Je viens de découvrir l'univers sherlock et j'ai eu cette idée de fiction à ma sauce, j'espère qu'elle vous plaira également.
Fiction basé sur Irene Adler et Sherlock Holmes juste après son sauvetage à Karachi. Que s'est il réellement passé ? Quelle est la nature de leurs relation ? Tant de questions que l'on pourrait se poser leurs deux mais très peu de réponse ...
Il avait chaud sous ce foulard et cette tenue mais qu'est-ce qu'il ne fallait pas faire pour sauver Irene Adler. Ils seront ainsi quitte de toute chose et il ne voulait certainement pas avoir sa mort sur sa conscience et puis aussi ...
"Adieu M. Holmes".
"Main tremblante, vertige , pâleur de la peau, larmes.." Elle était bien en état de stress, d'anxieté évident et il était clair qu'à la dernière minute de sa vie, elle éprouvait bien quelques sentiments pour lui.
Il avait soigneusement intégré le groupe terroriste, appris l'arabe litteraire pour l'occasion, s'était même reconverti pour être en total adequation avec le décor et pris bien evidemment garde à ne pas tomber sur Adler. Elle ne savait donc absolument pas qu'il était là. C'était peut-être cruel d'avoir attendu la dernière minute de sa vie pour la sauver mais elle l'avait bien cherché. On ne se joue pas de Sherlock Holmes.
La sonnerie si "particulière" retentit et la demoiselle comprit qu'il était là pour elle, son regard croisa le sien quelques secondes plus tard, ses yeux d'un bleus si profond, Elle le sentit soulagé, se leva lorsqu'il lui donna le signal et courru le plus loin vite possible.
Ces dernières semaines ont été éreintantes, elle se sentait clairement diminué physiquement mais psychologiquement. Même si elle avait été entraîné pour ce genre de situation, Irene pensait réellement que sa fin était là, elle s'était laissée aller. "A quoi bon continuer de lutter ?"
Soudain, une voiture se trouva sur sa gauche, elle le reconnut et sauta dans le véhicule qui démarra à toute allure.
Ce fut silencieux pendant quelques minutes qu'ils leurs parrurent des heures. L'un comme l'autre ne savait pas comment briser ce silence, ils continuèrent ainsi jusqu'à ce qu'ils arrivent à un petit hôtel. Il se tourna vers elle, elle s'était assoupie. Elle manquait de someil et s'était complètement oublié se sachant en sécurité, avec lui, Sherlock Holmes.
Il sortit de la voiture et la porta, il ferma les yeux et se mordit la lèvre inférieur car il s'était blessé à l'épaule. Il pensa à son ami John Watson qui aurait été d'une grande à cet instant mais se ravisa immédiatement lorsqu'il pensa à toutes les reflexions qu'il aurait dû par la même occasion entendre.
Elle était légère, Irène ne se reveilla même pas, la jeune femme avait bien maigri, ses traits étaient marqués.
"Cela reste une belle femme" pensa - t- il.
" Quel idiot ! Mais ferma là"
Ce fameux palais mental,
"Atlar fi elfog, matraf, rani erna" "Monte haut, ne crains rien je suis là" lui souffla un jeune homme. Un homme de confiance du fameux réseau internationnal.
Il arriva dans une petite chambre équipé de deux lits séparés. Sherlock déposa Irène sur le lit et partit dans la salle de bain, vérifié sa blessure.
Visiblement la balle était resortie, l'inspecteur prit soin de nettoyer sa blessure du mieux qu'il le put et tenta de se bander l'épaule lorsqu'il la vit derrière lui à travers le miroir.
Elle lui prit le bandage et sans un mot, le soigna. Il la regardait faire et la jeaugeait .
"Qu'allait-il se passer ? Qu'allait-elle lui dire ?"
Il lui était si simple et si facile de déchifrer les autres mais quand il s'agissait d'elle : La femme.
La jeune femme avait les mains froides, elle le surprit se raidir à son contact.
"Il n'a pas l'habitude du contact physique ou ma présence le trouble ?"
Irène Adler pouvait très aisément deviner et anticiper les mouvements des personnes surtout lorsqu'il s'agissait d'homme hétérosexuel mais elle ne pouvait être absolument sûr de rien pour Sherlock. Ils sont une enigme l'un pour l'autre.
- Merci lui dit -elle en le regardant fixement
Il se releva et se dirigea vers la chambre pour prendre une tenue.
-Je vais me changer, profitez en pour vous reposer ... ou vous sauver.
Il prononça ses derniers mots en la regardant froidement.
"Il m'en veut toujours".
Lorsqu'il voulut entrer dans la salle de bain, elle lui barra le passage de son bras. Sherlock haussa un sourcil, baissant le regard vers elle tout en restant stoique.
-Avez vous besoin que je vous frotte le dos ou autre part ? lui dit elle souriant de toute ses dents et dans un regard lubrique
L'inspecteur souffla lui saisant le poignet afin de la repousser et referma la porte à clefs afin d'être dû de ne pas être déranger.
"Une vraie tentatrice même dans les moments les plus dramatiques, il ne lui aura pas fallu beaucoup de temps avant de retrouver ses habitudes".
Il passa sa main dans ses cheveux puis son visage, posa ses vêtements sur le lavabo et fit couler l'eau. Il se depêcha de prendre une douche, elle serait capable de forcer le verrou juste pour avoir le plaisir de le voir nu.
Il laissa d'ailleurs son boxer, mieux vaut rester prudent avec une Irène Adler dans les parages.
Quelques minutes plus tard et après avoir imager une dizaine de scénarios sur leurs discution à venir, tandis qu'il s'habillait, il n'entendit aucun bruit, elle était peut-être parti.
Il ouvrit la porte et force est de constater qu'elle était parti. Il souffla.
"Tu t'attendais à quoi ?"
Alors qu'il se gifler mentalement, c'est une Irène adler qui entra avec un plateau remplit de fruits, de l'eau et du pain.
-J'ai pris ce qu'il y'avait, ce ne sera pas un dîner gastronomique mais on ne fera pas les fines bouches.. dit-elle alors qu'elle remplissait deux verres d'eau.
- J'imaginais notre première diner aux chandelles orné de homards, de canards confits et de champagne mais cela fera l'affaire .
Elle lui tendit le verre alors qu'il restait impassible, il ne le prit pas.
- Quand avez vous rencontré Morirarty ?
Irène ne se démonta pas pour autant.
Elle retira le voile libérant ainsi toute sa chevelure bouclé. Alors que la jeune femme retira sa robe se retrouvant ainsi en sous vetement. Sherlock pesta et se retourna
- Vous allez m'offrir ce spectacle à chaque fois que nous nous rencontrerons ?
-Oh, mais je vois que vous planifez déjà d'autres rendez-vous, vous m'en voyez combler Monsieur Holmes s'eclama-t-elle avec un énorme sourire tout en lui faisant un clin d'oeil.
- Vous m'avez déjà vu en tenue de combat, ce ne sont pas de vulgaires sous-vetements qui vont vous mettre en émoi. D'ailleurs dites-moi avez vous pensé à me prendre une tenue de change ?
Alors qu'elle s'approchait dangereusesement, il lui balança à la figure la tenue qu'il lui avait pris.
Elle continuait de sourire avant de découvrir la tenue.
- Une longue robe noire et son foulard assorti, quelle magnifique tenue. Et pour mes sous-vetement ?
Sherlock semblait de plus en plus irrité, il souffla ;
- Pensez-vous que j'ai pensé à vous prendre des sous-vetements lorsque j'étais occupé à vous sauver la vie, Miss adler ?
Rien n'effaça son sourire, bien sûr qu'il avait penser à lui prendre des sous vetements mais il s'était ravisé. l'idée même qu'elle puisse penser qu'il a penser à ce genre de détail le mettait mal à l'aise...
-Tant pis Monsieur Holmes,il ni y'aura que vous et moi qui saurons que je ne porte absolument rien sous cette robe.
Elle but le verre d'eau et se dirigea vers la salle de bain tout en prenant soin de ne pas fermer la porte afin d'assurer le spectacle.
Sherlock tourna le dos à la salle de bain, s'assit sur le lit, la tête entre ses mains.
Il était difficile de penser à autre chose quand il savait ce qu'il se passait derrière lui.
Elle sortit enfin, il scruta ses pied et vit qu'elle portait cette robe beaucoup trop large pour elle mais qui le proteger de toute pensée.
Elle s'assit sur le deuxième lit face à lui, il était là, les cheveux mouilles, terriblement beau, terriblement sexy. Si seulement Holmes fonctionnait comme tous les autres hommes mais il ne serait pas lui ..
-C'est un consultant criminel, ce genre de contact profesionnel est tout simplement normal.
- Je vous ai demandé quand ?
Il restait là stoique et ses yeux bleus, c'était une torture de ne pas savoir ce qu'il pensait.
- 2 mois avant de vous rencontrer.
- Pourquoi l'avoir rencontré ?
-Je vous l'ai dit, dans le milieu, il est aisé de rencontrer ce type de profesionnel.
Elle se leva et semblait pour la première fois énervée de la tournure que prenait cette conversation.
- Quel lien y'a t il entre lui,vous et moi ?
Elle roula des yeux ;
-Je vous dois bien ça après tout. Il voulait des informations concernant les activités liés à votre frère pour l'un de ses clients et je voulais vous rencontrer , j'ai servi d'appât.
Il ne releva pas la dernière phrase.
-Pourquoi vouliez vous me rencontrer ?
-Parce que je voulais rencontrer lefameux Sherlock Holmes !
- Pourquoi ?
Irène Adler se leva du lit et fit face à Sherlock qui ne cilla et releva la tête pour la regarder.
-Pourquoi vous est-il difficile de croire que je puisse avoir voulu vous rencontrer ? Je vous l'ai dis, je suis très friande des histoires que votre petit ami raconte sur son blog.
Aucune réaction de sa part. Encore et toujours...
- Qu'avez vous dit à Moriary le soir où nous avons été piégés John et moi à la piscine ?
Elle sembla étonnée et marqua un temps, il était clair à Sherlock que c'était bien elle qui avait téléphoné à Moriarty alors qu'il voulait les abbatre. Irène n'essaya pas de le convaincre du contraire, elle savait qu'elle avait été prise de court et qu'elle ne pouvait mentir.
- Il voulait des informations que j'ai pu lui donner.
- En échange de nos vies ? Sherlock semblait comme étonné
- De votre vie sans voulour vexer le Doteur Watson
- Nous ne nous étions jamais rencontré avant alors pourquoi vouloir sauver un inconnu ?
Elle se pencha à sa hauteur et le fixa alors que leurs visages n'étaient qu'à quelques centimètres.
- Il y'a beaucoup de mauvais garçons sur cette terre mais très peu de héros. lui murmura-telle à l'oreille
- Je n'en suis pas un dit-il alors qu'il se levait. Mais Bien évidemment, Iirène Adler dixit la dominatrice veut faire croire en son bon coeur qu'elle est prête à aider quelqu'un quand elle est prête à faire plier un royaume s'exclama-t-il alors qu'il levait les bras au ciel
Irène déglutit et son visage se figea. Elle resta stoîque à son tour et cest comme si un mur de glace la proteger se dit l'inspecteur.
Pourtant Irène Adler s'était vraiment vexée face à cette remarque mais elle démontra rien.
- Je vous retourne la question Monsieur Holmes, quel intérêt avais-je de vous sauver la vie ?
Le regard de Sherlock brilla
- Vous l'admettez vous même, tout n'est question d'intêret.
Elle se leva à son tour et se dirigea vers la porte et le quitta sans un mot.
Il avait remarqué que son sac avait légèrement été déplacé. Elle a dû prendre les papiers d'identité qu'il lui avait préparé . Il ne la retint pas.
