Bonjour ou à tous ! Je suis de retour avec une nouvelle fanfiction Klaroline, ici tous les personnages sont humains et on est dans l'univers de Chicago dans les années vingt. Ça va être une petite histoire avec moins de dix chapitres normalement. J'espère vraiment que ça va plaire. Lisez ce premier chapitre et donnez-moi votre avis dans une review s'il vous plait :)

Bonne lecture !


Chapitre 1 :

Chicago 1920

A cette époque-là la ville de Chicago aux Etats-Unis était une ville fleurissante au développement exceptionnel. Chacun avait sa chance dans cette ville et les immigrés d'Europe venaient en nombre, c'était aussi un endroit festif où les clubs de jazz se trouvaient à chaque coin de rue. En apparence il y semblait bon vivre, si ce n'est les affrontements constants entre gangs rivaux qui sévissaient toutes les semaines. Chicago était témoin réguliers de règlements de compte et magouilles en tout genre.

Plusieurs familles à cette époque se tiraient dans les pattes, il y avait la famille Salvatore venue d'Italie il y a deux générations Guiseppe le père en était à la tête et avait une grande place dans la mafia sicilienne il était marié à Elisabeth et avait quatre enfants l'ainé Damon, le second Stefan, la première fille Bonnie et la dernière Caroline. Les Salvatore vivaient dans une grande maison entourés par les richesses et personnels de maison ils étaient l'une des famille les plus influentes et bien sûr avait beaucoup d'ennemi. En particulier la famille Petrova d'origine bulgare Greyson et Miranda avec leur enfants Katerina, Elena et Jérémie c'était la famille rivale numéro un pour les Salvatore. Ils convoitaient les mêmes terrains ou entreprises naissantes. Il y avait aussi la famille Donovan un peu moins en concurrence avec les Salvatore Eric et Kelly qui avait un fils Matthew et une fille Victoria. Enfin la dernière famille était les Lockwood, Richard le père avait une grande influence dans les affaires de la ville de par son poste de maire avec sa femme Carole il avait eu un fils unique Tyler qui un jour prendrait la succession de son père.

Si l'on voyait cette face-là de Chicago en effet ce n'était pas une ville prospère. Pour Caroline Salvatore ça en devenait même insupportable, elle avait tout juste dix-huit ans et ne rêvait que d'une chose partir d'ici au plus vite et ne plus subir tout ça. Mais malheureusement cela n'était pas si simple.


Un nouveau matin était là, Caroline se réveilla comme d'habitude dans sa chambre qu'elle trouvait mille fois trop grande pour elle seule. Après une rapide toilette elle s'habilla d'une robe simple et descendit prendre son petit déjeuné. Elle croisa sa grande sœur Bonnie dans le couloir et toutes les deux retrouvèrent Elisabeth dans la salle à manger.

-Bonjour mère ! lui dirent-elle.

-Bonjour mes filles, venez manger !

Les deux jeunes femmes obéirent et se servirent mais une question brulait sur les lèvres de Caroline.

-Mère où sont les garçons ? demanda-t-elle en parlant de ses deux grands frères.

-Ton père a décidé très tôt ce matin d'intervenir dans une affaire et à envoyer tout le monde là-bas !

Par une affaire elle voulait forcement parler d'un crime organisé.

-Quelle famille ? demanda Bonnie.

-Encore et toujours les Petrova ma chérie ! Ton père s'est rendue compte qu'ils avaient obtenu un nouveau bar clandestins installés dans notre secteur ! Il est à eux et ce n'est surement pas pour danser qu'ils l'ont eu !

-Vous pensez que c'est pour nous porter préjudice ? demanda Bonnie.

-Evidemment, ils pourront avoir un œil sur nous avec ça et soutirer des informations ! Comme on dit soit proche de tes amis et encore plus de tes ennemies !

-J'espère qu'il n'arrivera rien aux garçons ! dit Bonnie.

-Tout le monde y est allé, vraiment tout le monde ? demanda Caroline inquiète.

-Evidemment ma chérie comme à chaque fois ! Il ne reste plus que les gardes du corps avec nous ici ! Pourquoi paniques-tu ainsi ?

-Pour rien désolé ! Je n'ai pas très faim je vais dans le patio lire un peu !

-Fais dont cela !


Au fameux bar clandestin le feu était ouvert. Tôt ce matin les Salvatore était entré et avait commencé à tout retourner, puis les Petrova était arrivé pour défendre leur bien et les coups de feu avaient retenti. Damon et Stefan participaient activement et avec d'autres membres de leur gang étaient derrière le comptoir pour se protéger et tirer sans être atteint.

-On est en infériorité d'autres arrivent ! prévint Stefan après avoir tiré.

-Il nous faut d'autres munitions, Marcel ? demanda Damon.

-J'y vais ! répondit-il.

-On te couvre avec Klaus ! déclara Stefan.

Niklaus et Marcel étaient deux jeunes hommes qui avaient l'âge de Stefan et Damon. Il y a quelques années ils étaient à la rue ne sachant pas quoi faire de leur vie, Guiseppe a d'abord recueillit Klaus quand il avait quinze ans puis Marcel quand lui en avait seize, tous les deux avaient appris les ficelles du métier si on peut appeler ça comme ça avec les autres et travaillaient désormais pour leur mentor.

Marcel après le signal de ses co-équipiers s'élança hors du champs de tir pour rejoindre d'autres hommes possédants eux le nécessaire. Stefan et Klaus tiraient sans hésiter pour faire diversion et en tuèrent un au passage.

-Déjà un de moins ! dit Stefan alors qu'ils s'étaient rebaissé sous le comptoir.

-Nous ne tiendrons plus longtemps maintenant, il va falloir songer à se repliez ! leur dit Klaus.

-Non on reste il faut les faire déguerpir d'ici ! dit Damon avant de se lever et de tirer plusieurs coups.

Au même moment Marcel revenu mais malgré tous les efforts que le jeune homme faisait une balle l'atteignit à l'épaule, il eut juste le temps de courir et de rejoindre les autres. Le sang commençait déjà à couler et Klaus essayait tant bien que mal d'arrêter l'hémorragie.

-Tiens le coup Marcel ! lui dit-il.

-Ca pisse le sang là ! Ce batard m'a pas loupé ! ragea-t-il.

-Damon on a pas de choix on doit partir ! dit Stefan alors que les coups de pistolet du gang adverse retentissait à une fréquence effrénée.

-Putain fais chier ! On y va, aller ! finit par dire l'ainé.

-On se repli ! cria Stefan pour tout le monde.

Et c'est ce que tout le monde fit. Klaus se leva et tira autant de fois qu'il y avait de balle dans son revolver pour laisser le temps a Damon et Stefan qui soutenaient Marcel de fuir, puis fila à son tour en évitant les tirs adverses de justesse. Une fois regroupés les Salvatore prirent la fuite toujours sous le bruit assourdissant des coups de feu.


Dans son bureau Guiseppe attendait avec impatience les nouvelles de ses fils. Il était assis un cigare à la main avec des papiers sur son bureau concernant de nouvelles entreprises qu'il allait créer dans le but de blanchir de l'argent, seulement si les Petrova continuaient à lui mettre des bâtons dans les roues ces affaires ne risquait pas de décoller. Aujourd'hui il comptait énormément sur ses fils et leur raid organisé mais malheureusement quand il les vit entrer il sut immédiatement que ça ne c'était pas passé au mieux.

-Mes garçons quelles sont les nouvelles ?

-Pas très bonnes père, ils sont venus en nombre et nous étions en infériorité ! lui expliqua Damon.

-Merde ! Jusqu'à quand vont y se mettre en travers de mon chemin ! cria-t-il en renversant les papiers et bibelots de son bureau.

-Le bar est cependant saccagé il n'ouvrira pas de sitôt ! le rassura Stefan.

-Bien ! Avons-nous eu des pertes ?

-Aucune père, trois hommes ont été touché dont Marcel mais aucun mort !

Guiseppe acquiesça et renvoya ses fils leur disant qu'il avait des affaires à régler. A présent seul dans son bureau le mafieux italien cherchait un moyen de contrer ses ennemis. Son fils lui avait parlé d'infériorité numérique il fallait donc rassembler du monde ou s'assembler, et il avait bien une idée en tête pour cela. Il fallait qu'il la mette en place.


Après avoir aidé Marcel avec sa blessure Klaus se rendit dans sa chambre pour aller prendre une douche et se changer. Comme son coéquipiers il vivait dans la maison avec les Salvatore, sa chambre était vétuste et au rez de chaussé mais ça lui convenait. A son passage il salua les garde du corps de la famille qui faisaient des rondes permanentes dans la demeure. Il lui tardait d'être dans sa chambre au calme. Mais à peine eut-il refermé la porte de celle-ci qu'une belle jeune femme blonde lui sauta dans les bras.

-Oh Nik tu es là ! s'exclama-t-elle.

-Caroline qu'est-ce que tu fais ici ? dit-il en lui faisant desserrer sa prise pour la regarder.

-J'ai eu tellement peur pour toi quand ma mère m'a dit que tout le monde était partit ! C'est du sang sur ta chemise, tu es blessé ? demanda-t-elle avec inquiétude.

-Non rassures-toi Love ce n'est pas mon sang, je vais très bien ! lui dit-il avant de la serrer dans ses bras et de l'embrasser fougueusement.

Klaus et Caroline étaient amoureux l'un de l'autre depuis plus de d'un ans désormais. Quant à quinze ans le jeune homme avait été recueilli ici il avait toute suite sympathisé avec Damon et Stefan mais aussi avec Caroline en secret toutefois. Elle avait treize ans à l'époque et il n'existait encore qu'une relation amicale entre eux puis quand lui en eu dix-neuf et elle dix-sept leurs sentiments l'un envers l'autre avaient évolué en un amour inconditionnel. Depuis ils vivaient leur amour caché de tous car une jeune femme d'une famille telle que celle de Caroline ne devait se permettre d'entretenir une relation avec un jeune homme que son père n'avait pas choisi ou approuvé.

-Personne ne t'a vu venir ?

-Non quand j'ai su où vous étiez tous je suis parti de table au petit déjeuné et ai échappé à ma mère, aucun garde ne m'a vu venir !

-D'accord !

Après cette mise au point Klaus alla se doucher et enfiler des vêtements propres. Puis ils s'assirent tous les deux au bord du lit les mains jointes comme pour rester connecter à l'autre quoi qu'il arrive et Caroline la tête reposant sur l'épaule de Klaus.

-Comment ça s'est passé ? Mes frères vont bien ?

-Ils vont bien, Damon est seulement blessé dans son orgueil. Les Petrova étaient très nombreux et on a dut battre en retraite !

-Je vois, mon père attend tellement de Damon ce n'est pas facile pour lui d'être l'aîné il doit faire ses preuves !

-Oui je sais !

-Nik que crois-tu qu'il va arriver ?

-Comment ça ?

-Pour nous je veux dire, qu'est-ce que je ferai si un jour il t'arrivait malheur à cause de tout ça !

-Hey il ne m'arrivera rien d'accord, tout va bien ! la rassura-t-il.

-J'en ai marre de tout ça, toutes ces magouilles ces meurtres l'illégalité dans laquelle on vit, dans laquelle je suis née ! J'ai dix-huit ans et pourtant je me sens comme coincée ici pour toujours à prier pour qu'il ne t'arrive rien et pour que tu reviennes !

-Caroline nous n'avons pas le choix sweetheart ! C'est notre vie et on doit l'accepter !

-J'aimerais partir Nik, avec toi ! Je ne veux plus de tout ça, de Chicago et des gangs !

-Mon ange tu es si jeune tu ne peux pas simplement partir d'ici, ta famille est là tu ne te rends pas compte à quel point ils sont importants ! Quand tu sais d'où moi je viens tu ne peux pas me demander de t'éloigner de tes proches !

En effet à quinze si Klaus s'est retrouvé à la rue c'est que Mikael l'avait chassé du domicile familial quand il avait su qu'il n'était pas son fils. Sa mère Ester avait eu une liaison avec un autre homme et elle avait gardé le secret sur le vrai père de Niklaus. Une fois qu'il eut appris la vérité Mikael lui avait donné le choix soit le gosse partait soit il allait se trouver une autre épouse. Ester choisit de laisser partir son garçon plutôt que ne plus jouir de la situation financière de son mari. Klaus avait laissé derrière lui Finn et Elijah ses grands frères et Kol et Henrik ces petits frère sans oublier Rebekah sa petite sœur qu'il chérissait plus que tout. Toute sa famille lui avait été enlevé du jour au lendemain voilà pourquoi il voulait que Caroline reste avec sa famille du moins le plus longtemps possible.

-Je sais je suis désolé ! Je t'aime tellement Nik !

-Moi aussi je t'aime Caroline, sois forte d'accord ? Pour moi !

-Je le serais, c'est promis !


Quelques jours passèrent et étonnement le clame semblait être revenue. C'était le début de soirée et Caroline était dans sa chambre comme à son habitude, elle se languissait de Klaus mais elle lisait pour oublier qu'il n'était pas là. C'est comme ça que la jeune femme avait dévoré tous les livres que sa famille possédait, elle les avait tous lus sans exception au moins une fois mais les relisait encore et toujours. Sa quiétude fut cependant interrompue par deux coups francs à sa porte suivit d'un troisième plus hésitant.

-Entre Stef' ! lui dit-elle.

C'est en effet son grand frère Stefan qui ouvrit la porte et entra dans sa chambre.

-Tu sais toujours quand c'est moi ! rigola-t-il.

-Et oui toujours !

-Et tu es encore en train de lire à ce que je vois !

-Oui, tu venais me voir ?

-Oui père nous réunit tous dans son bureau il a apparemment une excellente nouvelle à nous apprendre !

-Ah bon c'est étrange ça depuis quand tout va bien dans notre monde ?

-Je ne sais pas mais il a l'air très enthousiaste, et puis ce soir on va tous au club il l'a décrété !

-Attends même moi et Bonnie ?

-Oui tous !

-D'habitude on y va jamais genre trois fois par ans ! Il dit qu'un club clandestin comme le nôtre n'est pas fréquentable pour des filles comme nous ! s'étonna-t-elle.

-Alors ça doit vraiment être une très bonne nouvelle, tu viens !

-Oui, mais c'est quand même très louche cette histoire !

-Tu adores y danser pourtant !

-Oui j'adore mais je me méfies je le sens pas très bien !

-Non tu t'en fais pour rien ! Aller on y va !

-C'est parti ! dit-elle sans grand enthousiasme.

Toute la famille était réunie dans le bureau, Guiseppe assis sur son grand fauteuil Elisabeth en retrait derrière lui comme toutes les femmes de son rang, Damon Stefan Bonnie et Caroline devant et en plus quelques membres du gang qui était proche du mentor comme Klaus et Marcel. Guiseppe était en effet très jovial ce qui ne lui ressemblait pas du tout, Caroline préférait même quand il était ronchon et aigrit son état normal en fait. Mais la jeune femme n'était pas vraiment concentré sur son père mais plus tôt sur le bel homme à quelques mètres d'elle mais qu'elle ne pouvait malheureusement pas toucher et encore moins embrasser. Elle se contenta de le regarder mais la voix de son père la rappela à l'ordre.

-Bon je vous ai tous réunis parce que j'ai eu une grande idée !

-A quel sujet père ? demanda Damon.

-Nous allons enfin nous débarrasser des Petrova ! dit-il avec une sourire presque machiavélique.


Et voilà, alors je continue ou pas ? Vous avez aimé oui, non ? Pourquoi ? Dites moi tous dans une review que je puisse savoir si ca vous intéresse et si je dois continuer ou pas :)