CANDIDAT N°4 – TITRE DE LA FIC « PENSEES D'UN HOMME ET D'UN SAINT »

PENSEES DE CAMUS
Penses-tu que ce que je fais, maintenant, je le fais pour toi ??
Penses- tu que ce que je fais, à cet instant, je le fais pour Elle, pour eux, pour vous ??
La vérité, Hyoga, c'est que je ne le fais que pour moi.

Peut- être, ne suis-je pas cet être si parfait, si noble de cœur, si infaillible !
Peut -être ne suis-je pas celui que l'on voudrait que je sois ! Mais que pour une fois, je suis celui que je vois dans mon miroir.

Je sais que je pourrais te détruire, je sais que je pourrais t'écraser.
Mais je ne le veux pas !!
Certains penseront que je t'ai fait là, un présent, et verront dans mon geste de la grandeur d'âme et l'amour d'un maitre envers son disciple.
Mais peut -être suis-je tout simplement fatigué de tout cela, ais-je envie de baisser les bras, de te laisser la relève.
Quelle ironie, n'est –il pas, que d'attendre le moment de mourir pour être libre !

Nous portons tous un masque, et le mien va tomber aujourd'hui !!
Alors enfin et dans mon dernier souffle, je m'accorde un cadeau : celui de ne pas être un saint, ni un Saint, mais un homme, Camus, tout simplement.

Adieu et Merci.

PENSEES DE HYOGA

Mon maitre, mon ami mon frère, cette bataille sera peut être la dernière pour nous deux.
Mais sachez bien que je me battrais jusqu'à mon dernier souffle, pour mes compagnons, pour Elle, Athéna, et pour Vous !
J'ai toujours agi pour mon propre compte, pour combler ce vide que la mort de Maman avait crée en moi.
Mais aujourd'hui, je veux me battre pour quelque chose de plus grand.

Peut- être ne suis-je pas aussi fragile et sensible que vous le croyez ?? Je vais vous prouver que je suis un être fort, fier et je saurais me montrer digne de Vous et d'Elle. Il est temps pour moi de crier qui je suis vraiment !!!
Alors en garde Camus-sama, car enfin et pour une fois, je ne veux plus être cet homme qui pleure si souvent, je veux être un saint de glace, je veux être un Saint comme Vous !!

Adieu et Merci

PENSEES DE L'AUTEUR
La suite vous la connaissez, inutile de vous la conter !
Mais de ces quelques lignes, rappelez-vous ceci : les êtres les plus fragiles ne sont pas forcement ceux dont les fissures se voient à l'extérieur, encore faut il savoir les voir.