Ben tiens... Je crois que cette chère Yuko sera heureuse de savoir que tu m´as foutu à la porte ! Mais puisque tu insiste, on s´en va.
Tchii: Non, nii-san ! Ne fais pas ca !
Fye s'apprêtait à sortir du cirque, avec tchii en train d´essayer de le raisonner sur les épaules, quand une main lui agrippa le bras. Kurogane le regardait avec un air mauvais.
Kurogane: D´où tu connais Yuko, toi ?
Fye: Ben tu t´en fous, non ? Maintenant on part, comme tu l´as demandé...
Tchii se mit soudain à pleurer, et à crier.
Tchii: Fye nii-san ! Réveille toi ! Tu ne sais pas ce que tu dis ! Debout !
Sous le regard étonné de Kurogane l'oeil de Fye redevint plus doux et rieur, son sourire se remit en place. Il fit descendre Tchii de ses épaules et posa ses valises.
Fye: Désolée Tchii, Ton grand frère est de retour. Merci !
Il se tourna vers kurogane, un air triste sur le visage.
Fye: Désolé pour ca... Pourrais tu m´ammener à Yuko ?
Kurogane ne savait quoi penser de ce changement, mais il finit par aquiescer.
Kuro: Après tout, c´est elle qui verra si elle te connais.
Ils arrivèrent sous le chapiteau, où toute la troupe se trouvait pour le déjeuner. Dans un parfait ensemble, ils tournèrent la tête vers les nouveaux arrivants. Certains poussèrent des cris de surprises, et un cri hystérique surpassa les autres, ce qui fit que tout le monde se tût.
Une jeune fille aux cheveux blancs et sa copie conforme en masculin et aux cheveux noirs se jetèrent dans les bras du blond, qui avait lâché la main de Tchii.
Jumeaux: Fye ! Tu nous as manqué !
Fye, avec un grand sourire: Vous aussi, Soel, Larg. (Soel est le mokona blanc et Larg le noir)
Ils avisèrent ensuite tchii et allèrent lui faire un gros câlin.
Tchii: Moko-chan ! Je peut plus respirer !
Soel: C´est que vous nous avez tellement manqué...
Larg: Et Yuko disait toujours que vous alliez venir chez nous !
Fye: Yuko a toujours raison, vous le savez bien.
Les quatres compères se sourirent. Et alors que personne ou presque ne comprenait rien, une voix féminine retentit.
Yuko: Et bien... On dirais qu´il est enfin venu ! Je l´avais prédit !
Kurogane, qui ne comprenait rien intervint, sous les sourires narquois de Yuko et de Fye ainsi que ceux des Mokona.
Kuro: Mais qui c´est, à la fin ? Comment il vous connais ?
Yuko: Fye est un artiste comme nous tous, dont le numéro est unique. Je suis aller voir en spectacle dans le cirque où il était employé, et nous avons discuté. Depuis nous nous sommes revus plusieurs fois, mais depuis plusieurs année on s´était perdu de vue. Il a démissionné de son cirque pour raisons personnelles, et il viens ici pour se faire employer.
Fye: Comme d´habitude, tu sais tout sur tout, Yuko-san. Mais bien sûr...
Yuko: Oui, si ca ne tenait qu'a moi, tu serais employé d'emblée, mais il faut que la troupe vote.
Fye: Tu m'avais prévenu. Maintenant ?
Yuko: Oui, Maintenant.
Kuro: On va voter tout de suite ?
Soel et Larg, en coeur: Oui ! On veut voir !
Tchii et Fye se rendirent au milieu de la piste. Tchii ouvrit sa mallette. La petite installa un clavier de piano. Fye se mit bien au centre, droit, la tête inclinée, afin qu'on ne voit pas ses yeux.
kuro: mais ils vont pas faire leur truc en même temps, si ?
yuko: Si. Tchii fait partie du numéro de Fye, c'est autant son numéro que le sien.
kuro: a quoi on dois s'attendre ?
les mokonas: a de l'inédit !
Fye alla fermer les ouvertures qui filtraient la lumière, et ne laissa rien qui puisse éclairer Tchii. il resta immobile tandis que les premières notes de piano retentissaient. Tchii avait les yeux fermés, et pourtant elle faisait courir ses doigts de plus en plus vite sur les touches, et une douce mélodie envoutante emplit le chapiteau. Fye ne bougeait toujours pas. On ne les voyait que très peu, mais on les voyait tout de même.
kuro: mais qu´est-ce qu´il fout, purée ?
soel: tu sais kurokuro, un grand artiste comme lui se doit de faire le vide dans son esprit avant tout.
Larg: Sinon sa prestation serait gachée. Et puis tchii doit commencer à chanter...
Comme si elle les avait entendu, Tchii se mit à chanter d´une voix douce et lente. Fye ne bougea pas tout de suite, se contentant d'ouvrir les doigts. Un bouquet de fleurs blanches commença à pousser dans ses mains, sous les yeux ébahis de la troupe. Le bouquet émettait une douce lueur, qui éclairait juste l'artiste, et continuait à pousser. Fye commençait à se faire envahir par les fleurs blanches. Puis soudain, la musique se modifia imperceptiblement. Fye commença à se mouvoir. Il commença à effectuer une danse lente.
Il lança les fleurs en hauteur, et elles retombèrent en une poussière lumineuse, qui se mit à tourbillonner autour du danseur. Elle se regroupa dans sa mains, et fye se mit à tracer des sortes de signes en l'air avec son doigt, sans cesser de tourner sur lui-même. Les signes se mirent à bouger, soudain, comme dotés d'une vie propre. Ils commencèrent à se transformer en une multitude d'oiseau blancs, lumineux, qui prirent leur envol. Le blond tendit la main, comme pour les retenir, mais l'un des oiseaux tomba dans sa main, comme mort. Tout les oiseaux vinrent alors se poser sur la pianiste, qui avait arrêter de chanter dès que l'oiseau était tombé. La musique était lente, mais très belle. Elle continua de jouer, sans faire attention aux volatiles sur elle. Mais l'oiseau mort se changea en liquide blanc lumineux, qui lui coula entre les doigts.
Le liquide tombé au sol se transforma soudain en billes de verres lumineuses, qui se mirent à rouler vers fye, qui dansait toujours lentement. Elles se muèrent en escalier blanc et lumineux, devant les yeux toujours surpris de la troupe. Le blond commença alors à gravir les marches de cet escalier. Les marches qu'il avait déjà gravit disparaissaient derrière lui. Une fois que le blond fut arrivé au plus haut que lui permettait l'escalier, une porte apparut, tout aussi blanche et lumineuse que les marches. Il poussa la poignée, et la porte s'ouvrit, tandis qu'un fil de funambule apparaissait, aussi blanc qu'un fil d'araignée. Le blond s'y engagea sans hésiter. L'escalier disparu, et une ombrelle avec des motifs de spirales lui apparu entre les doigts. Il commença à danser au son du piano, qui n'avait pas cessé, sur le fil.
Soudain, de la neige blanche qui éclairait la scène avec douceur se mit à tomber. Elle disparaissait juste avant de tomber sur le sol. Fye était au plus haut du chapiteau, sur son fil. Il n'avait pas peur de tomber. L'ombrelle se changea soudain en une paire d'ailes d'oiseau, qui lui apparut sur le dos. Le blond sur son fil ressemblait à un ange qui dansait dans la neige. Et puis, la musique ralentit, et le blond s'arrêta de danser. Le fil disparût, faisant tomber l'ange. Dont les ailes commençaient à se disloquer en plumes. Des cris fusèrent dans l'assemblée, mais Yûko, d'un geste de la main, les empêcha de se ruer sur scène. La chute du blond se fit de plus en plus douce, et il se posa en douceur sur le sol, recouvert de plumes blanches. Comme si de rien n'était, il recommença à danser. Puis la musique ralentit à nouveau, et les plumes tombées sur le sol vinrent se grouper dans les mains du blond. La neige arrêta de tomber. Le blond souffla sur les plumes, qui s'envolèrent vers le public, en forme de papillons blancs. Yûko tendit le doigts vers le plus gros, qui alla se poser sur elle. Puis, alors que le public essayait de toucher les insectes, ils disparurent en gerbe d'étincelles blanches. Les oiseaux qui étaient restés sur la petite tchii se divisèrent en deux groupes. D'un côté, ils se métamorphosèrent en un aigle blanc, qui alla se poser sur le bras de Fye. De l'autre, ils se changèrent doucement en la silhouette d'un chat blanc, qui sauta sur l'épaule du jeune homme. Celui-ci s'inclina, signifiant la fin du spectacle.
Personne ne bougea, et la musique se mit a ralentir, puis s´arrêta. Tchii s'approcha de son frère et l'aigle alla se poser sur elle.
Elle tendit un mouchoir au blond, qui ne bougeait pas. Il releva la tête, et s'essuya l'oeil, qui dégoulinait de ce qui semblait être des larmes.
Kuro: Pourquoi pleure-t-il ? Il s´est fait mal en tombant ?
Yuko: Non. La chute, c´est dans son spectacle. Ce sont des larmes de tristesse.
Fye se tourna vers Tchii et lui fit un grand sourire.
Fye: Merci Tchii. Tu t´es surpassée, pour le chant et le piano. Félicitations.
Tchii, avec un sourire timide: Merci. Toi aussi tu était très bien.
Yuko se leva et alla les rejoindres au centre de la piste. Elle eut un grand sourire et chuchota un "Félicitation" chaleureux au borgne et à la petite blonde. Elle ouvrit les bras et s´exclama:
Yuko: Si quelqu'un est d´avis qu'ils partent, qu'il le dise ou se taise à jamais !
Personne ne parla et le borgne eut un sourire. Tchii aussi, mais il était beaucoup plus naturel que celui de son frère, même si personne ne le remarqua. Sauf Yûko et Kurogane. Mais ils ne dirent rien.
Puis, la troupe se présenta.
Kurogane suwa, cracheur de feu et jongleur avec des torches. Tomoyo Daidoji, styliste et costumière de la troupe. Sakura kinimoto, funnambule. Shaolan Li, aprenti cracheur de feu et jongleur avec les pieds. Yuzuriha nekoi et Kusanagi Shiyu, dresseurs de fauves et de chiens. Watanuki Kimihiro et Shizuka Domeki, cuisiniers de la troupe, et médecins. Akira Iujin, Suo Takamura, Nokoru Imonoyama, musiciens. Fuu Hooji, Umi Ryuuzaki, Hikaru Shido, trapézistes. Mokona Soel et Mokona Larg étaient clown, Yûko Ichihara jouait la voyante. Seichiro Sakurazuka et Fuuma Monou, lanceurs de couteaux. Himawari Kunogi, dresseuse de chevaux. Karen Kasumi, "dresseuse de feu". Ryu Ô et Sôma , spécialistes du lancé "d'étoiles" (des boomerangs, kunais, shurikens, tout ce que vous voulez, où des morceaux de tissus colorés sont attachés, donnant l'impression de voir des étoiles filantes.) Chun Nyan (oui, je sais, ça s'écrit pas comme ça ^^), équilibriste sur ballon.
Tout le monde lui souhaita la bienvenue, et le pressa de questions.
Sakura: Comment avez vous fait, pour la chute du fil ? C'est tellement dangereux !
Fye: Ce n'est qu'un tour, Sakura-chan, je ne pouvais pas me faire mal.
Yuzuhira: Et les escaliers, il n'y en a pas, alors comment avez vous fait pour les monter ?
Akira: Et le chat, c'est un vrai ?
Hikaru: Et l'aigle ?
Umi: Et pour la neige, on aurait dit de la vrai !
Himawari: Et tu ne pouvais pas t'envoler, avec tes ailes ?
Devant ce flot de questions, Fye recula un peu, sans pour autant se départir de son sourire. Il chercha un peu Yuko des yeux, pour trouver de l'aide, mais elle était en train de discuter avec Tchii et une petite fille, qui s'appelait Kobato. Heureusement, l'arrivée de deux jeunes hommes dans le chapiteau lui sauva la mise.
?: Tiens, on dirait qu'il y a de l'agitation...
?: Oui, tu as raison, kamui... on dirait même qu'ils n'ont pas fini de manger !
Kamui: alors là, ça doit être important, si ils n'ont pas fini leur repas...
Ils eurent un petit sourire moqueur envers la troupe et s'approchèrent du centre de leur attention. Kamui et l'autre écarquillèrent les yeux en voyant le blond, et celui-ci en fit de même. Enfin, il écarquilla son unique oeil.
Fye: KAMUI, SUBARU ?
Subaru et kamui: FYE ?
Tchii, en sautant au coup de kamui: Kamui-kun, Subaru-kun ! Je croyais que je ne vous verrais plus jamais ! vous m'avez manqué !
Fye remarqua du coin de l'oeil que Fuuma avait une petite lueur jalouse dans le regard, malgré son grand sourire. Il nota mentalement d'aller un peu fouiner dans les relations des jumeaux quand il aurait le temps. Il s'approcha de Subaru, qui était libre (car tchii tenait toujours kamui dans ses petits bras), et le questionna en souriant:
Fye: Alors c'est là que vous étiez ! On avait eut peur qu'il vous soit arrivé malheur ! Comment avez vous fait pour venir ici sans encombres ?
Subaru, qui avait un sourire doux: On est parti de nuit et on est tombé sur yûko-san, qui passait justement en voiture, en revenant des courses.
Fye, avec un sourire grand comme deux maisons: Sacrée Yûko ! Toujours là quand il faut !
Subaru, avec un sourire au moins aussi grand: Tu l'as dit, une vrai sorcière !
Yûko: Mais c'est fini de vous moquer de la faible femme que je suis ?
Plusieurs étouffement et quintes de toux s'emparèrent de la troupe, mais devant l'air furieux de la dirigeante, elles cessèrent aussi vite qu'elles n'avaient commencé. Kurogane en profita pour demander:
kurogane, avec son habituel froncement de sourcil: Vous vous connaissez ? Mon dieu, mais ce type est une idole hyper connue, ou quoi ?
Kamui, que Tchii avait lâché pour aller voir Subaru: Eh bien non. Il était dans le même cirque que nous. On se connais depuis nos 10 ans.
Kusanagi, qui avait un air pensif: Mais alors... Il était aussi, avec cette gosse, dans le cirque Seles ?
La troupe en entier, sauf les mokona, Yûko, Kamui et Subaru: SELES !
Seles était un cirque très connu, où seul les meilleurs artistes travaillaient, et ils devaient passer un concours très difficile pour être engagé. Ce cirque était dirigé par Ashura Seles. Les seuls qui pouvaient rivaliser étaient le cirque Tsubasa, mais il ne l'avait rattrapé que depuis peu, grâce à la venue de certains membres. Tout les artistes souhaitaient y aller, et d'ailleurs, le cirque Seles travaillaient avec l'entreprise artistique Read, dirigée par Fei-Wan Read.
Sôma: C'est pas étonnant... Kamui et Subaru sont d'excellents illusionnistes, et Fye et sa petite soeur ont un numéro sublime.
Subaru, avec un air ennuyé: Oh zut, nous avons loupé le vote ? J'aurais voulu le voir... Il est tellement beau !
Ryu Ô: C'est d'ailleurs étonnant qu'Ashura les ait laissé partir...
Tchii, avec un air sérieux: Qui te dit qu'ils nous ont laissé partir ? Pourquoi crois tu que Subaru-kun et Kamui-kun aient dû partir de nuit ?
Un silence répondit à cette annonce. Yûko le rompit.
Yûko: Bon, c'est pas tout, mais moi, Subaru, Kamui et Fye ont à discuter. Tchii, tu reste avec Kobato. Les autres, reprenez l'entrainement.
Alors que la troupe se dispersait, la gérante appela le cracheur de feu.
Yûko: Kurogane ! Je voulais te dire... Puisque tu es le seul à avoir une roulotte où il reste deux lits, Fye et Tchii y emménageront ! Et ne discute pas !
Kurogane, en grognant: On peut pas le mettre dans la tienne ?
Yûko, avec un sourire on ne peut plus sadique: Bien sûr... Si tu prend les Mokona avec toi... Pas de problèmes !
Kurogane, avec l'air effrayé, comme si on lui avait proposé un marché avec le diable: Non, non, ça ira !
Yûko partit en riant, suivie des jumeaux et de fye, qui abhorraient tous un sourire moqueur.
Et voilà, c'est la fin du premier chapitre ^^
Vous seriez gentils de me laisser une reviews... *yeux de mokona-trop-choupi-kawai-trop-mignon*
Et vous êtes gentils, hein ? *yeux de Fye-suppliant-larmoyant-trop-beau-et sexy*
Merci !
