Salut les amis et bienvenu ici pour une petite fic sur Kuroko no basket (ma concience: Naaaaaaan ?! T'es sur ?!) Les chapitres seront courts sauf deux ou trois :D (ma concience: enfaite t'en sait rien.) Et je ne sait pas non plus m'a régularité pour les chapitres désolé donc sa viendra comme se viendra ^^ Si sa se trouve j'en posterais deux ou trois dans la même journée et plus rien pendant 8 mois ? lol je dec me tué pas o Allez les guys bonne lecture !

-Voilà tu sait tout, et toi ?

La voix d'Akashi retenti, impétueuse et distante comme s'il ne parlait pas de son ami le plus proche. Kuroko quand a lui avait les yeux baissés vers la table dans un point que seul lui semblais voir. Les autres personnes autour de la madrière* ne paraissaient pas mieux: regardant un lieu dans leurs esprits, les yeux encore rouge des larmes qui avaient coulées récemment ou qui, pour certain, coulais toujours.

En bout de table le maître de maison ne pipais mots, fixant ses invités, les dévisagent sans aucune pudeur, les mettant mal-à-l'aise.

-Tu n'a rien à dire Taiga ? Lui demanda le même rouge

-Que veut-tu que je dise ? Que je m'apitoie sur votre sort ? Lui répondit-il, détaché

-Abruti...! Fulminait Aomine

-Tu ne ressent donc rien Kagamichii...? Couina Kise

-Non, ressentir de la pitié envers vous maintenant se serait vous manqué de respect, indéfiniment. Dit Kagami en fermant les yeux, conscient des regards à la fois choqués et désemparés de ses...amis ? Pouvait-il seulement les appelez ainsi après se qu'il avait sorti sans sentiment ?

Il se fit la réflexion que non après avoir senti un coup sec contre sa joue, le fessant valsé de sa chaise et s'écrasé au sol.

Aomine venais de lui mettre son point dans sa gueule.

Prévisible.

Tous les autres gars se levèrent, sans un mot et sortant simplement, la tête basse d'avoir confié quelque chose d'aussi grand et d'avoir été ainsi mis au pieds d'un mur et le cœur piétiné. Même Akashi affichait cette parti de lui qu'il détestais tant. La faiblesse suai de tout leurs pors. Anéanti, le désespoir les entourais comme une aura lorsqu'ils sortirent de l'appartement sans un "au revoir" à leur propriétaire...

A suivre...