Les fantômes, c'est anti-draguable!
Hello!
Je n'abandonne pas mon autre fic, c'est juste que cette idée me plaisait et que je voulais la poster... J'espère que vous aimerez!
La suite de mon autres fic arrivera dimanche ou, au pire, lundi.
Je me suis inspirée des 10 minutes d'un film que j'ai vu, dont je ne me rappelle plus le nom==' L'histoire était naze, mais l'idée... J'avais trouvé géniale! :-D
Ceci est une fic GAY, donc, vous êtes prévenus... Et le M n'est pas là pour faire joli.
Tout appartient à J.K.R., tout le monde est au courant et le reste également!^^
Place à la lecture!
Les fantômes? Jusqu'à il y a un an, je n'y croyais pas. Si vous m'aviez posé la question, je vous aurai proposé d'aller faire coucou à vos copain en blouse et camisole, de l'autre côté de la rue. Pour moi, c'était juste un truc qu'on racontait aux gosses pour éviter qu'ils se promènent en brayant partout dans la maison à minuit et quelques quand on avait d'autre projets bien plus... excitants avec son partenaire.
Malheureusement pour moi, ce n'était pas le cas.
Et j'allais l'apprendre d'une manière fort peu sympathique et agréable...
Je me promenai. La terre était verte, le soleil haut dans le ciel, les filles courtes vêtues et les garçons particulièrement craquants de ce côté-là du lycée.
En somme, j'avais eu raison d'avoir loupé le cours de math de Mme Verglas!
Aaaaaaah, je sais, je sais, je suis un dieu vivant, toujours parfait et touti quanti...
Et surtout, j'arrive à trouver exactement les coins où on trouve de beaux mecs bien roulés à foison!
Tiens, celui là n'est pas mal... Je me demande si...
- Harry!
Dégoûté – comprenez-moi, je viens quand-même de me faire larguer... par un autre que ma cible! ( comment ça, je ne l'avais pas abordé? Harry Potter ne parle pas! Il regarde et on accepte! Vous ne me croyez pas? Observez le gars là-bas. Dans 3..2...1... Tadaaaam! Il m'a fait un clin d'oeil!)- Je relevai la tête du si joli postérieur de mon futur petit compagnon de baise pour rencontrer les yeux de Pansy.
Pansy était une jolie fille, si on aimait le genre féminin, bien entendu. Elle était plutôt petite, toute maigre avec de jolies formes et des cheveux longs jusqu'à ses chevilles noirs aux mèches bleues et violettes. Elle ne portait que des vêtements noirs ou rouge déchirés et métallisés de partout, avait 2 percings au sourcil, un à la langue et 4 aux oreilles. C'était ma meilleure amie et je l'aimais tendrement. Elle seule me comprenait, m'écoutait... Et le plus, me laissait son appart' pour dormir quand je n'ai pas d'autres endroits où crécher!
- Ouais, Pansy? Tu as un problème disons d'ordre féminin et tu t'attends que comme je suis pédé, je puisse te dépanner?
Pans' sourit et me donna un grand coup sur la tête Et en plus elle fait mal, cette idiote! Et me répondit avec flegme:
- Chéri, ça fait longtemps que j'ai compris que tu n'étais qu'un sale petit con, tu n'es ni mâle, ni femelle...
- Pfff!
Franchement, vous voulez répondre quoi à ça? Cette fille avait parfois de ces blagues...
Soudain, je sentis l'atmosphère se réchauffer encore plus autour de moi, les contours des gens me parurent moins précis et je sus que mes mains n'allaient pas tarder à trembler.
Et merde, manquait plus que ça.
Je savais bien que ça allait péter, un de ces jours...
Ça m'apprendra à jouer à l'imbécile des cures de désintox, tiens!
Au cas où certains n'auraient pas pigé, je me trouvais dans une situation typique de manque.
Je lui demandai si elle avait au moins un peu de poudre. Elle me fit un clin d'œil en murmurant qu'elle était toujours prête et me donna un petit sachet discrètement. Je l'embrassai sur la bouche pour la remercier et couru presque pour m'enfermer aux toilettes abandonnées du deuxième étage, pour me faire une ou deux petites lignes.
Après m'être assuré que la porte était bien barricadée, j'ouvris le sachet et m'apprêtais à respirer mon petit bonheur personnel portant le doux nom de cocaïne ( Franchement, vous n'avez jamais entendu plus beau son?) quand une voix derrière moi me fit sursauter de peur, me faisant laisser tomber mon sac de coke, par la même occasion:
- Hey, beau gosse, on t'a jamais dit que se genre de trucs, c'était mauvais pour la santé?
Vous savez, moi j'ai toujours cru que le terme désert avait pour signification qu'il n'y avait personne. Apparemment, je me suis trompé...
Je me retournai lentement, m'attendant à voir le doyen, ou même le dirlo avec la chance de super héro que je me coltinais toute la journée...
Aaaaah... Eu... A moins que notre cher monsieur Dumondier aies rajeuni de 40 ans, qu'il se soit teint les cheveux en couleur de lune, qu'il se soit musclé, embelli, acheté des vêtement chics, mis des lentilles argentées, coupé les cheveux ( aussi fins que des fils d'or ) aux épaules, je peux assurer avec précision que ce n'était pas mon directeur, mais le mec le plus canon que je n'ai jamais vu!
Il était séduisant, avec son petit air supérieur, sa bouche pulpeuse, ses belles chaussures d'Armani ( on ne se refuse rien à ce que je vois...) et ses belles chaînes qui lui enserraient les pieds...
Attendez une minute.
Mon esprit ne capte plus.
Je viens bien de dire chaînes, hein?
Ce n'est absolument pas logique.
Ce beau gosse, que dis-je, ce sex-symbol ne peut pas avoir ça accroché!
N'est-ce pas?
Bon, apparemment, si.
Il est peut-être maso?
Hummmmm... Sex...
Oh oh! Du calme! Ce n'est pas sexy de voir un type enchaîné! C'est très grave et-
Mais la ferme! Observe plutôt ce dieu tombé du ciel au lieu de geindre sur le bien et le mal! On en a strictement rien à foutre!
Tiens, maintenant j'ai une conscience?
Ouaip, mec! Et crois moi, je ne vais pas te lâcher!
Ohhhhhh.. Joie... V'la que je me mets à parler tout seul!
Tout seul, tout seul, question de point de vue! T'as un beau gosse devant toi et tu fais quoi? Tu parlottes à une voix dans ta tête! Faut te faire soigner!
Justement, j'estime, que, quand on entend des voix, on mérite de faire un petit détour par le centre psychiatrique...
Tu joues sur les mots, là!
Bon, Môssieur le grand sage, t'as un nom? Que je sache qui maudire...
Bien sûr!
...
J'attends...
Ah, oui, désolé. Blaise Zabini, si tu veux tout savoir. Mais tu peux m'appeler Le Magnifique
QUOI? Et puis quoi encore? Je peux savoir ce que tu fous dans MON corps, Blaise?
Taratata! Top secret! Et tu as intérêt à causer à ton interlocuteur, car il te regarde bizarrement.
De quoi tu me-
Aaaaaaaaaaaaah, oui! L'autre cinglé maso!
M-m-m-maso de quoi? Un peu de respect, le môme! Tu parles du Prince avec un grad P et... MAIS TU DETOURNES LA CONVERSATION! PARLES, C'EST UN ORDRE!
Gnagnagna...
Quoi?
Rien...
Je me raclai la gorge gêné.
- Et donc... Tu viens dans le coin pour?
Il me fit un immense sourire.
- Pour te suivre à la trace, quelle question.
...
MOUAHAHAHAHAHAHAHA! Dray est toujours aussi direct! J'ADORE ce type! Je sens que je vais me marrer, ces temps...
...
Tiens tiens... L'autre se tait?
...
Harry? Oouahaou Harrrrrrrrrrrrrrrry! Debout là dedans, feignasse!
C'est qui que tu traites de feignasse?
Laisse moi réfléchir... Ça me revient! TOI.
Et pourquoi?
T'es un loser.
Ben vas y, dit tout de suite que je suis un-
- Tout va bien, Harry?
Le cher canon intersidéral me regardait avec attention, semblant m'étudier comme on le ferait d'une bête particulièrement vicieuse.
Vicieuse? Quelqu'un a dit vicieuse? Où qu'elle est, la sexy belle?
J'étais sûr que t'étais pervers, Blaise.
- Oui, répondis-je, ça peut aller.
Merci du compliment!
- Content pour toi.
- Ah ouais, c'est sûr... Excuse moi, repris-je, mais je pourrais savoir ce que tu fous ici, pour me « suivre? »
Je fis bien le signe des guillemets entre mes doigts, pour lui montrer comme je m'en foutais de ses intentions.
- T'es qu'un con.
- JE TE DEMANDE PARDON?
-Tu as bien entendu. Tu es un con qui baise à tout va, qui fume comme un pompier, qui se drogue, qui vole, qui ment...
- Je peux savoir ce que ça peut te faire foutre? Grommelais-je, légèrement vexé.
- A moi? Répondit l'apparition, rien de spécial. Par contre, Dieu s'inquiète...
Tiiiiiiiiens donc, maintenant le Notre Père se la ramène...
Blasphème pas, jeunot! Tu diras quoi, une fois devant le paradis?
Parce que j'ai une tête à aller voir les nuages?
Ahem, vu sous cet angle...
Et que fait notre Seigneur avec son nez dans mes affaires?
Il veut que je te remettes dans le droit chemin.
J' avisai la mine sérieuse du blond et me mis à ricaner. Déjà que l'autre timbré se prenait pour un fantôme...
- Vois-tu, mon chéri, répliquai-je avec amusement, avec ta petite gueule d'ange déchu ( regard appuyé sur son torse) tu aurais plutôt tendance à me faire renier toute morale...
- Très drôle, gamin.
- T'es pas très vieux non plus!
Je DETESTE qu'on me fasse des remarques sur mon âge. Ouais, j'ai 16 ans! Et alors?
Pour moi, je suis un adulte.
Un adulte? Mon petit, on voit que tu es encore un gosse, parce qu'un adulte... T'inquiète pas, les juvénils ont leurs charmes, aussi!
Mais c'est que la conscience voulait que je la trucide!
- Personnellement, cela doit bien faire 20 ans que je n'ai pas remis les pieds sur terre... murmura pensivement la bombe sexuelle en face de moi.
Il avait quel âge?
- Très drôle... Tes habits sont à la dernière mode!
- Les joies d'internet...
Ils ont le sans-fil, là haut? Ça devenait intéressant...
En attendant, moi, je n'avais rien de fort dans les veines, et, franchement, je commençais à m'ennuyer. Il me fallait donc mon sachet.
Qui était au sol.
Et je me trouvais en cet instant avec un putain de fantôme ( du moins, je le supposai, à la vue de son corps légèrement translucide, de ses... hum... chaines (décidément, ces choses me troublaient.) qu'il avait aux pieds et du fait qu'il se prenne pour un envoyé de dieu.
Choc post-traumatique dû au moment de sa mort, je vous dit.
Donc, il me fallait trouver une solution pour l'envoyer paître biiiiiien loin de moi pour que je puisse sniffer en paix.
Mouahahahaha! Mon ami, je t'aiiiiiiime!
J'tai adressé la parole, à toi?
Bref. Je souris au bel éphèbe et m'approchai doucement de lui, espérant que mes charmes naturels le rendraient fou.
Il sourit, semblant amusé.
Au moment où je me mettais à me mordiller la lèvre inférieur, il éclata de rire.
- Ben, merci! Fis-je, vexé.
- D-d-d-e rien, gloussa-t-il, en se tenant le ventre. Tu sais que tu n'es absolument pas crédible dans le rôle de la personne charmante et douce?
- Au moins, j'aurais essayé.
Il sembla immédiatement reprendre son sérieux, pour une raison obscure.
- Tu sais, reprit-il, je sais que c'est dur à avaler, mais je vais vraiment te suivre partout, pour t'empêcher de faire des conneries. Et t'empêcher de faire des conneries commence par t'enlever ce machin là ( Il pointa du doight mon cher sachet de poudre blanche ) du regard.
Et, sans autre forme de procès, il tapota son menton et il disparut, ce sac!
...
NAAAAAAAAAAAN!
Putain, je vais pas survivre! Qu'on m'achève! Une tronçonneuse, un couteau, vite!
Je peux t'aider, tu sais? J'ai un fusil à pompe.
Ta gueule.
Le blond fit mine de ne pas remarquer mon air choqué et figé de stupeur et déclara, joyeusement:
- Bon! Déjà, il faudrait penser à aller en cour! Il reste 5 minutes avant la sonnerie!
Aller en cours? Il venait de quelle planète?
Je ne savais même pas vraiment à quoi ressemblaient mes salles de classes...
Voilà! C'est bien? Nul? Dites moi tout!^^
A+
